21 août 2021

53.Les Brevets du Coronavirus - Dr. Fuellmich / Dr. Martin

 

Les brevets autour du Covid: La fraude de la pandémie Covid avérée.

 


Dr. Fuellmich / Dr. Martin

 

 Transcription non intégrale de la vidéo suivante:

https://rumble.com/vk3p5e-dr.-fuellmichdr.-martin-les-brevets-autour-du-covid.html

 

JeanneTraduction Published July 20, 2021

Résumé:

Les médias ont été utilisés pour fabriquer un événement destiné à faire accepter une vaccination universelle. Il n’y a jamais eu de coronavirus nouveau : les brevets déposés par les laboratoire depuis le début des années 2000 le prouvent. Le SARS est breveté par les américains depuis 2002. Et le CDC (Center for Disease Control and Prevention) a déposé le brevet sur le coronavirus en 2003.  « Ablynx, qui fait maintenant partie de SANOFI a déposé une série de brevets sur ce qui est la caractéristique actuelle du SARS-Cov2, en 2008. »

Le coronavirus du SARS a été breveté 73 fois pour une exploitation commerciale.

Le coronavirus a été remarqué comme très maniable et pouvant être utilisé comme vecteur de transmission efficace pour diverses utilisations. Il présentait, en particulier, un potentiel pour un vaccin, par exemple contre le VIH, et un potentiel pour une arme biologique. («En 2008, le DARMA, programme américain de recherche avancée, s’intéresse activement au coronavirus comme arme biologique.»)

 

Il n’y a pas eu de crise de santé publique et d’ailleurs aucun effort de traitement n’a été fait, bien au contraire des traitements ont été interdits, mais nous avons assisté à une énorme campagne marketing avec un très fort battage médiatique pour finir par faire accepter aux populations maintenues dans la peur une soit-disant vaccination. En fait les vaccins proposés ne correspondent pas aux définitions scientifiques, cliniques ou juridiques de la vaccination. Le terme de vaccin est illégitime, utilisé abusivement pour une injection de produit génétiquement modifié, dans laquelle il est utilisé « ce qu’on savait être une arme biologique en 2005 » dit le Dr. Martin du MCA et dans laquelle il est impossible de savoir avec  certitude ce qu’elle contient réellement et ce qu’elle va provoquer à l’avenir.

 

 

COVID19-LA PREUVE PAR LES BREVETS - UNE HISTOIRE QUI A DEBUTE IL Y A BIEN LONGTEMPS !

Le Dr David Martin et son équipe ont analysé plus de 4000 brevets déposés avant 2019 sur le SARS-CoV-2, les tests et les traitements du COVID19. Chaque étape de la vidéo permet de comprendre l'origine du virus, l'organisation d'un business très lucratif et les évidents conflits d'intérêt d'un grand nombre de laboratoires pharmaceutiques dont les noms sont clairement cités.
Le Dr Martin préside la société MCA, International Risk Management, de notoriété internationale pour avoir réalisé les enquêtes autour des attaques par l'anthrax. De par son activité, la société assure depuis 1998 la plus grande veille en matière de propriété intellectuelle (brevets déposés dans 168 pays), mais également de subventions fédérales et de nombreux dossiers administratifs dont ceux du CDC (Center for Disease Control and Prevention)

 

Le Dr. David Martin l’affirme : « Nous sommes maintenant dans un monde où des centaines de millions de personnes se font injecter un agent pathogène stimulant une séquence informatique, que l’Office des Brevets, la profession médicale et la FDA ne nomment pas vaccin. Avec ce terme de vaccin on soumet des millions de gens à ce qu’on savait être une arme biologique en 2005.»

