16 janvier 2022

75.Pfizer, ce héros, d'après le groupe de médecins canadiens CCCA

 

Lorsque Pfizer annonce que son 'vaccin' (sic!) est efficace à 95 %, cela veut dire quoi, en fait ?

 


Est-ce à dire qu’une population vaccinée est protégée à 95 % ? NON

Est-ce à dire qu’une personne vaccinée est protégée à 95 % ? NON

Est-ce à dire que la publicité gouvernementale « Tous vaccine tous protégés » est un mensonge ? OUI

Mais, alors ce 95 % là, c’est quoi ?

C’est le résultat d’un savant calcul dont le but est bel et bien d’enfumer les populations…

En voilà comment

 


 

Qui et quoi ?

 

Une association de médecins canadiens (CCCA) explique de A à Z, et de façon accessible à tout le monde, comment l'AMM de Pfizer (et donc tout le reste...) est une escroquerie monumentale  à tous les niveaux de décision. Cette présentation faite par des professionnels de santé est imparable et les preuves, irréfutables.

 

Canadian Covid Care Alliance (Alliance canadienne pour la prévention et la prise en charge de la Covid-19) : 500 médecins, scientifiques et soignants indépendants engagés à fournir des infos objectives et fondées sur des preuves concernant le covid-19 au peuple canadiens pour sauver des vies, réduire les hospitalisations et ramener le Canada à la vie normale le plus rapidement possible. Ils soutiennent la relation médecin/ patient, les soins personnalisés, le consentement éclairé, les vraies options de traitement, les vaccins sûrs et efficaces.

 

Pour eux, en médecine, d’abord «Ne pas nuire»

 

Transcription de la vidéo :

https://odysee.com/@ExcaliburTraduction:4/Pfizer-Inoculation-Do-More-Harm-Than-Good-Wem-1:9

Nota : cette vidéo comporte, comme il est dit dans la transcription une référence à un document PDF en langue anglaise

Les niveaux de preuve : une hiérarchisation nécessaire

 

Dans cette présentation en vidéo, ils commencent par rappeler ce qu’est une preuve et quels sont les niveaux de preuve en recherche scientifique moderne. Le niveau de preuve le plus fort est le niveau 1. Une preuve de niveau 1 est  issue d’un essai randomisé contrôlé, le seul moyen de prouver que quelque chose est vraie. Il est la référence.

 

Les modélisations dont on a parlé pendant la pandémie est le niveau de preuve le plus faible, le plus bas : le niveau 6, ce sont des avis d’experts ou des spéculations.

La stratégie doit être déterminée par des preuves de niveau 1.

 

L’Essai clinique Pfizer sur des adultes

 

Pfizer annonce une protection de 95 % : ce chiffre correspond à la réduction du risque relatif (RRR) mais ne dit pas de combien votre risque global est réduit par la vaccination. Pour cela il faut connaître la réduction du risque absolu ( ARR)

 

Le vif du sujet : les 95 %...

 

Le risque de développer le covid sans le vaccin est très faible : 0, 88% dans le groupe témoin (ou groupe placebo). La réduction du risque absolu avec un vaccin pfizer est de 0,84 %

 

Le chiffre de 95 % fait référence au rapport entre les 0,84 % (groupe « vacciné ») et les 0,88 % (groupe témoin avec injection placebo). C’est-à-dire au résultat obtenu en divisant 0,84 par 0,88. La réduction du risque relatif (RRR) à 95 % est un chiffre trompeur ; c’est pourquoi la FDA (Food and Drug Administration, agence fédérale US responsable de santé publique) conseille d’utiliser le chiffre de la réduction du risque absolu (ARR)

 

Combien de personnes auraient  choisi de se faire vacciner si elles avaient compris que le vaccin contre la covid-19 offrait moins de 1% (0,88 – 0,84 = 0,04) de bénéfice ?

 

L’étude Pfizer proprement dite

 

L’étude Pfizer ne s’est pas déroulée comme prévu. Un groupe inoculé et un groupe placebo de 21.000 participants chacun ont participé à l’essai  contrôlé. L’essai de phase 3  a  commencé en Juillet 2020. Au départ c’est une étude en aveugle : les participants ne savent pas dans quel groupe ils sont. Cet essai devait se poursuivre jusqu’au 2 Mai 2023, fin de la phase 3, de l’essai clinique. A ce moment-là les participants ne seraient plus en aveugle et les participants du groupe placebo se verraient proposer l’intervention s’ils y consentaient. Mais, contrairement aux prévisions, après 2 mois d’essai, Pfizer a stoppé l’étude en aveugle les participants ont été informés du groupe dans lequel ils étaient et il leur a été proposé d’être inoculés. La plupart d’entre eux ont accepté l’offre de Pfizer. Début 2021 il n’y avait donc plus de groupe témoin, c’est-à-dire, plus aucun moyen de vérifier l’efficacité et la sécurité du vaccin sur le reste de l’étude.

 

Le rapport sur 6 mois publié par Pfizer en septembre 2021 indique une efficacité de 91,3 %, en faveur du groupe inoculé de l’essai. Dans ce rapport pas de tableau des effets indésirables, il faut donc fouiller dans l’annexe supplémentaire du rapport pour le trouver (un lien dans la version PDF  en anglais de cette présentation)

 

Effets indésirables : inquiétant !

 

Le  tableau qui figure sur la version PDF est inquiétant car le groupe inoculé présente une augmentation des effets indésirables dans presque toutes les catégories. Les effets causés par le produit expérimental : plus de 5000 dans le groupe inoculé  et un peu plus de1000 dans le groupe placebo. Une augmentation donc de 300 % pour les personnes primo-inoculées. Les effets indésirables sérieux : augmentation de 75 %. Les effets graves (urgences ou à long terme) : augmentation de 10 %.

