31 mai 2022

93. Sommet mondial sur le Covid : 17000 scientifiques disent STOP

 

Sommet mondial sur le Covid : 17.000 scientifiques appellent à mettre fin à l'état d'urgence sanitaire

 


Lors d'un sommet mondial sur le Covid[1], 17 000 médecins et scientifiques ont fait une déclaration commune le 11 mai par la voix de leurs représentants. Appelant à mettre un terme à l'état d'urgence sanitaire enclenché au début de la crise du Covid-19, ils accusent les grandes sociétés pharmaceutiques, les gouvernements, les agences de santé publique et les médias grand public d'avoir, par leurs actions, causé la mort de plusieurs centaines de milliers de personnes.


Divulguée par France-Soir : https://www.francesoir.fr/politique-monde/sommet-mondial-sur-le-covid-17-000-scientifiques

Divulgué également par la plate-forme ‘Profession Gendarme » : https://www.profession-gendarme.com/17000-scientifiques-revelations-massives/

En réalité, cette vidéo entièrement traduite circule actuellement et est visionnable sur nombre de sites et plateformes d'information.


Retrouvez ci-dessous un extrait de cette intervention du Dr David Wiseman, docteur en pharmacie, de Michael Yeadon, chercheur et ancien directeur scientifique de Pfizer, et Ryan Cole, médecin anatomopathologiste:

https://www.francesoir.fr/politique-monde/sommet-mondial-sur-le-covid-17-000-scientifiques


Se déclarant unis par leur loyauté au serment d'Hippocrate, ces médecins et scientifiques dénoncent les désastreuses politiques de santé publique mises en œuvre pour lutter contre la propagation du Covid-19, estimant que ces mesures sont le fruit d'une "alliance médicale corrompue" d'institutions pharmaceutiques, d'assurances et de soins de santé, sous la houlette des trusts financiers qui les contrôlent.

L’illusion de consensus scientifique dénoncée

Selon eux, cette "alliance corrompue" a compromis l'intégrité des sociétés médicales les plus prestigieuses, générant une illusion de consensus scientifique en substituant la propagande à la vérité par la diffusion d'affirmations dénuées de base scientifique, par la censure, et par l'intimidation des médecins et scientifiques qui ont publié des résultats cliniques sur des médicaments éprouvés ou sauvé des vies par le biais de ces traitements.


Ces 17 000 scientifiques et médecins veulent faire émerger la vérité
afin que cessent des décisions qu'ils estiment catastrophiques et prises aux dépens d'innocents qui subissent des dommages sanitaires depuis le début de la pandémie. Des dommages qui ont commencé avec la rétention intentionnelle de traitements ambulatoires précoces comme l’hydroxychloroquine, l’ivermectine ou l’azithromycine pour se poursuivre l'année suivante avec les injections forcées d'un produit, qui n’avait pourtant fait ni la preuve de son efficacité ni l’assurance de sa sécurité lors de son lancement en population générale.

Absence de consentement éclairé et rétention d’information scientifique de premier plan

Ils dénoncent également le fait qu'une majorité de la communauté médicale a refusé aux patients le droit humain fondamental de recevoir un véritable consentement éclairé sur les injections expérimentales contre le Covid-19, leur empêchant d'obtenir des informations nécessaires pour comprendre les risques et les avantages des vaccins.


Au-delà de la réponse thérapeutique, c’est toute la politique sanitaire qui est dénoncée, notamment les enfermements forcés qui nuisent à la santé, à la vie professionnelle des individus et à l’éducation des enfants. Des décisions graves qui ont également porté atteinte aux liens sociaux et familiaux. Ils mettent également en lumière ce qui, pour eux, ne peut pas relever d'une simple coïncidence : le dessein inscrit dans le livre intitulé

« Covid-19 : The Great Reset [2] »,

à savoir faire de l’épidémie de Sars-CoV-2 l’opportunité de "réinitialiser" l’ensemble de la société, notamment l’ensemble des structures politiques, l’économie et la culture. Ces 17 000 scientifiques et médecins n’hésitent pas à qualifier les actions de cette alliance de crime contre l’humanité.

