Comment sauver la France
Pour une Europe des nations avec la Russie
Marc Rousset
Avant-propos
« Comment sauver la France – Pour une Europe des nations avec la Russie » dont l’auteur est Marc Rousset.
Marc Rousset, directeur général, économiste, essayiste, de formation HEC, prix de l’Académie des sciences Morales et Politiques, défend l’idée d’une Europe continentale, face à l’empire maritime des Etats-Unis.
Dans ce livre il pointe dans la France d’aujourd’hui, dans l’Europe d’aujourd’hui, dans le monde d’aujourd’hui les manques, immenses et flagrants, comme le montre la simple lecture du sommaire de cet ouvrage.
De cet ouvrage, dense et passionnant, de près de 450 pages, aujourd’hui, on ne parlera que d’un chapitre : le XXV (d’autres viendront peut-être), mais le sommaire est rappelé in extenso.
C’est que ce chapitre parle d’un problème dont tout le monde parle, et pas que les spécialistes : le climat. Le sempiternel climat dans un sens proche de celui évoqué dans l’article n° B79 de mon blog.
Le climat fait monter l’anxiété et attise les clivages. Le climat, comme la Covid 19 ou la guerre en Ukraine ouvre aussi les vannes de la désinformation à laquelle se livrent les tenants de la presse officielle tant écrite qu’orale ou télévisuelle.
Le climat, Marc Rousset en parle, et en en parlant il égratigne quelques icones de la pensé unique et officielle actuelle, par exemple la voiture électrique en tant que solution d’avenir et Greta Thunberg, « ce superbe instrument de manipulation des foules ».
En avant donc !
Chapitre XXV – Non aux bobards verts des verts idéologues !
Et Didier Raoult confirme « le réchauffement climatique… une religion aux enjeux financiers énormes ».
L’écologie moderne, une idéologie dangereuse
Marc Rousset pense que l’écologie est devenue une idéologie dangereuse parce qu’elle veut commander à la science et elle prône des énergies qui ne sont ni propres ni efficaces parfois : voir l’échec des éoliennes, ruineuses, bétonneuses, dont les matériaux, trop éphémères ne sont pas vraiment propres et qui ne tournent qu’à 24 % du temps en France.
Le changement climatique est une réalité récurrente depuis le début de l’existence de la terre. Ce n’est ni créé par l’homme, ni dangereux, s’il s’agit de quelques degrés. Ce phénomène naturel a été récupéré par des idéologues, des politiques et des financiers dont les motivations n’ont rien à voir avec l’écologie véritable.
Personne ne sait et ne peut savoir si ce réchauffement est momentanée ou le début d’une longue période. Les statistiques est l’histoire du climat sont trop récentes pour apporter des indices de compréhension fiables.
Du Groenland, le pays vert …
Ce que l’on sait, par contre, c’est que le Groenland a été un pays vert (Groenland = terre verte en danois) avant d’être coupé de l’Europe par des icebergs sur les routes maritimes que les vikings empruntaient auparavant. Le climat a toujours changé et, parfois, brutalement, balayant des civilisations, à des époques où il n’y avait pas de gaz carbonique produit par des activités humaines.
…Aux bobards du GIEC
« Le réchauffement climatique par le CO2 est un bobard créé par le GIEC sur des fausses prévisions fantaisistes pour le climat de 2100. » (alors que la météo est incapable de prédire le temps fiablement au-delà de 5 jours).
Marc Rousset mentionne l’existence du livre de François Gervais (expert du GIEC), directeur de recherches au CNRS, en 2018 « L’Urgence climatique est un leurre » (Ed l’Artilleur). A l’instar de beaucoup de scientifiques indépendants et intègres il met en doute l’urgence et l’augmentation de la température liée au gaz carbonique.
En revanche, l’importance des cycles solaires dans les changements climatiques est établie (voir les études du NCAR – National Center for Atmosphéric Research).
La France émet peu de CO2, mais a une taxe carbone !