 

Ceci est une preuve de niveau 1, issue d’un essai randomisé contrôlé : les inoculations Pfizer augmentent la maladie au lieu de la réduire ; c’est le contraire de ce que les gouvernements prétendent faire. Cela signifie qu’ils n’ont pas réussi à prouver que ces inoculations sont sûres. Réduire le nombre de cas (ce qui est, par ailleurs, loin d’être le cas !) n’a pas d’importance si vous mettez les gens en danger en les rendant plus malades qu’ils ne l’auraient été normalement.

 

Non seulement il y a un risque accru de maladie avec les inoculations mais il y a aussi un risque accru de décès.

 

A gauche de ce tableau figurent les décès survenus avant l’arrêt de l’essai en aveugle, c’est-à-dire au cours des 2 premiers mois de l’essai. Il n’y a pas de réduction des décès dans les bras inoculés mais au contraire ils sont légèrement plus élevés. 15 décès pour les bras  inoculés contre 14 pour les bras placebo. Et cela s’aggrave après l’arrêt de l’essai en aveugle et que les placebo changent de groupe pour recevoir l’inoculation : 5 personnes de plus sont mortes, et toutes avaient reçu l’injection.

 

Une volonté de maquiller la réalité

 

Pfizer n’a pas mis ces décès dans un tableau comme les autres. Nous les trouvons enfouis dans les textes du rapport. Trois personnes de l’inoculation originale et deux personnes initialement dans le groupe placebo et qui ont pris l’inoculation.

 

Cela donne donc 20 décès dans le groupe inoculé contre 14 dans le groupe placebo. Cette augmentation de décès est une preuve de niveau 1 car issue d’un essai randomisé contrôlé.

Ces essais n’ont pas prouvé que l’inoculation est sûre. Ils ont prouvé que l’inoculation cause des dommages, y compris la mort.

 

Les différents types de décès

 

Les types de décès sont également préoccupants : surlignés en turquoise, 3 décès attribués au Covid-19 : 1 dans le groupe inoculé, 2 dans le groupe placebo. Surlignés en rouge : les accidents cardiovasculaires : 14 décès dont presque 2 fois plus dans le groupe inoculé.

 

A ce stade il faut se demander ce qui n’a pas marché. Le non respect des protocoles officiels de sécurité et d’efficacité de haute qualité était évident dès le début. Pfizer n’a pas suivi le protocole établi pour le développement des vaccins qui normalement demande 10 ans et dans lequel la sécurité est un élément clef.

 

Dans de rares cas un vaccin peut-être développé en 5 ans seulement.

 

Pour les injections Covid-19 tout a été fait en moins d’un an. Les tests sur les animaux ont été supprimés. Les phases 2 et 3 ont été combinées et après 2 mois de ces phases,  l’utilisation d’urgence a été autorisée, les essais en aveugle ont été stoppés et le déploiement a commencé.

 

Il a été dit que les injections covid-19 n’ont pas besoin d’être testées parce que la technologie  ARNm a déjà subi des tests approfondis. Mais celle-ci est la technologie de distribution, pas celle d’inoculation elle-même. C’est comme dire que, puisque nous avons utilisé des seringues en toute sécurité dans le passé, tout ce qui est injecté par seringue est sûr.

 

Des essais biaisés

Un des problèmes de l’essai était les données démographiques faussées. La répartition par âge des personnes touchées par le Covid-19 diffère considérablement de celle de l’essai.

Plus de 85 % des personnes à risque ont plus de 75 ans. Dans l’essai Pfizer seulement 4 % ont plus de 75 ans. L’accent aurait dû être mis sur la population cible qui aurait pu le plus bénéficier de ce traitement. Pfizer a choisi des participants plus jeunes qui sont moins susceptibles d’avoir besoin d’un vaccin,  moins susceptibles de subir un effet indésirable au cours d’un essai et seraient plus susceptible de bien répondre à un vaccin, car les personnes âgées ont une réponse immunitaire plus faible.

 

Les données démographiques sont faussées en termes d’âge mais aussi en termes d’état de santé. Les injections ont été testées sur des personnes en bien meilleur santé que celles les plus touchées par le Covid-19 dans le monde réel. Dans le monde réel, 95 % des personnes décédées avec le Covid-19 avaient au moins 1 comorbidité listée comme cause de décès. Et la moyenne est de 4 comorbidités.

 

Dans l’essai de Pfizer seulement 21 % des participants avaient une condition co-existante. Cela a des implications majeures pour le déploiement car on nous dit que les injections sont sûres alors que de nombreux problèmes de santé, une liste de plusieurs pages dans les essais de Pfizer, ont été exclus des essais, les femmes enceintes, allaitantes, les allergiques, les troubles psychiatriques, les immunodéprimés, les troubles de la coagulations, les testés positifs au Covid-19, les prescriptions de stéroïde, etc. ont été exclus de l’essai.

 

Donc pas d’allégation de sécurité concernant ces personnes et pourtant ils ne sont pas exclus des passeports vaccinaux. Aucune preuve de sécurité pour eux alors qu’on leur dit qu’ils peuvent se faire vacciner en toute sécurité.

 

Une pratique non scientifique et non éthique

 

Ces injections ont été testées sur des personnes en bonne santé puis administrées aux membres les plus fragiles de la société, âgée ou souffrante de multiples problèmes de santé. Cette pratique est non scientifique et non éthique et a probablement participé à l’augmentation des décès dus au Covid-19 et à la mortalité toutes causes confondues.

 

Pfizer a également utilisé des groupes de contrôle inadéquats ; il n’a considéré que 2 groupes, les non exposés et les injectés ; donc des personnes qui n’avaient jamais eu le covid et ont reçu une injection et des personnes non exposées et non injectées. Ils auraient du inclure les personnes exposées et injectées et ceux exposés et non injectés. Parce que nous devons savoir si les personnes rétablies peuvent recevoir l’injection en toute sécurité. Nous devons savoir par rapport à l’efficacité et par rapport à l’immunité naturelle comment l’injection se positionne.