Reconstruire une éthique médicale


Pour eux, restaurer la confiance des gens dans la médecine implique de commencer à rétablir un dialogue libre et ouvert entre les différents acteurs de la communauté scientifique. Cela passe également par le rétablissement de la relation sacrée entre le médecin et le patient, la réhabilitation des droits médicaux et l’autonomie des patients.

Après deux années de recherche scientifique et après avoir analysé les conséquences des décisions politiques prises au cours de cette période, ces 17 000 scientifiques et praticiens estiment avoir démontré et documenté leurs succès dans la compréhension et la lutte contre le Covid-19 et sont parvenus à un consensus autour des 10 principes fondamentaux suivants :

Dix principes fondamentaux

1.         Nous déclarons, et les données le confirment, que les injections expérimentales de thérapie génétique COVID-19 doivent cesser.

2.         Nous déclarons que les médecins ne devraient pas être empêchés de fournir un traitement médical sauvant des vies.

3.         Nous déclarons que l’état d’urgence nationale, qui facilite la corruption et prolonge la pandémie, devrait être immédiatement résilié.

4.         Nous déclarons que la liberté de pratique médicale ne devrait plus jamais être violée, et toutes les restrictions de voyage et sociales doivent cesser.

5.         Nous déclarons que les masques ne sont pas et n’ont jamais été une protection efficace contre un virus respiratoire en suspension dans l’air dans le milieu communautaire.

6.         Nous déclarons que le financement et la recherche doivent être mis en place pour les dommages causés par la vaccination, la mort et la souffrance.

7.         Nous déclarons qu’aucune opportunité ne devrait être refusée, notamment dans l’éducation, la carrière, le service militaire ou les soins médicaux, en raison de la réticence à prendre une injection.

8.         Nous déclarons que les violations du premier amendement et la censure médicale par le gouvernement, les entreprises de technologie et de médias devraient cesser et que la Déclaration des droits devrait être maintenue.

9.         Nous déclarons que Pfizer, Moderna, BioNTech, Janssen, Astra Zeneca et leurs facilitateurs ont caché et délibérément omis des informations sur la sécurité et l’efficacité aux patients et aux médecins, et qu’ils devraient être immédiatement inculpés pour fraude.

10.     Nous déclarons que le gouvernement et les agences médicales doivent être tenus responsables. »

 

Reconstruire et se reconstruire, tel est l'objectif proposé par ce sommet, particulièrement soucieux de la juste réparation des dommages causés par les effets secondaires d'une vaccination précipitée et inutile pour la grande majorité de la population, notamment pour les jeunes personnes, peu sujettes à développer des formes graves de la maladie.

Ces scientifiques se sont « engagés à dire la vérité » sur la pandémie et à « restaurer l’intégrité » en science.

 


« Le Sommet mondial sur le COVID est le produit d’une alliance internationale de médecins et de scientifiques déterminés à dire la vérité au pouvoir sur la recherche et le traitement » du coronavirus, peut-on lire sur le site Web du Sommet. Ces scientifiques disent se battre pour « le droit de traiter [les] patients et le droit des patients de recevoir des traitements – sans crainte d’ingérence, de représailles ou de censure de la part des gouvernements, des sociétés pharmaceutiques » et des plateformes de réseaux sociaux.

Ils souhaitent par là « restaurer la confiance du peuple dans la médecine, ce qui débute par un dialogue libre et ouvert entre médecins et scientifiques médicaux ». Dans leur déclaration, ils mentionnent que les politiques pandémiques défendues par les gouvernements sont ni plus ni moins qu’une « menace pour l’humanité ».