La France n’émet qu’un pourcentage ridicule du CO2 mondial anthropique, ce qui rend encore plus absurde les mesures politiques françaises pour réduire les émissions globales de CO2 : « Les dépenses imposées aux Français pour les diminuer n’ont aucun sens et aucune influence sur le climat ».
C’est pourquoi, Marc Rousset conseille aux « talibans verts » d’aller exercer leurs pressions ailleurs, car aucun des pays les plus pollueurs de la planète ne s’impose de taxe carbone.
Le vert totalitarisme des Verts
Marc Rousset parle de totalitarisme vert de la part d’ignorants ou de corrompus ayant un intérêt particulier lié à ce mensonge de l’urgence climatique.
Faire peur par une fausse écologie participe au projet mondialiste : « Le nouvel ordre moral veut construire un monde pasteurisé… nous avons des intégristes verts qui mêlent la vieille peur ancestrales de l’Apocalypse avec un puritanisme redoutable et potentiellement coercitif. » écrit Régis Debray dans ‘Le siècle vert’, 2019, chez Gallimard.
Le phénomène Greta Thunberg
Greta Thunberg, gourou instrumentalisé pour culpabiliser en jouant sur les peurs et les émotions collectives. « Ce chaman de l’écolo-catastrophisme est un produit mercantique, un superbe instrument de manipulation des foules, dont le discours préfabriqué recraché mécaniquement avec des imprécations hystériques... vient faire la leçon à la planète entière ».
Greta Thunberg n’a aucune légitimité officielle. « Elle est le contre-feu allumé … pour lutter contre la vague populiste qui menace … un projet mondialiste mûri depuis des décennies par les Soros et Cie, la famille Person, milliardaire suédois … »
M. Rousset pense que si on voulait vraiment combattre le CO2 il vaudrait mieux réduire le libre-échange mondialiste, le tourisme, l’hyperconsommation et limiter les populations de l’Afrique et des pays émergeants. « Les paquebots de croisière, les cargos porte-conteneurs et les éruptions volcaniques sont la cause de la majeure partie de la pollution par le gaz carbonique ».
La voiture électrique est-elle une solution écologique ?
« La voiture électrique est « une alternative trop coûteuse et peu avantageuse… par rapport à la voiture thermique … Les voitures électrique polluent, en réalité, plus que les voitures à moteur thermique et au double du prix pour le consommateur … Les constructeur occidentaux prévoient 225 milliards d’euros d’investissement pour électrifier leur gammes d’ici 2023 »
« La construction d’un véhicule électrique demande plus d’énergie ». En particulier, la fabrication et le recyclage des batteries génèrent une pollution très problématique, avec des métaux rares dont l’extraction est très polluante. « La voiture électrique ne détruit pas la pollution, elle la déplace … De plus, il y a risque d’épuisement du lithium d’ici à peu près 50 ans si les voitures sont remplacées par des voitures électriques ».
Mais les gouvernements et les dirigeants occidentaux veulent imposer la voiture électrique très coûteuse, peu autonome et très polluante, avec des batteries impossibles à recycler sans oublier les bornes de rechargement qui vont consommer des milliers de Mégawats forcément nucléaires.
Alors que d’autres alternatives existent, comme la voiture à hydrogène qui offre de nombreux avantages. Actuellement déjà l’hydrogène propulse les fusées, fait avancer des voitures, des bus et des camions. Le moteur à hydrogène est plus autonome, plus rapide à charger et beaucoup moins coûteux.
L’ONG « TRANSPORT ET ENVIRONNEMENT », après étude, est arrivée à la conclusion que les émissions de CO2 des véhicules hybrides sont 12 fois supérieures à ce que les constructeurs annoncent.
Les hybrides, parce que plus lourdes, consomment plus de carburant et dégagent plus de CO2. Cette ONG ajoute que « le gouvernement français devrait supprimer, au plus vite, les aides à l’achat de véhicules hybrides et les incitations fiscales pour les véhicules d’entreprise ».
Les énergies dites vertes en Europe sont très polluantes en Chine et dans les pays émergeants, voir le film documentaire « La face caché des énergies vertes » sur Arte, fin 2020.