 

L’immunité naturelle comme référence

 

L’immunité naturelle est la référence et les inoculations devraient y être comparées. Le fait que cette comparaison a été évitée montre que Pfizer n’était pas persuadé que les résultats auraient été en sa faveur

 

Pfizer a également utilisé une méthodologie de sécurité de faible qualité en ne faisant pas le suivi des bio-marqueurs. (Lien pour un excellent article de toxicologie dans version PDF de cette présentation : « Pourquoi vaccinons nous les enfants contre le Covid-19 ?»)

 

Les essais n’ont pas testé les pré-symptômes. Leur méthodologie n’a pas été satisfaisante avec de mauvais critères d’évaluation cliniques. Toutes les maladies et tous les décès auraient dû être évalués. La question qui aurait dû prédominer : les vaccinés sont-ils moins malades et meurent-ils moins  que les non vaccinés ? Si la réponse était négative ils auraient dû repartir à la case départ, c’est la méthode scientifique. Au lieu de ça, la question posée a été : est-ce que les personnes vaccinées sont moins positives au Covid-19 ?

 

Et ont procédé à un déploiement mondial car la conception de l’essai ne permettait pas que la réponse soit négative.

 

Réduction de la contamination ?

 

Bien que les passeports vaccinaux soient maintenant utiliser pour prévenir ou réduire la transmission du Covid-19, ce paramètre n’a jamais été étudié dans l’essai. Il est donc inapproprié d’attribuer cette capacité à ces inoculations. Il n’y aucune preuve qu’elles réduisent la propagation ou la transmission de la maladie et cela n’a même jamais été l’objectif de l’étude.

 

Les essais de Pfizer n’ont pas testé tous les participants pour le covid-19, seuls les participants présentant un symptôme de covid-19 ont été testés en laissant les investigateurs décider quel symptôme choisir ? Ce qui veut dire que les contaminations asymptomatiques n’ont pas été dépistées. Cela a introduit un haut niveau de subjectivité dans les études car un enquêteur avait la possibilité de manipuler les résultats en décidant de tester ou de ne pas tester.

 

Manque de rigueur, résultats faussés

 

Ce manque de test systématique et objectif rend les résultats de l’essai non fiables. Tous les participants auraient dû être testés.

 

De nombreuses données manquent dans l’étude, ce qui est préoccupant. Le critère d’évaluation ce sont les cas confirmés de covid. Dans l’essai original dont les résultats sont publiés le 31 Décembre 2020, la réduction du risque relatif est de 95 %, en faveur du groupe inoculé. Mais avec le petit nombre de cas positifs, tout changement peut avoir un grand impact.

 

De plus nous constatons une perte de données par la perte de suivi, la perte de contact avec ces participants qui ne peuvent pas confirmer si elles sont tombées malades ou non ou si elles sont mortes. Personne ne le sait.

 

Les 80 participants inoculés perdus de vue sont 10 fois plus que le nombre de cas confirmés. Si une partie significative de ces 80 personnes inoculées étaient positives au covid-19 cela changerait considérablement les résultats. Et c’est encore pire car il y avait des cas suspects mais non confirmés. Ces personnes classés asymptomatiques n’ont jamais été testées, laissées à la décision de l’investigateur. Si même une petite proportion d’entre elles étaient positives, cela poserait un réel problème pour les résultats globaux.

 

L’étude n’aurait jamais dû être acceptée

 

Le fait que les chiffres de suivi et de cas suspects non confirmés soient plus élevés que les chiffres  des données finales signifie que ces données ne sont pas fiables. L’étude n’aurait pas dû être acceptée. Dans le cadre d’une pratique normale, ils auraient dû investiguer davantage.

 

Il y avait aussi un nombre élevé de pertes de suivi et de cas suspects non confirmés dans le groupe placebo et cela aurait pu aussi changer les résultats de manière significative. La différence de proportion aurait pu changer entre les 2 groupe et modifier le chiffre de RRR très fortement (Voir tableau du rapport : le risque relatif serait descendu à 19% au lieu de 95 %)

Mais Pfizer avait besoin d’un RRR de 50 % pour bénéficier d’une AMM en urgence.

 

L’Essai clinique Pfizer sur des adolescents de 12 à 15ans.

 

Pour eux l’injection présente tous les risques et aucun avantage. L’essai était sévèrement insuffisant. Une étude d’une aussi petite taille ne permet pas de mettre en évidence de manière fiable les risques d’effets indésirables.

 

Groupe inoculé : 1005 personnes non testées positives au covid-19

Groupe placebo : 978 personnes dont 18 testées positives au covid-19

 

Les adolescents n’ont aucun risque statistique de maladie grave ou de décès par le covid-19. Le danger est si faible qu’il est difficile de le quantifier. L’inoculation est très peu bénéfique pour eux mais comporte un risque très sérieux d’effets indésirables. Mais l’étude Pfizer n’a pas été conçue pour évaluer  des effets indésirables. Un effet grave ou un décès sur 800 personnes pourrait ne pas apparaître dans cette étude. Pourtant parmi les adolescents inoculés il y a eu au moins 1 effet grave : Maddie de Garay (12 ans) maintenant en fauteuil roulant et nourrie par sonde. Dans le rapport Pfizer cela a été minimisé.

 

D’autres effets indésirables ont été supprimés ou présentés de manière inexacte.

 

Pour les enfants de 5 à 11 ans l’inoculation est un risque inacceptable pour leur santé.

Dans un tableau utilisant une modélisation prédictive, Pfizer reconnaît que l’inoculation provoquera des myocardites mais ils affirment avec optimisme  qu’il n’y aura aucun décès dû à ces myocardites ; c’est de la pure spéculation. (Voir colonne jaune du tableau de la version PDF)

Même si c’est vrai qu’il n’y aura aucun décès il n’y a aucune justification à provoquer une myocardite chez les enfants. Le principe « ne pas nuire » devrait s’appliquer. Mais le gouvernement a normalisé le risque de problème cardiaque lié à ces injections chez les enfants au point que les enfants malades diffusent des brochures sur la manière d’y faire face .