Ils misent sur trois principes fondamentaux, tels que mentionnés dans leur Déclaration : 1) les enfants en bonne santé ne doivent pas être soumis à la vaccination forcée; 2) les personnes naturellement immunisées ne doivent être soumises à aucune restriction ou vaccination obligatoire; 3) les agences et établissements de santé doivent cesser de nuire aux médecins dans leurs pratiques médicales.

On sait que la pandémie s’est révélée un prétexte bien commode chez les gouvernements et les autorités sanitaires pour imposer leurs vues sur les mesures à prendre pour contrer le virus. Une situation qui en a fait réagir plusieurs, dont Martin Kulldorff, professeur de médecine et épidémiologiste à la Harvard Medical School, aux États-Unis. « Je suis très inquiet pour l’avenir de la science, car [elle] dépend du libre échange d’idées, et ce, depuis 300 ans maintenant », avait-il déclaré l’an dernier. « Donc, si la censure des opinions scientifiques perdure, alors je pense que nous [aurons] atteint la fin […] des Lumières ».

Robert Malone, MD

Peter McCullough, MD

Ryan Cole, MD

Richard Urso, MD

Brian Tyson, MD, Kat Lindley, Do, FACOFP

Sources : GCS :Global COVID Summit 


 

 

Extraits et citations :

«La communauté médicale a refusé aux patients le droit humain fondamental de fournir un véritable consentement éclairé pour les injections expérimentales de COVID-19 »

« Cette alliance corrompue a compromis l’intégrité de nos sociétés médicales les plus prestigieuses auxquelles nous appartenons, générant une illusion de consensus scientifique en remplaçant la vérité par la propagande. »

«L’état d’urgence médicale doit être levé, l’intégrité scientifique restaurée et les crimes contre l’humanité traités. »

« Au-delà de la réponse thérapeutique, c’est toute la politique sanitaire qui est dénoncée, notamment les enfermements forcés qui nuisent à la santé, à la vie professionnelle des individus et à l’éducation des enfants. Des décisions graves qui ont également porté atteinte aux liens sociaux et familiaux. »

 

 


 

Les premiers signataires

 

Dr. Ira Bernstein, co-founder, Canadian Covid Care Alliance; lecturer, Dept. of Family and Community Medicine, University of Toronto


Dr. Paul E. Alexander, clinical epidemiologist, former WHO-PAHO and US HHS consultant/senior Covid Pandemic advisor


Dr. Pierre Kory, critical care and pulmonary medicine specialist, former Chief of Critical Care Service and Medical Director of Trauma and Life Support Center at University of Wisconsin


Dr. Héctor Carvallo, former professor of Internal Medicine, Universidad de Buenos Aires, former Director Ezeiza Hospital, Buenos Aires, Argentina


Dr. Mobeen Syed, physician, computer scientist, CEO of DrBeen Corp (US), clinical consultant (Pakistan)


Dr. Paul E. Marik, professor of medicine and Chief of Pulmonary and Critical Care Medicine, Eastern Virginia Medical School


Dr. Flavio Cadegiani, endocrinologist & visiting professor, faculty of Floriano (FAESF); ad hoc consultant, Brazilian Health Regulatory Agency (Anvisa); consultant for National Commission for Incorporation of New Technologies, Devices and Drugs, Brazil


Dr. Marc G. Wathelet, molecular biologist, innate immunology and coronavirus expert, consultant, Belgium


Dr. Tess Lawrie, Director, The Evidence-Based Medicine Consultancy Ltd; founder, British Ivermectin Recommendation Development; CEO of non-profit Ebmcsquared CiC


Dr. Eivind H. Vinjevoll, senior consultant of anesthesiology and intensive care medicine, chief medical advisor of emergency medicine, Volda, Norway


Dr. Heather Gessling, family medicine doctor in Columbia, Missouri


Dr. Mark McDonald, double board-certified child and adolescent psychiatrist, Los Angeles, California


Dr. Olufemi Emmanuel Babalola, professor of ophthalmology, IP HOD Surgery, Bingham University, Jos/Karu, Nigeria