La Cour des comptes a alerté les responsables politiques début 2018 sur le coût faramineux des énergies renouvelables et sur leurs résultats insignifiants. « Et, le bouquet c’est que l’on n’a même pas créé des emplois en France avec les milliards gaspillés ».
Marc Rousset conclut qu’il faudrait « en finir avec la diabolisation des climatoseptiques ».
« Dans une société soi-disant démocratique aucune question ne devrai rester tabou et ceux qui ne respectent pas les thèses officielles devraient pouvoir librement s’exprimer sans être dénoncés, comme des adeptes d’une imaginaire théorie du complot, tout particulièrement dans un pays comme la France qui fit jadis de Descartes son maître à penser … A quand un référendum pour mettre fin aux folies des khmers verts ? ».
Postscriptum :
Comment sauver la France
Pour une Europe des nations avec la Russie
Marc Rousset
Sommaire de ce livre qui ne plaira pas à tout le monde, loin de là !
I. Une UE impuissante dans un Occident en déclin
Chapitre I – Vers un monde multipolaire : Montée en puissance de la Chine et déclin des Etats-Unis
Chapitre II – Impérialisme américain, extraterritorialité, « Racket de la justice américaine et Politique des sanctions
Chapitre III – L’Angleterre historiquement opposée à l’Europe
Chapitre IV – Une UE incapable et décadente sans volonté de puissance
Chapitre V – Identité et civilisation européennes
II. La volonté de puissance d’une confédération carolingienne
Chapitre VI – La volonté européenne de puissance ou la mort de l’Europe
Chapitre VII – Pour une Europe puissante des Nations
Chapitre VIII – France-Allemagne, point de départ irremplaçable de l’Europe
Chapitre IX – Une confédération carolingienne, noyau dur de l’Europe
Chapitre X – Nostalgie de l’empire européen et hypothétique Nationalité européenne
Chapitre XI – Primauté de l’Esprit et du Politique sur l’Economique
Chapitre XII – Un État fort dans chaque Nation pour retrouver la puissance
Chapitre XIII – Un homme d’état fort dans un état fort pour retrouver la puissance
III. La politique de puissance d’une confédération carolingienne
Chapitre XIV – Non au libre-échange mondialiste
Chapitre XV – Pour une Confédération carolingienne protectionniste et autocentrée
Chapitre XVI – Pour une monnaie unique à terme dans une Confédération carolingienne
Chapitre XVII – Des frontières en lieu et place de la passoire Schengen
Chapitre XVIII – Non à l’immigration extra-européenne
Chapitre XIX – Pour une politique industrielle dans une France compétitive
Chapitre XX – Pour une politique industrielle européenne
Chapitre XXI – Pour une Europe innovante et indépendante technologiquement
Chapitre XXII – Les Nations européennes doivent quitter l’OTAN
Chapitre XXIII – Pour une « OTAN européenne » des Nations sans l’Amérique
Chapitre XXIV – Les coopérations européennes dans les industries technologiques
Chapitre XXV – Non aux bobards verts des Verts idéologues
Chapitre XXVI – La langue de l’Europe : le français pou l’espéranto !
IV. La politique de puissance d’une confédération carolingienne alliée avec la Russie
Chapitre XXVII – Poutine, un homme d’État fort !
Chapitre XXVIII – La Russie, une Démocratie autoritaire, forte et patriote
Chapitre XXIX – Le mirage de la menace russe
Chapitre XXX – La Russie européenne souhaite se rapprocher de l’Europe
Chapitre XXXI – Une Europe non plus vassale, mais égale des États-Unis
Chapitre XXXII – La Russophobie de l’Amérique
Chapitre XXXIII – La Russophobie de la Pologne
Chapitre XXXIV – Nécessité du rapprochement entre la Russie et une Confédération carolingienne
Conclusion
« Le monde est dangereux à vivre ! Non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire »
Albert Einstein
Postscriptum II :
Le blog de Marc Rousset : http://marcrousset.over-blog.com/