 

Point sur la myocardite

 

La myocardite est en fait très grave. Elle endommage le cœur d’une manière irréversible. Elle affaiblit le cœur et fait que le corps ne reçoit pas assez de sang ou des caillots sanguins peuvent se former dans le cœur, provoquant AVC ou crise cardiaque. Le taux de mortalité est de 20 % à 6 ans 1/2

 

Pfizer a peut-être raison, il n’y aura pas de décès immédiatement mais le risque de mourir de 1sur 5 pour un enfant de 6 ans est inacceptable. La FDA dit que c’est un risque acceptable car le principe de ne pas nuire est abandonné. Le Dr Eric Rubin, membre de la FDA trouve que c’est un moyen approprié de tester les effets indésirables de ces injections. Il est le rédacteur en chef du New England Journal of Medecine, éditeur du rapport d’essais de Pfizer.

 

Quid d’une publicité normalement interdite… mais faite par les autorités !

 

La publicité aux consommateurs pour les médicaments est illégale au Canada, pourtant des politiciens de tous les niveaux gouvernementaux font la promotion des injections aux enfants en utilisant des dessins animés et des mascottes. Ils proclament que les injections sont sûres alors qu’il n’y a aucune donnée pour le prouver.

 

Ce que Pfizer admet pourtant

 

En plus d’admettre la possibilité de myocardite, Pfizer admet également dans son rapport que ses données sur l’efficacité de la réponse immunitaire et la sécurité à long terme sont limitées et que ses études n’étaient pas assez poussées pour trouver des effets secondaires rares.

 

Combien de parents le savent et emmèneraient leurs enfants se faire injecter s’ils en étaient informés ?

 

La loi sur le consentement éclairé dit qu’ils devraient l’être, mais ce n’est pas le cas.

 

Un grand journal médical s’en mêle et Pfizer se tait (La FDA aussi)

 

Le British Medical Journal, un des plus anciens et des plus respectés au monde a interpelé Pfizer au sujet de graves problèmes dans l’exécution de leurs essais.  Le 02/11/2021 il a publié un article sur une des entreprises de recherche engagé par Pfizer pour mener les essais. Une ancienne directrice de recherche de cette entreprise a averti que des données ont été falsifiées,  que l’étude en aveugle n’a pas été respectée correctement, que des participants présentant des symptômes n’ont pas été testés,  que des échantillons ont été mal étiquetés. Son témoignage a été soutenu par d’autres employés.

 

Malgré tout ça ni Pfizer, ni la FDA (Food und Drug Administration) n’ont audité ou enquêté sur cette entreprise de recherche.

 

Pfizer n’a jamais révélé ces problèmes dans sa demande d’AMM en urgence. Il a même engagé cette même entreprise de recherche pour mener 4 autre essais sur le covid-19.

 

Donc il n’est pas surprenant de constater tous les problèmes de ce rapport d’essai de 6 mois du 15/09/2021. Pfizer y a manipulé les données d’efficacité. Les résultats d’essais sur les adultes, commencés en Juillet 2020, ont été pris et intégrés sur les résultats des essais sur les 12 à 15 ans qui ont commencé 4 mois plus tard. Comme il est bien connu que l’efficacité des injections diminue avec le temps, cela a donné une fausse augmentation des chiffres d’efficacité. L’efficacité de ces 2 cohortes aurait dû être reportée séparément et non présentée comme un résultat global. Mais sans ce coup de pouce leur chiffre d’efficacité aurait probablement chuté.

 

La sécurité du vaccin n’a pas été prouvée

 

Revenons au résultat à 6 mois. Les cas de Covid-19 positifs n’étaient pas le bon critère clinique. Le critère qui aurait dû être choisi : celui  de la maladie et des décès.

 

Non seulement Pfizer n’a pas réussi à prouver la sécurité de son injection expérimentale mais en fait il en a prouvé les dommages et ce malgré le fait que tout le possible a été fait pour piper les dés en faveur des injections tout au long des essais. Dommages prouvés malgré le choix de personnes plus jeunes et en meilleure santé que ceux à qui elles ont été inoculées en priorité et malgré de petits groupes peu convaincants de jeunes participants.

 

Malgré tous les efforts pour tricher, les dommages sont apparus dans le rapport Pfizer.

 

On peut imaginer le pire si l’étude avait été menée correctement  en cherchant les possibles effets nocifs.

 

Les dommages sont là et ils sont clairs. Comment se concrétisent-ils dans le monde réel ?

Le gouvernement nous assure qu’il surveille le déploiement et que s’il y a des problèmes il les trouvera. Mais est-ce vrai ? Comment les surveille-t-il ?

 

Un mot sur la surveillance

 

(Voir le tableau sur la surveillance)  La surveillance active est celle des personnes déclarant par une appli les effets indésirables après 7 jours. Et ce qui est non demandé : une saisie libre des effets pendant 1 mois. Le taux d’effets indésirables signalés est de 30 %

 

La surveillance passive est celle appliquée par le Canada, les USA et la GB pour le déploiement des vaccins.  Au Canada le gouvernement joue un rôle de contrôleur ce qui fait qu’il est très difficile de faire remonter les chiffres des effets indésirables ; le processus est complexe et contraignant, il passe par plusieurs niveaux d’approbations bureaucratiques avant que Santé Canada ne le voit. Ensuite il est décidé si oui ou non c’est lié à l’inoculation. Le résultat est que les effets indésirables n’apparaissent pas.

 

Il n’est pas raisonnable de croire qu’une inoculation qui a produit des effets indésirables chez 78 % des sujets de l’essai Pfizer n’a provoqué aucun effet indésirable dans un déploiement à l’échelle de la population. En fait le signal a été perdu. Nous ne les trouvons pas parce que nous ne les cherchons pas.