Dr. Richard Urso, scientist, sole inventor of an FDA-approved wound healing drug, former Chief of Orbital Oncology at MD Anderson Cancer Center


Dr. John Littell, family physician, with practices in Kissimmee and Ocala, Florida


Dr. Ryan Cole, board-certified pathologist, CEO of Cole Diagnostics, Boise, Idaho


Dr. Brian Tyson, family medicine doctor, Urgent Care Covid Clinic, Imperial Valley, California


Prof. Andrea G. Stramezzi, Italy


Dr. Zsuszanna Ragó, specialist in coronavirus, primary care; IVERCOV project leader, University of Debrecen, Hungary


Dr. Robert W. Malone, gene therapy, bio-defense, vaccines and immunology; discoverer of in-vitro and in-vivo RNA transfection and architect of mRNA vaccine platform


Dr. Jean-Jacques Rajter, critical care, pulmonary medicine, sleep medicine


Dr. Wong Ang Peng, Malaysian Alliance for Effective Covid Control (MAECC)


Dr. Peter McCullough, clinical cardiologist, preventive cardiology and advanced lipidology, former vice chief of internal medicine at Baylor University Medical Center


Dr. Jose Iglesias, associate professor, Hackensack Meridian School of Medicine at Seton Hall


Dr. Geert Vanden Bossche, virology, vaccine R&D, former Sr Ebola Program Manager, Global Alliance for Vaccines & Immunization (GAVI), former Head of Vaccine Development Office, German Center for Infection Research


Dr. Li-Meng Yan, independent virologist, former researcher, Hong Kong University

 

Etc., etc.

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



[1]GCS, GLOBAL COVID SUMMI « Restore Scientific Integrity », à ne pas confondre avec cet autre sommet dont fait apologie et publicité la presse mainstreem : « Washington annonce un sommet mondial sur le Covid-19 le 12 mai » Covid-19 : un sommet mondial le 12 mai pour mettre un terme à la pandémie. Coprésidée notamment par les États-Unis, cette rencontre virtuelle se donne pour mission de mieux se préparer aux futures menaces liées à la santé. Le Point, mais source également AFP. 

[2] Lire dans ce même blog, notre article n° 70. Le grand Reset Mondial par son inventeur même  - Klaus Schwab. On peut également lire (conseillé) l’article n° 42. Connaissez-vous Klaus Schwab, le patron de Davos ? - P. Lefevre

21 mai 2022

92. Une question de notre siècle : "Vaccins, oui ou non" ? - S. MONTANARI – A. M. GATTI – S. RADER

Tout, tout tout, vous saurez tout sur les vaccins... 


 «Vaccins, oui ou non?», de S. MONTANARI – A. M.GATT – S. RADER

 

Editions : Talma Studios (2017)

Reprise de notre article sur le même sujet et le même livre, n° 19 de notre blog, revu et complété

 

Notons d'abord que cet ouvrage a été publié en 2017(après le refus de six éditeurs), c’est-à-dire, avant la « pandémie » et sa cohorte de bobards et de contradictions officielles.

Un siècle après Louis Pasteur, la vaccination n'a jamais été autant remise en question de toutes parts : les vaccins sont-ils fiables ? Provoquent-ils des maladies comme l'autisme, la sclérose en plaque, l'Alzheimer, le Parkinson, les allergies... dont le nombre explose  ?


Au moment  où l'on parle tant du vaccin contre le Coronavirus,[1] où de plus en plus de français se montrent réticents à se faire vacciner, au moment où le gouvernement souhaite accélérer sa campagne de vaccination, au moment où ne pas accepter la théorie gouvernementale fait de vous un « antivax », insulte suprême de notre époque,  il est peut-être temps de se pencher sur ce qui a déjà été dit et écrit sur le sujet, en particulier sur ce qui dit et écrit dans ce petit ouvrage regorgeant de renseignement et de mises au point. Le tout de première nécessité.