 

L’illusion démasquée

 

Transcription non intégrale de la vidéo dans laquelle Dr. David Martin est  interviewé par l’avocat Dr. Fuellmich (d’un cabinet californien d’avocats)

 

David Martin et son équipe surveillent le business de l’innovation. Ils ont étudiés plus de 4000 brevets déposés sur le Sars-Cov 2 de la Covid19

 

Au printemps 2020 les séquences génétiques dites nouvelles du nouveau coronavirus ont été comparées aux brevets disponibles. Plus de 120 preuves brevetées suggèrent que la déclaration d’un nouveau coronavirus était entièrement une erreur. Il n’y a pas eu de nouveau coronavirus. De subtiles modifications de séquences de coronavirus ont été téléchargées mais aucun coronavirus nouveau n’a été identifié.

 

Le premier vaccin contre le coronavirus était recherché par Pfizer. La première demande de brevet a été déposée le 28 Janvier 2000 (brevet 6372-2-2-4).  Jusqu’en 1999, ce domaine de recherche des vaccins était axé sur les animaux. En particulier sur la myopathie des lapins et le coronavirus canin. Pfizer  recherchait des candidats cibles pour la protéine spike.

Aussi bien le vaccin que le principe du coronavirus, par rapport au comportement de la protéine spike, n’ont rien de nouveau. Cela date de 22 ans, sur la base de dépôts de brevets.

 

Le problème le plus flagrant c’est que Dr. A. FAUCi ait trouvé que la maniabilité du coronavirus était un potentiel pour le vaccin contre le VIH. Donc, le SARS n’est pas une progression naturelle mais il est issu d’une modification génétique du coronavirus. En fait en 1999,  A. FAUCI a financé des recherches à l’Université de Caroline du Nord pour créer un coronavirus infectieux à réplication défectueuse, spécifiquement ciblé sur l’épithélium pulmonaire humain.

 

Nous (les scientifiques américains) avons crée et breveté le SARS, le 19 Avril 2002, avant la présumée épidémie en Asie. Ce brevet américain 72-119-3-2… en décrit le séquençage très spécifique. Le domaine S2, la protéine spike A et d’autres éléments que nous avons appris à connaître comme pathogène du fléau étaient non seulement conçus mais ils pouvaient aussi être modifiés synthétiquement en laboratoire en utilisant des techniques de séquençage des gènes, en prenant du code génétique et en le transformant en agent pathogène ou en intermédiaire d’agent pathogène.

Cette technologie a été financée comme moyen pour exploiter le coronavirus en tant que vecteur pour la distribution du vaccin contre le VIH.

 

Le MCA (International Risk Management) a été chargée de surveiller les violations des traités sur les armes biologiques et chimiques. L’événement de l’anthrax de septembre 2001 a donné lieu à une enquête du Congrès sur les origines de l’anthrax et également sur ce qui était un comportement inhabituel autour du médicament destiné au traitement de l’empoisonnement par l’anthrax. Dès l’automne 2001 nous avons commencé à surveiller un nombre énorme d’agents pathogènes bactériens et viraux qui étaient brevetés dans le cadre des maladies infectieuses des services armés des USA et d’autres agences internationales qui collaboraient avec eux.

 

Le coronavirus était considéré comme un agent manipulable pour une utilisation potentielle comme vecteur de vaccin et aussi clairement comme un candidat pour une arme biologique.

Notre première intervention à ce sujet date de  fin 2001 et en 2021 je suis encore ici alors que nous avions signalé qu’un problème se profilait à l’horizon 20 ans plus tôt.

 

Je parle aujourd’hui d’épidémie présumée, puisque le coronavirus n’est pas nouveau pour l’humanité et fait partie de la séquence d’une protéine qui circule depuis assez longtemps.

Déjà la prétendue épidémie en Chine en 2002 et en 2003, avait donné lieu à un dossier très problématique en avril 2003, concernant le CDC (Centre pour le Contrôle et la Prévention des maladies des USA)... Car il y avait violation de l’article 101 du Code Américain 35 qui interdit de breveter une substance naturelle, par certains brevets déposés qui couvraient la séquence génétique du coronavirus SARS et aussi les moyens de le détecter.