 

Les problèmes chez les jeunes

 

Mais nous entendons de plus en plus l’augmentation de problèmes cardiaques chez les jeunes. Le ministère de la santé publique de l’Ontario est bien conscient de ce phénomène. Il a publié un rapport à ce sujet. Mais les recommandations sont incohérents (Pfizer remplace Moderna et AstraZeneca à cause des forts taux de myocardites ou de coagulation sanguine.)

 

Des athlètes dont le rythme cardiaque est différent en exercice se sont effondrés après l’inoculation. Une liste de 60 sportifs est établie,  5 sont morts au cours des derniers mois. (Lien dans version PDF de cette présentation)

 

Un site d’info israélien a publié les morts subites sur le terrain ou en plein jeu des membres de la Fédération Internationale de Football (FIFA), au cours des 20 dernières années. Le nombre moyen de morts subites sur les terrains était de 4,2 par an. Ce nombre est passé à 20 en 2021 (multiplié par 5)

 

De plus en plus d’adolescents de tous pays et de vedettes sportives s’effondrent pendant des activités sportives.

 

Le 17/11/2021 la FDA a publié le 1er volet d’un rapport de plus de 300.000 pages de pharmacovigilance qu’un tribunal lui a ordonné de fournir pour satisfaire une demande de liberté d’information d’un groupe, appelé « Professionnels de la santé publique et de la médecine pour la transparence », qui voulait avoir accès aux données utilisées par la FDA pour valider les inoculations covid-19 de Pfizer. La FDA n’a pas voulu les leur donner. La Cour lui a donné 50 ans pour les publier. Les rapports de pharmacovigilance post commercialisation soumis à la FDA  indiquent  plus de 1200 décès et plus de 25.000 effets indésirables et malgré cela les injections ont été déclarées sûres.

 

Les conflits d’intérêts

 

Les conflits d’intérêts sont évidents. Pfizer gagne des milliards : plus de 33 milliards en 2021. Probablement beaucoup plus à ce jour. Avec des sommes aussi astronomiques il serait logique d’assurer une surveillance rigoureuse du processus et de mettre en place autant de garanties que possible car leur agenda est celui de leurs actionnaires et de leur résultat financier, pas celui de la santé publique.

 

Quiconque se penche sur Pfizer sait que la prudence est de mise parce qu’au fil des ans il a été prouvé que Pfizer s’est livré à de nombreuses activités fallacieuses et criminelles. Notamment en mentant pour obtenir l’aval fédéral pour une valve cardiaque qui s’est fracturée et a tué des centaines de patients dans le monde, en menant des essais cliniques sur des enfants africains sans le consentement de leurs parents et après lesquels certains des enfants sont morts, en soudoyant des médecins, en supprimant des recherches, en manipulant des études,  en cachant des informations selon lesquelles ses produits provoquaient le cancer, en pratiquant un marketing frauduleux, etc.

 

Pfizer a payé des milliards d’amendes et de compensations pour ses actions.

 

(liens sur la version PDF)

 

Conflits d’intérêt flagrant : 84 % des auteurs du rapport Pfizer ont des conflits d’intérêts. Ils sont employés ou ont des actions chez Pfizer ou ont des subventions de Pfizer ou sont consultants rémunérés par Pfizer ou ont mené des essais cliniques pour Pfizer. Seules 5 personnes n’avaient pas de conflit mais ne représentent aucun des auteurs principaux. Le conflit le plus frappant est celui des 2 fondateurs de BioNtech, mari et femme, qui sont aussi des auteurs de ce rapport : ils ont profité de 9 milliards de dollars.

 

Une modification de taille pour définir la notion de vaccin. On admet que pour le covid, il peut ne servir à rien

 

Autres problème : le CDC (Center for Disease Control and Prevention) a redéfini la notion de vaccin pour ré pondre aux intérêts politiques et  pharmaceutiques. Avant 2021 son site web donnait comme définition : un produit qui stimule le système immunitaire contre une maladie spécifique, protégeant la personne contre cette maladie. Depuis le 27/07/2021, la directrice du CDC, sur CNN, admet que les vaccins contre le covid ne confèrent pas d’immunité, qu’ils n’empêchent  ni d’attraper ni de transmettre le covid-19.

 

Joe Biden s’en mêle, lui aussi…

 

Puis le 18/08/2021, Joe Biden a annoncé des injections de rappel pour tous les américains. Le 02/09/2021, le CDC a modifié la définition du terme vaccin sur leur site internet : « une préparation utilisée pour stimuler la réponse immunitaire contre les maladies » Donc plus de  mention d’immunité et plus de mention de protection contre une maladie spécifique. Cela ressemble beaucoup à une fraude.

 

Remarquez que nous ne parlons pas de vaccins pour les produits Pfizer, nous  parlons d’inoculations parce que nous adhérons toujours à la définition correcte du vaccin.

 

Souvent les gens n’arrivent pas à croire que les choses que nous disons sont vraies car ils pensent que les médias le diraient aussi. Pfizer sponsorise ou parraine, beaucoup d’événements médiatique aux USA et verse beaucoup d’argent aux médias.

 

Pfizer a eu carte blanche et a été dégagé de toute responsabilité en cas de dommage,  aucune personne raisonnable ne lui aurait permis cela dans une telle situation. Nos gouvernements sont responsables de cela. Pas de surveillance rigoureuse et aucune exigence vis-à-vis des laboratoires pharmaceutiques de respecter les règles scientifiques les plus strictes.

 

Le groupe CCCA s’exprime en fin de vidéo de manière plus directe

 

Notre position : les inoculations doivent être retirées immédiatement.

 

Pfizer n’a pas suivi les protocoles de hauts niveaux d’efficacité et de sécurité établis, depuis le début des essais.

 

La responsabilité des dirigeants

 

Les gouvernements qui ont approuvés ou rendu obligatoires ces inoculations savaient ou auraient dû savoir par les données disponibles que des dommages seraient causés. Tout gouvernement qui a approuvé cette intervention médicale pour ses citoyens auraient dû vérifier que  les critères cliniques étaient appropriés.