 

S. Montanari[2] et A. Gatti[3], scientifiques italiens reconnus internationalement en nano-pathologies, ont analysé des dizaines de vaccins par microscopie électronique.


 

S. Rader[4], pharmacien, ex-président fondateur de la Coopérative des pharmaciens, est devenu lanceur d’alerte face aux dérives de l’industrie pharmaceutique.

 

 

Ces 3 chercheurs ont effectué un travail de recherche de faits certifiés.

 

Suite à une commande d’analyse de tissus biologiques aux points d’injection de vaccins, de la part de l’université allemande de Mayence, les deux spécialistes italiens, surpris par leurs résultats ont ensuite enquêté et analysé la composition de divers vaccins.

 


Substances, vous avez dit substances ?

 

Leur livre contient les analyses et photos au microscope électronique des substances contenues dans les vaccins:

 

Aluminium, Baryum, Bismuth,  Carbone, Calcium, Chlore, Chrome, Fer, Potassium, Magnésium, Sodium, Nickel, Phosphore, Plomb ; Soufre, Silicium, Etain, Titane, Tungstène, Zinc, Zirconium.

Du glyphosate (composant du RoundUp), de l’arsenic, des pollutions organiques diverses, du squalène, des antibiotiques divers,etc.

Parmi ces substances toxiques certaines sont interdites, d’autres déconseillés aux nouveaux-nés qui les reçoivent tout de même.

 

La vaccination des innocents

Les bébés reçoivent des taux de métaux lourds supérieurs aux seuil admis pour les adultes dès leur première années alors que leur système immunitaire étant immature des scientifiques se posent beaucoup de question sur l’utilité de ces vaccinations tandis que d’autres scientifiques les jugent carrément criminelles. 

 

Les jeunes enfants français reçoivent 30 valences vaccinales par des vaccinations multiples et répétées sans examen préalable, sans se soucier de leur sensibilité, de leur possible allergies ou même parfois de leur immunité naturelle par une maladie d’enfance.

L’aluminium, le zinc, le mercure, le plomb et les autres toxiques endommagent leur système nerveux, amoindrissent leurs facultés intellectuelles, leur système immunitaire, et tout leur organisme en général.

Effets collatéraux, effets indésirables, effets secondaires… au moment où ceux des injections (que non vaccins) à ARN messager sortent au grand jour et qu'une enquête parlementaire à leur sujet est en cours, avec le silence assourdissant des médias, penchons-nous déjà sur ceux des vaccins traditionnels…

Car…

Devant l’ampleur et l’augmentation toujours croissante des effets collatéraux des vaccins dans le monde et le silence des médias, ce livre, rédigé par des scientifiques indépendants, tente d'alertes les citoyens sur un problème de santé publique d’une extrême gravité.

L’autisme, par exemple, est en progression constante très forte et semble suivre les courbes des campagnes de vaccination dans le monde


De leur enquête
, qui converge avec une soixantaine d’autres ouvrages parus au cours des précédentes décennies, il ressort qu’il n’existe aucune preuve, «aucune démonstration scientifique étayée de données réelles» de l’efficacité des vaccinations dans l’amélioration de l’hygiène ou la disparition de maladies.

Des maladies ont été éradiquées sans vaccination. Les pays ayant vacciné et ceux n’ayant pas vacciné ont vu des maladies disparaître aux mêmes époques souvent en fonction du niveau de vie.


Or ce n’est pas tout…

En revanche il existe dans plusieurs pays des épidémies faisant suite à des campagnes de vaccination ou bien on assiste actuellement à la recrudescence de maladies pour lesquels la couverture vaccinale dépasse les 80%  (supérieure à 96% pour le Brésil où la coqueluche ne cesse de progresser)

Il faut savoir aussi que des proches sont parfois contaminés par les enfants ou jeunes adultes vaccinés. Toutes les vaccinations comme tous les traitements médicamenteux sont à risque.