 

Si vous possédez le brevet à la fois sur le gène et sur sa détection, vous avez l’avantage de pouvoir contrôler à 100% la provenance et la détection du virus, ce qui signifie que vous avez un contrôle scientifique total sur la communication. Ce brevet demandé par le CDC aurait été justifié par leur équipe de relation publique : « déposé pour que chacun soit libre de pouvoir faire des recherches sur le coronavirus ». Cette affirmation est un mensonge !

 

L’Office des brevets va rejeter 2 fois le brevet sur la séquence du gène comme non brevetable car elle était déjà dans le domaine public. L’Office des brevets a trouvé 99,9 % d’identité avec le coronavirus déjà existant, enregistré dans le domaine public, justifiant le rejet du brevet. Après une amende en rappel  en 2006 et 2007, le CDC a annulé ce brevet puis obtenu en 2007 enfin son brevet sur le coronavirus du SARS. En fait un pot de vin a été versé par le CDC au bureau des brevets. Le CDC a même payé des frais supplémentaires pour que sa demande reste secrète

 

Tout cela est disponible dans les archives publiques des brevets que tout le monde peut consulter. Avec preuves et documents réels.

 

(Travail de consultation des archives publiques des brevets aux USA qu’avait effectué la défunte Claire SEVERAC avant d’écrire son livre, cf.  article 09 dans mon blog, avec le titre du livre « La guerre contre les peuples » )

 

Les vérificateurs de faits ont menti en déclarant à plusieurs reprises que le nouveau coronavirus désigné SARS-Cov-2 était différent du brevet du CDC. Voici le problème génétique et le problème des brevets posés: dans la séquence du gène déposée par le CDC en 2003, puis à nouveau en 2005, en 2006, on trouve  entre 89 et 99% de chevauchement de séquences qui ont été  identifiées comme le roman du sous-clade du SARS-Cov-2... La désignation de base du coronavirus SARS est illégitime. Une vérification fallacieuse des faits a été faite, selon lequel le CDC n’aurait rien à voir avec ce brevet d’agent pathogène. Cela est faux;  des séquences publiées et aussi la taxonomie de l’ICTV (Comité International de Taxonomie des Virus) l’indiquent clairement.

Trois jours après que le CDC ait déposé le brevet sur le coronavirus en 2003, une société pharmaceutique, Sequoia Pharmaceuticals , créée dans le Maryland, a déposé un brevet sur les agents antiviraux pour le traitement des infections par coronavirus. Trois jours d’écart  entre le dépôt de brevet du virus et du brevet du traitement du même virus.

 

Sequoia Pharmaceuticals est incorporée au portefeuille de Pfizer, Johnson-and-Johnson et …

Comment peut-on avoir un traitement pour une chose inventée 3 jours plus tôt ?

 

Le brevet du 28 Avril 2003 N° 7-1-5-1-1-6-3 délivré à Sequoia Pharmaceuticals présente un autre problème, il a été délivré et publié avant que le brevet du coronavirus du CDC ne soit effectivement autorisé. Il est impossible de breveter une chose qui traite quelque chose de non publiée. Le CDC avait même payé pour le garder secret. Ceci est la signature de la conspiration criminelle,  du racket et  de la collusion. Ce n’est pas une théorie, c’est une preuve. Car vous ne pouvez pas avoir des informations dans le futur, informer d’un traitement pour une chose qui n’existe pas encore.

Le laboratoire Moderna a obtenu par téléphone la séquence de la protéine spike du centre de vaccin du NIAID avant la définition du nouveau sous-clade. Comment traiter une chose avant de l’avoir réellement?

 

En 2008, le DARMA, le programme américain de recherche avancée, s’intéresse activement au coronavirus comme arme biologique.

 

Ablynx, qui fait maintenant partie de SANOFI a déposé une série de brevets sur ce qui est la caractéristique actuelle du SARS-Cov2. Ils ont trouvé le site de clivage du SARS-Cov 2, la nouvelle protéine de pointe qui est le domaine de liaison prétendument nouveau pour le SARS-Cov 2. Tout cela a été breveté le 5 juin 2008.

Les brevets sont sortis après les épidémies de MERS et de …? au Moyen Orient.