 

Tout représentant du gouvernement qui possède ces preuves et laissent intoxiquer les citoyen est pour le moins négligent, voire criminel. La version PDF de cette présentation est une preuve et un outil pour demander des comptes à nos dirigeants. Il ne s’agit pas d’une opinion ou d’une modélisation mais d’une preuve de niveau 1 provenant d’un essai de contrôle randomisé, celui même de Pfizer.

 

Nous vous demandons d’appeler votre député, donner lui la version PDF et demander lui ce qu’il compte faire. Partagez cette vidéo : L’époque où nous pouvions laisser ces questions à d’autres est révolue. Nous devons tous comprendre ces choses. Nous vous tiendrons au courant des nouvelles preuves dès que nous les aurons.

 

Suivez nous sur les médias sociaux: CCCA et moreHarmthanGood CanadioveredcareAlliance.org

Version PDFet vidéo sur notre site web : wwww.canadiancovidcarealliance.org

 

Merci de diffuser au plus grand nombre, nous ne pouvons changer les choses que si nous travaillons tous ensemble.

 

 


 

 

 

10 janvier 2022

74. L'usine à cas des tests PCR - d'après Diane Omont (Nexus magazine)

 

Dépistage Covid-19  et tests PCR  L'usine à cas

Les dessous des cartes


Daprès Diane Omont Nexus Magazine

 

Le titre de larticle  dans NEXUS N°137 (septembre/ Octobre 2021) : « Dépistage de la Covid-19 en France : Les dessous dapproximations qui font froid dans le dos »

 

 

« La France compte parmi les pays européens qui testent le plus, mais des alertes sur les mauvaises conditions de prélèvement entraînant des résultats faux et des lésions graves,  auxquelles s’ajoute le discours opaque des autorités et des laboratoires, ont incité nos équipes à mener une investigation. » (Nexus)

 

De source sûre (cf. Capital), nous savons que les tests et la vaccination ont coûté en 2021 six (6) milliards d’euros à la communauté et qu’actuellement (janvier 2022) on procède à un plus d’million de tests chaque jour. Un million huit de tests par jour… « Covid-19 : plus d'1,8 million de tests réalisés chaque jour, la plateforme SI-DEP à nouveau saturée () On bat tous les records indique à France Bleu Gille Bonnefond », selon France-Info, le 05 janvier 2022.

 

Résumé de l’article de la journaliste multimédia, Diane OMONT,  rédactrice pour un magazine lyonnais, « férue d’investigation, (et qui) aime creuser les sujets d’actualité ».

 

Le dépistage de la Covid-19  se pratique en France avec 2 types de tests : les tests antigéniques et les tests PCR.  (20 millions de tests antigéniques et 80 millions de tests PCR qui ont déjà coûté 6 milliards d’euros à la France)

 

Les mauvaises conditions de prélèvement entraînent des résultats faux et des lésions graves 


Le 19/01/2021 la DGS (Direction Générale de la Santé)  alerte sur la mauvaise condition utilisation des tests antigéniques dans des conditions qui ne respectent pas les consignes de température, de transport, de conservation et de durée d’obtention du résultat prévues par le fabricant pour assurer un résultat fiable.

 

Pour répondre à la demande depuis le début de la crise, pour désengorger  les laboratoires d’analyses, des pharmacies et des tentes Covid complètent l’arsenal de la stratégie gouvernementale de test.

 

Barnums et baraque, comme pour les frites, et des conditions de pratique déplorables

 

Des barnums investissent trottoirs ou places publiques, l’hiver  par des températures souvent négatives qui ne permettent pas de respecter les conditions optimales.

 

En plus des températures inadéquates au bon usage du test antigénique, ils sont pratiqués par des étudiants en médecine embauchés en 2 minutes par internet et sans la formation indispensable. (Ce qu’a vérifié une journaliste en Mai 2021, infiltrée dans le processus d’embauche).

 

Alors que l’Académie de Médecine réserve la pratique des tests nasopharingés aux professionnels formés et encadrés, (formation théorique et pratique par la Société française de microbiologie qui doit être validée), des étudiants recrutés se forment entre eux, sans autorité de contrôle, après une embauche expresse par WhatsApp.  Comme ils sont payés au test, ils sont poussés à racoler les gens.

 

Rien à foutre de votre formation

 

Quant aux pharmaciens interrogés, ils ne sont pas informés des recommandations de la Société française de microbiologie  en matière de prélèvements. Il y a même une responsable de pharmacie pratiquant ces tests qui prend à part la journaliste et lui répond: « Je paye une prestation et je n’ai rien à foutre de votre formation, ça ne me concerne pas. »«Alertée par nos soins la DGS élude la question et se contente de nous renvoyer un rappel de l’article 25 de l’arrêté du 10 juillet.»

 

Des risques passés sous silence

 

Le 08 avril 2021, l’Académie nationale de médecine s’alarme de possibles lésions graves causées par des prélèvements nasopharyngés mal conduits. Elle rappelle de « ne pas placer la tête du patient en hyperextension lors du prélèvement, mains de la maintenir en position naturelle, le menton parallèle au sol. » et d« introduire l’écouvillon en suivant le plancher de la cavité nasale horizontalement et ne le dévier en aucun cas vers le haut, en direction de la base du crâne.(étage) associé à un risque de méningite.»

 

Antigénique ou PCR, même constat

 

«Les tests antigéniques étant pratiqués avec si peu de rigueur, nous avons cherché à savoir ce qu’il en était des tests RT-PCR, en commençant par établir la liste des principaux laboratoires présents sur notre sol. »

 

Même constat de manque de rigueur scientifique et pratique dans l’usage de ces tests.