C’est d’autant plus scandaleux de rendre obligatoire ou d’encourager pour des maladies bénignes des vaccinations de plus en plus toxiques par leurs composants.


L’industrie pharmaceutique, avec la complicité d’hommes politiques
, dont certains que nous connaissons bien[5], de médecins qui touchent des primes à la vaccination, des revenus et autres avantages divers et celle d’une presse silencieuse, est peut-être en train de commettre en toute impunité un crime contre l’humanité. Il est dans cet ouvrage beaucoup question de « contrôles ». Notons à ce propos que
le PDG de « OPEN THE BOOKS[6] », révèle que ceux qui sont censés contrôler les laboratoires pharmaceutiques afin qu’ils ne mettent pas sur le marché des poisons sous le nom de « médicament » sont achetés à coups de centaines de millions de dollars par ces laboratoires pharmaceutiques[7]. Lors de sa conférence de presse téléphonique du 9 mai 2022, Adam Andrzejewski déclara : « Nous estimons que jusqu’à 350 millions de dollars de redevances payées par des tiers ont été versés aux scientifiques des NIH[8] au cours des années fiscales comprises entre 2010 et 2020 ». « Nous savons maintenant que 1 675 scientifiques ont reçu des versements au cours de cette période, au moins un versement. Pendant l’année fiscale 2014, 36 millions de dollars ont, par exemple, été versés, ce qui représente en moyenne 21100 dollars par scientifique ». « Nous avons également constaté qu’au cours de cette période, les dirigeants des NIH ont perçu des versements de la part de tiers. Francis Collins, par exemple, le directeur sortant des NIH, a reçu 14 versements. Le Dr Anthony Fauci en a reçu 23 et son adjoint, Clifford Lane, huit. »

 





[1] Lire à ce sujet dans ce même blog : art. 32. Un message de Rober F. Kennedy sur le COVID et le vaccin, art. 75. Pfizer, ce héros, d'après le groupe de médecins canadiens CCCA, art. 85. La grande catastrophe vaccinale - Klaus de Franconie

[2] Stephano Montanari. Né en 1949. Ecrivain et chercheur italien, spécialiste des nanoparticules, résident à Modène où il est directeur scientifique de la société modénaise Nanodiagnostics qu’il dirige avec son épouse Antonietta Gatti.

[3] Antonietta Gatti, diplômée en physique. Elle a été la première scientifique à identifier des nanoparticules en 2004 dans les tissus d’agneaux malformés, les reliant à des découvertes identiques trouvées dans les cellules de soldats atteint de cancers après des missions dans les Balkans.

[4] Né en 1952. Opposant farouche à la vaccination obligatoire, ex-pharmacien à la retraite, Serge Rader est décédé d’un arrêt cardiaque, le 22 mai 2021.

[5] Rappelons-nous les 11 vaccins obligatoires pour les bébés depuis le 1er janvier 2018 : un homme d’état très en vogue était élu depuis moins d’un an !

[6] OPEN THE BOOKS, « Ouvrez les livres de comptes », organisme américain de contrôle des dépenses publiques : https://www.openthebooks.com/

[7] Selon Pierre Lefevre « Libre consentement éclairé »

[8] NIH (National Institutes of Heallth), instituts américains de la santé…

 

Pour mémoire :

 

Sommaire complet de cet ouvrage :

 

Introduction

« Notre travail est celui de scientifiques, et les scientifiques, quand ils pratiquent honnêtement leur métier, n’ont pas droit aux opinions. »

 

Chapitre 1 : Ce que sont les vaccins, leurs débuts

« L’introduction du vaccin dans l’organisme met en fonction le système immunitaire, le réseau complexe de substances chimiques et de cellules qui défendent l’organisme des agressions chimiques et bactériennes (entre autres agressions), en reconnaissant comme une menace ce qui a été introduit dans une forme inacceptable d’inoculer cliniquement la maladie. »

 