Ensuite, en 2016, 2017 et 2019 une série de brevets sur les brins d’ARN et les sous-composants des brins de gènes ont tous été délivrés à Ablynx et Sanofi et dautres sociétés américaines, et françaises, et des universités américaines, l’Université Maximilien de Munich, des universités de Hong-Kong, de Chine, etc., tous identifiés dans des dépôts de brevet entre 2008 et 2017. Chaque attribut prétendument publié de manière unique par la seule publication de référence du nouveau coronavirus de la chauve-souris avec des insertions naturelles aux sites de clivage S1, S2-2 de la protéine spike et une possible protéine recombinante du virus Cov 2 du SARS.

 

Le document couramment utilisé pour identifier le soit-disant nouveau virus concerne 73 brevets délivrés entre 2008 et 2019 qui ont des éléments prétendument nouveaux dans le SARS Cov-2.

En considérant  le site de clivage polybasique, le domaine de liaison ACE 2 et la protéine spike donc les composants nouveaux de la souche unique, cliniquement contagieux, il n’y a pas eu d’épidémie de SARS.Les termes sont illégitimes, utilisés abusivement

 

En 2016 le document financé pendant le moratoire sur les gains de fonction disait que le coronavirus du SARS était prêt pour les émergences humaines. IL est aussi breveté 73 fois pour une exploitation commerciale. Beaucoup d’argent a été gagné avec cela.

 

Mais ce n’est pas la fin de l’histoire. Préparez vous à pire !

Ma citation préférée (qui explique ce qui se passe actuellement) pour cette pandémie est une déclaration de 2015 faite par Peter Cusack : « Nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité des contre-mesures médicales comme un vaccin contre tous les coronavirus. Le moteur clef est le système médiatique et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront s’il font des bénéfices à la fin du processus.»

 

Peter Cusack, celui qui a corroboré la thèse chinoise de la non-fuite du laboratoire chinois. Il ne s’agissait pas d’une fuite, en effet, mais d’une bio-militarisation intentionnelle de protéines de pointe à injecter aux gens pour les rendre dépendants d’un vaccin. Cela n’a rien à voir avec un agent pathogène libéré par une fuite de laboratoire, c’est une fausse piste.

 

Le brevet 72-79-3-2-7 sur la nature recombinante de ce coronavirus a été mystérieusement transféré de l’Université de Caroline du Nord à l’Institut National de Santé en 2018. Cela pose le problème suivant : en vertu de la loi Baydol, le gouvernement américain dispose d’un droit à bénéficier d’une recherche qu’il a financé, comment et quand bon lui semble. Alors pourquoi en 2017 et 2018, soudainement les instituts de santé ont pris possession du brevet dont ils avaient déjà les droits, détenu par l’Université de Caroline du Nord ? Pourquoi ont-ils eu besoin de déposer  des corrections pour s’assurer qu’il était bien exécutoire ?

Parce qu’il y avait une erreur typographique dans la référence de la subvention dans le 1er dépôt,

sur le brevet partagé par l’Université de Caroline du Nord et Moderna qui collaborent au séquençage de protéines de pointe en vue d’un vaccin, 1 mois avant que la prétendue épidémie ne se produise.

 

Tout est une question d’argent. Le scénario a été écrit le 6 janvier 2004 par le laboratoire MODERNA lors d’une conférence intitulée « SARS et Bioterrorisme. Maladies infectieuses émergentes, etc...». Il y est introduit la notion de la nouvelle normalité, langage adopté par l’OMS dans les  campagnes actuelles de santé.

La campagne pour faire accepter un vaccin universel contre la grippe par coronavirus a été adoptée le 6 janvier 2004.

 

Il est clair que Moderna savait qu’il allait être placé en tête de ligne en ce qui concerne le développement d’un vaccin en Mars 2019. Pour des raisons non transparentes, en Mars 2019, ils ont modifié soudainement  une série de dépôts de brevets rejetés; ce qui est très bizarre. Ils ont modifié, pour faire référence à une libération intentionnelle ou accidentelle de coronavirus, quatre demandes de brevet non abouties afin d’entamer le processus de développement d’un vaccin contre le coronavirus.