 

« Au regard du manque de rigueur et d’une absence totale d’uniformité et de transparence, peut-on réellement se fier aux chiffres qui servent de justification à des décisions gouvernementales de plus en plus contestées ? »

 

Discussion

 

L’article de Nexus signé par Diane Omont remet en cause la qualité et la fiabilité des prélèvements effectués pour les tests PCR et le manque de rigueur des laboratoires dans l’application de ces tests. Mais qu’en est-il de la légitimité de la technique RT-PCR dans la situation actuelle ?

 

J’ai donc poursuivi les recherches concernant la fiabilité du principe de la RT-PCR pour le dépistage Covid-19.

 

Sur les tests RT-PCR

 

A quoi correspondent les chiffres donnés quotidiennement en 2021 puis 2022 sur les « cas positifs ou cas confirmés de Covid-19 » ?

 

L’info officielle, consultée sur internet, à travers divers sites scientifiques, est déjà inquiétante par ce qu’elle suppose comme « trafic » sachant que les pratiques des laboratoires ne sont ni normalisées ni transparentes (cf. ci-dessus le résumé de l’article de NEXUS). 


« La technique PCR, Polymerase Chain Reaction (ou réaction en chaîne par polymérase) utilise l’ADN de l’agent biologique, cette technique de biologie moléculaire permet de dupliquer en grand nombre, avec un facteur de multiplication de l’ordre du milliard, une séquence d’ADN connue, à partir d’une très faible quantité d’échantillon de l’agent biologique recherché.

 

Mais le SARS-CoV-2, virus responsable de la maladie Covid-19, appartient à la famille des ribovirus. Il ne contient pas d’ADN mais contient de l’ARN. La technique de PCR ne permet donc pas d’accéder directement à sa carte d’identité génétique faite d’ARN.

 

Une étape préalable s’impose : commencer par transformer l’ARN de SARS-CoV-2 en ADN correspondant. Cette étape supplémentaire utilise une variante de la technique de PCR : la RT-PCR, Reverse Transcriptase Polymerase Chain Reaction (ou réaction en chaîne par polymérase après transcription inverse). Cette transcription inverse est en fait le mécanisme par lequel l’ARN va d’abord être transformé en ADN correspondant. Cette transformation est assurée par une enzyme, la transcriptase inverse qui rétrotranscrit (RT-PCR) l’ARN et synthétise l’ADN correspondant.

 

La suite du processus du test consiste à multiplier le fragment d’ADN synthétisé pour obtenir un grand nombre de copies identiques de ce fragment afin d’en disposer en quantité suffisante pour pouvoir l’identifier formellement. Cette multiplication est possible grâce à une autre enzyme, de la famille des polymérases. Cette étape correspond à la réaction en chaîne par polymérase (RT-PCR). »

 

« Si à la fin du processus de test (environ 3 h), aucun ADN n’est détecté, le test sera négatif »

 

Des tests pratiqués sous barnum sont rendus bien avant ce délai de 3 h. (Voir l’interview de la biologiste du reportage Hold-On). (cf. dans ce même blog : article 71 sur le film documentaire Hold-On)

 

Sur le site Université de Paris (https://u-paris.fr/des-tests-rt-pcr-pour-detecter-le-coronavirus/) on trouve ceci : « Les tests virologiques (RT-PCR) qui sont pratiqués depuis le 11 mai à grande échelle en France, sont réalisés à partir de prélèvements naso-pharyngés effectués sur les personnes suspectées d’être infectées. »

 

C’est faux, les tests pratiqués, à grande échelle en France depuis des mois, le sont sur une très grande majorité de personnes sans symptômes, non malades, mais testées par obligation pour continuer à vivre ou par peur, entretenue par les médias, et non sur des personnes suspectées d’être infectées. Cette consommation de test est illégitime du point de vue sanitaire.

 

Que nous disent les scientifiques, indépendants de conflit d’intérêts, des tests RT-PCR ?

 

Par exemple l’article « COVID-19: RT-PCR ou comment enfumer toute l’humanité.» du Dr Pascal Sacré,  http://www.geopolintel.fr/article2437.html , rédigé à partir des infos des professionnels suivants :

 

1) H. Banoun, Pharmacien biologiste, Ancien Chargé de Recherches INSERM. Ancien Interne des Hôpitaux de Paris,

 

2) Pierre Sonigo, Virologiste. Directeur de recherche INSERM. Dirige le Laboratoire « Génétique des Virus », à Cochin, Paris. A participé en 1985 au séquençage du virus du SIDA

 

3) Christophe De Brouwer, Docteur en Science de la Santé Publique. Professeur honoraire à l’École de Santé Publique à l’ULB, Belgique

 

4) Jean-François Toussaint, Médecin. Professeur de physiologie à l’Université Paris-Descartes Directeur de l’IRMES, Institut de Recherche bioMédicale et d’Épidémiologie du Sport. Ancien membre du Haut Conseil de la Santé Publique

 

En résumé, cet article nous dit :

 

« Toute la propagande actuelle sur la pandémie COVID-19 repose sur un postulat considéré comme évident, vrai et qui n’est plus remis en question : Test RT-PCR positif veut dire être malade du COVID. Ce postulat est trompeur.

 

Très peu de gens, y compris chez les médecins, comprennent comment un test PCR fonctionne.

 

La technique est réalisée dans un laboratoire spécialisé, elle ne peut pas être faite dans n’importe quel laboratoire, même hospitalier. Cela entraîne un certain coût, et un délai parfois de plusieurs jours entre le prélèvement et le résultat.

 

Postulat officiel de nos dirigeants : cas RT-PCR positifs = malades COVID-19.

 

Cette utilisation abusive de la technique RT-PCR est employée comme une stratégie implacable...sous prétexte d’une pandémie qui se base sur un nombre de tests RT-PCR positifs, et non sur un nombre de malades réels.