Chapitre 2 : Histoires de maladies infectieuses

« Beaucoup de maladies infectieuses sont liées à l’hygiène : de la poliomyélite au tétanos… ». « Contrairement  à ce qui est affirmé de tous côtés, il n’y a pas de preuves indiscutables que les vaccinations ont conduit à la disparition des maladies

 

Chapitre 3 : Que sont les maladies vaccinables

« Les virus sont des entités un peu étranges qui ne peuvent être classées en terme rigoureux parmi les êtres vivants. Dans les grandes lignes, il s’agit de formations d’ADN ou ARN renfermées dans une protéine qui, pour se dupliquer, ont besoin de s’introduire dans une cellule vivante. »

 

Chapitre 4 : Nanopathologies

« Dégageons tout de suite le champ d’une équivoque : la médecine n’est pas une science. »

« La nanopathologie est la discipline médicale qui traite des maladies induites par les micro et les nanoparticules solides et inorganiques. »

 

Chapitre 5 : Qu’y a-t-il dans les vaccins ?

« A la différence des vaccins primitifs des XVIIIe et XIXe siècle, et ceux beaucoup plus raffinés d’il y a quelques décennies, les vaccins d’aujourd’hui sont des produits pharmaceutiques très complexes. »

 

Chapitre 6 : Pourquoi avons-nous analysé les vaccins ?

« Nous fûmes contactés par l’université allemande de Mayence afin de contrôler avec nos techniques de microscopie électronique la tuméfaction qui se formait chez certains sujets au point d’injection. Ce fut avec une certaine surprise que nous trouvâmes dans ces tissus biologiques des particules solides et inorganiques, et avec une surprise plus grande encore que nous trouvâmes les mêmes particules, à base d’aluminium, dans l’échantillon de vaccin

 

Chapitre 7 : Qu’avons-nous trouvé dans les vaccins ?

« Dans tous les vaccins, nous avons observé de façon plus ou moins importante des corps étrangers qui n’appartiennent pas ou ne devraient appartenir à la composition vaccinale. »

 

Chapitre 8 : Autisme et autres maladies dues aux vaccins

« Ce qu’il est honnête de dire est que l’autisme ou, mieux, les troubles du spectre autistique souvent désignés par le sigle ASD (Autism Spectrum Disorders) sont de plus en plus fréquents… »

 

Chapitre 9 : Comment les vaccins sont-ils administrés ?

« Vacciner tout le monde, avec de plus en plus de vaccins possibles, quoi qu’il en coûte… »

 

Chapitre 10 : Degré d’efficacité, bénéfices et risques des vaccins ?

« La question est plus que raisonnable et la seule réponse de vérité est que nous ne le savons pas. En fait, personne ne le sait. »

 

Chapitre 11 : Qu’étudient les médecins ?

« Aucun vaccin n’est contrôlé ni sûr, il n’existe pas d’études indépendantes. »

 

Chapitre 12 : Vaccins, oui ou non ?

« La médecine n’est pas une religion. »

« Vacciner n’est pas un acte foi. »

« Dans ce livre, nous avons évité de parler de corruption, un argument qui, ailleurs, par exemple en France, est en train de devenir central… »

 

Chapitre 13 : De l’inefficacité des institutions sanitaires, avec des conflits d’intérêts majeurs, à une justice sous contrôle.

« Face à la multiplication des scandales sanitaires, un constat s’impose : nos institutions sont incapables d’assurer les contrôles nécessaires pour protéger la santé publique. »

 

Chapitre 14 : Le forcing des producteurs de vaccins sur nos décideurs politiques.

« Plus de six mois s’étant écoulés depuis la fin de la rédaction de cet ouvrage et son refus de publication par six éditeurs successifs … »


156. "Une théorie de la connaissance chez Goethe - Rudolf Steiner

  A propos de « Une Théorie de la Connaissance chez Goethe » de Rudolf Steiner   aux Editions Anthroposophiques Romandes, édit...