 

Ils ont d’abord eu des problèmes car ils s’appuyaient sur une technologie qu’ils ne maîtrisaient pas.

En fait, deux sociétés canadiennes détiennent le brevet sur la nanoparticule lipidique nécessaire à l’injection d’ARNm.  Moderna savait qu’elle ne possédait pas ces droits sur la technologie pour intégrer dans un vaccin cette nanoparticule.  En Novembre 2019 conclusion d’un accord de recherche et de développement coopératif avec l’Université de Caroline du Nord en vue d’obtenir la protéine spike à placer à l’intérieur de la nanoparticule lipidique. Ce qui leur permettait d’avoir un vaccin avant même d’avoir le pathogène correspondant.

 

Nous savons que de 2016 à 2019 à chacune des réunions du conseil consultatif du NIAID  Anthony Fauci essayait de faire accepter un vaccin universel contre la grippe. Avec P. Cusack,  l’Université de Caroline du Nord, et d’autres, en Mars 2019, dans les dépôts modifiés de MODERNA, apparaît une soudaine illumination: et s’il y avait une libération accidentelle de pathogènes respiratoires ?

 

Cette phrase est exactement citée dans le livre « Un Monde à Risques » qui est le scénario élaboré par l’OMS en Septembre 2019, quelques mois avant un pathogène présumé. Et qui indique que nous devons avoir une expérience mondiale coordonnée d’un agent pathogène respiratoire qui doit faire mettre en place une capacité universelle pour la gestion des relations publiques, le contrôle des foules et l’acceptation d’un mandat universel de vaccination.

Il nous a été dit d’abord que le coronavirus avait été éradiqué en 2007 et 2008 et malgré cela nous avons commencé à dépenser des milliards de dollars dans le monde pour un vaccin contre un virus qui avait été  déclaré éradiqué en 2008. Pourquoi ? 

 

Le virus et le vaccin sont-ils un outil dans l’intérêt de la DARTA pour créer une arme biologique et tout ce qui s’y rattache, y compris le contrôle de l’information par exemple, demande Fuellmich.

 

D.Martin répond: nous devons cesser de nous laisser prendre au roman du coronavirus. En fait ce virus a été considéré comme une arme biologique hautement malléable. Aucun doute qu’en 2005 c’était une arme de choix. Et l’illusion dans laquelle nous continuons à voir des gens bien intentionnés se faire piéger, c’est de discuter de la question de savoir si nous avons un vaccin contre ce virus.

Ce n’est pas le cas, nous injectons une protéine spike, une séquence d’ARN qui est une simulation informatique et non dérivée de la nature. C’est la simulation informatique d’une séquence connue et brevetée depuis des années. Cela nous est rapporté par des conversations téléphoniques entre Moderna et le Centre de Vaccination Safety. Les preuves à 100 % montrent qu’il ne s’agit pas de prévention. Aucun effort n’a été pour combattre un virus.

 

Il s’agit d’injecter chez les gens  la protéine spike connue pour être nocive. Il n’y a jamais eu d’intention de vacciner les populations, tel que le définit l’univers de la vaccination.

 

Quand A. FAUCI a tenté désespérément de faire publier certains de ses vaccins à ARN synthétique il a vu ses brevets rejetés par l’Office des Brevets et le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID)  a répondu que les arguments de A.Fauci ne sont pas persuasifs en ce qui concerne un vaccin. Un vaccin doit protéger, prévenir l’infection. Les vaccins de Fauci ne répondent pas à la norme même inférieure énoncée dans la spécification des vaccins. Le vaccin VIH sur lequel travaillait Fauci n’est pas d’une utilité brevetable d’après l’Office des Brevets. Les vaccins du Dr. A. Fauci ne correspondaient ni à la norme brevetable, ni à la norme juridique, ni à la norme clinique, c’est pourquoi leurs brevets avaient été rejetés par l’Office des brevets.