 

La technique PCR a été mise au point par le chimiste Kary B. Mullis, en 1986.
Kary Mullis a reçu le prix Nobel de chimie en 1993. Bien que cela soit contesté, Kary Mullis lui-même aurait critiqué l’intérêt de
la PCR comme outil de diagnostic pour une infection, notamment virale. Il a affirmé que si la PCR était un bon outil pour la recherche, c’était un très mauvais outil en médecine, en clinique. Mullis faisait référence au virus du SIDA (rétrovirus VIH ou HIV) , avant la pandémie COVID-19, mais cette opinion sur la limite de la technique dans les infections virales, par son créateur, doit être prise en compte !

 

La PCR, perfectionnée en 1992, devient la RT (Real-Time) – PCR, technique d’amplification. Dans le cas du SRAS-CoV-2, virus ARN, il faut une étape supplémentaire spécifique qui précède la phase d’amplification.

 

Ce n’est pas tout…

 

Ce n’est pas TOUT le virus qui est identifié, mais des séquences de son génome viral. En début d’année, le génome du SRAS-CoV-2 a pu être séquencé.

(Pour que le résultat d’un test RT-PCR soit considéré comme fiable, en début de crise, le CNR demandait de faire l’amplification au départ de 3 gènes différents du virus.)

 

Outre la mention du Ct (cycles d’amplification) utilisé, les laboratoires doivent continuer de garantir la spécificité de leurs kits de détection au SRAS-CoV-2, en tenant compte de ses mutations les plus récentes, et doivent continuer d’utiliser trois gènes du génome viral étudié comme amorces ou, sinon, le mentionner.

 

Le principe même de la RT-PCR est de pouvoir mettre en évidence en poursuivant les cycles d’amplification autant que nécessaire. La RT-PCR peut pousser jusqu’à 60 cycles d’amplification, voire plus !

 

C’est cela qui sous-tend la sensibilité du test RT-PCR.  L’ hypersensibilité du test RT-PCR causée par le nombre de cycles d’amplifications utilisé se retourne contre nous. Cette trop grande sensibilité du test RT-PCR est délétère et nous induit en erreur ! Elle nous détache de la réalité médicale qui doit rester basée sur l’état clinique réel de la personne : la personne est-elle malade, a-t-elle des symptômes ?

 

Dans le cas d’une maladie infectieuse surtout virale, la notion de contagiosité est un autre élément important. Les tests RT-PCR sont-ils de bons tests de contagiosité ?

 

La relation entre contagiosité et charge virale est contestée par certaines personnes et aucune preuve formelle, à ce jour, ne permet de trancher.

 

Aucun test ne mesure la quantité de virus dans le prélèvement !

 

La RT-PCR est qualitative : positif (présence du virus) ou négatif (absence du virus). Plus le Ct (le nombre de cycles d’amplifications) utilisé pour mettre en évidence le fragment de virus est bas, plus la charge virale est considérée comme élevée

 

Au-dessus de Ct 35, il devient impossible d’isoler une séquence complète du virus et de la mettre en culture !

 

En France et dans la plupart des pays, on continue d’utiliser, même aujourd’hui, des Ct supérieurs à 35, voire 40 !

 

Dans un article publié sur le site du New York Times (NYT) du samedi 29 août, des experts américains de l’Université de Harvard s’étonnent que les tests RT-PCR tels qu’ils sont pratiqués puissent servir de tests de contagiosité, encore plus comme preuves de progression pandémique, dans le cas de l’infection par le SRAS-CoV-2 .

 

Selon eux, le seuil (Ct) considéré aboutit à des diagnostics positifs chez des personnes qui ne représentent aucun risque de transmettre le virus !

 

La réponse binaire  oui/non  ne suffit pas, selon cet épidémiologiste de l’école de santé publique de l’Université de Harvard. C’est la quantité de virus qui devrait dicter la démarche à suivre pour chaque patient testé. La quantité de virus (charge virale); mais aussi et surtout l’état clinique, symptomatique ou non de la personne !

 

Cela remet en question l’utilisation du résultat binaire de ce test RT-PCR pour déterminer si une personne est contagieuse.

 

Presque aucun laboratoire ne précise le Ct (nombre de cycles d’amplification effectués) ou le nombre de copies d’ARN viral par μl de prélèvement.

 

Avec un seuil Ct de 35, environ la moitié de ces tests PCR ne seraient plus considérés comme positifs, indique le NYT.

 

En France, Le Centre National de Référence (CNR), la Société Française de Microbiologie (SFM) continuent de pousser les Ct à 37 et recommandent aux laboratoires de ne plus utiliser qu’un seul gène du virus comme amorce. (Au lieu des 3 gènes conseillés auparavant pour la fiabilité du test)

 

A partir de Ct 32, il devient très difficile de cultiver le virus ou d’en extraire une séquence complète, ce qui témoigne du caractère tout à fait artificiel de cette positivité du test, avec des Ct aussi élevés, au-delà de 30.

 

De plus, actuellement, le Centre National de Référence en France n’évalue que la sensibilité des kits réactifs mis sur le marché, non la spécificité : des doutes sérieux persistent sur la possibilité de réactivité croisée avec d’autres virus que le SRAS-CoV-2, comme les autres coronavirus bénins du rhume.

 

Des scientifiques et médecins, spécialistes, virologues, préconisent d’utiliser des Ct adaptés, plus bas, à 30. Nous devons revenir au patient, à la personne, à son état clinique (présence ou non de symptômes) et partir de là pour juger de la pertinence de faire un test et de la meilleure façon d’interpréter son résultat.» (Dr. Pascal Sacré)

 

D’autres articles exprimant les avis d’autres scientifiques du monde entier vont dans le même sens que cet article de P. Sacré.

 

C’est aussi la position exprimée, dès 2020,  par la généticienne A. Henrion-Caude  (cf. dans ce même blog, article 14.COVID-19 - Résumé d'un entretien de A. Henrion-Caude, chapitre « tests », d’octobre 2020)

 

C’est aussi celle d’autres scientifiques français et étrangers et certains affirment même que le virus en cause n’a jamais été purifié pour servir d’étalon fiable à des tests.

 

MF TESSON

 

 


 

 

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