 

C’est à peine croyable mais l’ironie triste c’est que j’ai soulevé ces questions dès 2002, après l’alerte à l’anthrax. La tragédie c’est que nous sommes maintenant dans un monde où des centaines de millions de personnes se font injecter un agent pathogène stimulant une séquence informatique, que l’Office des Brevets, la profession médicale et la FDA ne nomment pas vaccin. Avec ce terme de vaccin on soumet des millions de gens à ce qu’on savait être une arme biologique en 2005. J’étudie cela depuis 2 décennies.

 

Questions / Réponses

 

Un Professeur de droit parle des corona-sceptiques en désaccord avec le narratif officiel et de

cette pandémie mise en scène intentionnellement. Il pose une question sur des brevets déposés en Avril 2003 car il risque d’être licencié de son travail et a besoin de précisions. Il parle des médias qui mentent et des sceptiques dénoncés par ces médias comme « complotistes »

 

En réponse à une question, D. Martin répond :Il n’existe pas de variant alpha, bêta, delta, etc.

J’observe des comportements réflexes devant le battage médiatique mais pas de preuve que ces variants existent.

Rechercher quelque chose ne prouve pas que cette chose existe. Rien de nouveau actuellement.

 

D. Martin entre dans des détails techniques en réponse à des questions. Si nous voulons observer ce qui est injecté aux individus, nous avons besoin de la séquence exacte et pas seulement d’une similarité. La séquence injectée semble insaisissable, il semble que ce soit une chose que l’on ne peut pas déterminer avec certitude. Nous n’avons aucun moyen de vérifier qu’une séquence complète a été ou pourrait être fabriquée dans la nanoparticule lipidique.

 

Dès 2002 jusqu’aux brevets d’armement commencés en 2008 des fragments sont identifiés mais sans spécificité, avec des lacunes hypothétiques, dans lesquels n’importe quoi peut être placé.

C’est pourquoi la vérification des faits autour des brevets est très décevante.

 

Explications techniques diverses en réponse à des questions.

La question de la nouveauté est une illusion.

 

Question sur la grippe qui semble avoir disparu.

Nous ne trouvons pas ce que nous ne cherchons pas. L’utilisation actuelle des tests ne permet pas de distinguer les virus grippaux. La grippe n’a pas disparu

 

Question et commentaire sur le test PCR et les profits générés par ce test.

L’illusion de la demande a été fabriquée par l’urgence d’un événement fabriqué.

Si ce fut si facile de surveiller cette campagne particulière de coercition et de terreur c’est parce que nous l’avions déjà fait auparavant... avec l’épidémie d’anthrax. A ce moment là nous avons eu seulement 2 inspecteurs des postes, comme équipe de choc, pour enquêter sur une soit disant attaque bio-terroriste. Ce fut malhonnête et le Congrès le savait.

Mon équipe publie un document sur chaque violation des traités, sur les armes biologiques et chimiques, du monde.

Ce fut facile pour nous de comprendre qu’il ne s’agissait pas d’une crise de santé publique mais une campagne marketing opportuniste pour répondre à un objectif déterminé. Il fallait faire accepter au public une contre-mesure vaccinale contre le coronavirus. Ils avaient besoin d’un battage médiatique et d’investisseurs qui suivraient là où se trouve le profit.

 

Il y a utilisation des médias pour une contre-mesure médicale qui est en fait l’injection d’une protéine chimérique recombinante synthétique développée à partir d’une simulation informatique. Si je veux connaître les raisons d’une telle chose, j’écouterai la personne qui fait la manipulation et qui dit que les investisseurs suivront là où sera le profit. Je n’ai pas besoin de plus d’explication.

 

C’est époustouflant dit Fuellmich... J’ai cherché des juristes, des avocats mais c’était très difficile de les trouver pour s’attaquer à ce problème du coronavirus. Beaucoup  ont peur ...

 

Question sur les brevets en Europe

Entre les Allemands et les Français une animosité est entretenue concernant les problèmes de brevet... Les brevets sur les armes biologique est un terrain miné...

 

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