21 septembre 2021

57.Détox vaccinale par Amin Gasmi

 

DÉTOX VACCINALE


Amin Gasmi - Conférence exclusive

Mesures validées scientifiquement pour limiter les risques d’effets secondaires du vaccin.

 


Dr. Amin Gasmi :
Scientifique, il fait des recherches sur la nutrition, la physiologie et la nutrigénétique. Il se penche dans cet entretien exclusif sur la manière de contrecarrer les effets néfastes du vaccin contre le Covid-19

Lien pour visionner la vidéo :
https://paid.pure-sante.info/nat-os12-one-bdc-webinaire-replay/?source=PST190220011&utm_campaign=nat-os12-one-bdc-webinaire-replay&utm_source=hotnatvac&utm_medium=-&typePage=bdc&utm_source=sfmc&utm_medium=email&utm_campaign=20210919_HOTNATVAC_replay_interet_public&isBat=false&d=HOTNATVAC&sk=dG1mQDNtd2UuaW5mbw==&e=491abcf356be0689016594b88291e77d9d27e9ece7f669bf061a52ad6ca72fcc&j=524603&l=843&b=8004&sid=1478709&mid=500010050&senddate=2021-09-18

 

Avertissement :

 "Les débats sont focalisés sur l’intérêt ou non de se faire vacciner contre le covid.Durant cet entretien nous n’entrerons pas dans le débat même si les iformations que nous allons donner vont peut-être peser dans vos choix. La vaccination contre le covid est un choix personnel plus ou moins libre qui ne regarde que vous. En revanche il me semble important que les personnes qui se font vacciner puisse le faire dans les meilleures conditions en limitant autant que possible les facteurs de risque d’effets secondaires.On sait qu’il existe un certain nombre de complications parfois graves après la vaccination…"


(Nicolas WIRTH, naturopathe et rédacteur en chef de Solutions Naturopathie, promoteur et intervieweur de cette vidéo)
 

I. Première partie : un aperçu des problèmes

 

Effets habituels les moins graves d’un vaccin en général : (60 à 70% des vaccinés dans les 48 à 72 h)

 

Ce sont des signes d’inflammation, douleurs, gonflement au point d’injection, maux de tête, fatigue, fièvre, allergies. (Les chocs anaphylactiques sont les complication plus graves d’un vaccin classique)

 

Complications plus graves du vaccin anti-covid 

 

inflammations du cœur (myocardite, endocardite…)

thromboses

syndrome de Guillain-Barré (atteinte neurologique poly-nerveuse qui part du bas, pieds et jambes, et remonte vers le haut)

chocs anaphylactiques.

 

Ce qui est nouveau c’est le nombre anormalement élevé de complications graves comme les thromboses, les maladies cardiaques en général.

 

Deux principales classes de vaccins :

 

1) Les classiques : ce qu’on retrouve dans les autres vaccins

vaccin à souche inactivée (vaccin classique ancien) : SARS Cov-2 inactivé.

vaccins à protéine recombinante avec nanoparticules de protéine Spike (protéine de surface de l’enveloppe du virus)  fabriquée en laboratoire et injectée directement.

 

Ce type de vaccin n’est pas distribué en Europe. Un nouveau vaccin franco-autrichien doit sortir fin 2021, à souche inactivée

 

2) L’autre classe de vaccins est spécifique pour le covid, ce sont les premiers vaccins antiviraux  génétiques. Technologie non testée à grande échelle.

 

Deux types :

 

► Vaccin à ARN messager : l’ARN constitue la séquence ARN au nucléotide de la protéine Spike. Une fois injecté cet ARN entre à l’intérieur de la cellule humaine, dans le cytoplasme et là il sera traduit en protéine Spike (nos propres cellules produisent alors la protéine Spike qui va induire une réponse immunitaire.) (ex : Pfizer )

 

► Vaccin à adénovirus, donc à ADN. Un virus autre que le SARS COV-2 est détruit afin de lui enlever sa capacité de prolifération ; on prend la séquence de ce virus et on insère, à la place de ce qui fait sa capacité de prolifération, la séquence ADN de la protéine Spike. (ex : AstraZeneca, Janssen)

 

► Différence entre les 2 : l’ARN messager reste au niveau du cytoplasme, l’adénovirus entre dans le noyau, côte à côte avec l’ADN

 

Le vaccin à adénovirus présente plus de risques.

 

Il y a des risques propres à l’ADN (adénovirus) et des risques propres à l’ARN messager. Comme l’adénovirus contient la séquence ADN de la protéine Spike qui sera transcrite en ARN messager, il y aura alors les complications propres au vaccin ARN messager et celles liées à l’adénovirus.

 

Le point commun est la protéine Spike de la covid-19. Ce n’est pas une toxine, c’est juste la protéine de la surface de l’enveloppe du virus. Comme c’est la molécule du virus la plus exposée au système immunitaire, elle a un potentiel de production de réactions inflammatoires, immunitaires, etc.

 

Elle se fixe sur des récepteurs (ACE2) au niveau des cellules pour que le virus puisse passer et pénétrer au niveau de la cellule.

 

87 % des récepteurs ACE2 de l’organisme se trouvent au niveau des poumons, des muqueuses pulmonaires et 13% se trouvent dans l’intestin.

 

Il y a donc des vecteurs de contamination pulmonaire et de contamination intestinale. Par les mains on transmet aussi le virus dans ce sens intestinal.

 

La protéine Spike, non toxique en elle-même, accessoirement peut produire une certaine toxicité chez les patients dont les réactions immunitaires sont fortes, dont les chocs cytokiniques des personnes plus affaiblies. Le système immunitaire s’emballe et produit une inflammation très importante et ingérable (tempêtes de cytokines).

 

Les thromboses post-vaccination sont particulières et ne se traitent pas comme  les thromboses classiques. On assiste ici à une baisse des plaquettes. En fait le taux de plaquettes augmente d’abord  tellement que le système immunitaire crée des anticorps spécifiques (AF4) pour détruire les plaquettes et la thrombose se produit par ce déficit en plaquettes. C’est une sorte d’allergie immunitaire. Ces thromboses sont soit cérébrales soit abdominales (plus fréquentes).

 

La cause exacte n’est pas encore bien connue. L’hypothèse commune est la protéine Spike. Mais d’autres hypothèses existent dont une constellation de mutations génétiques qui pourraient y conduire. Une hypothèse plus récente met en cause l’oxyde de graphène  qui n’est pas déclaré officiellement dans la composition des vaccins.

 

Mais si graphène il y a, plusieurs études déjà anciennes sur les effets secondaires d’une intoxication à l’oxyde de graphène qui signalent les thromboses comme effets secondaires. C’est connu que l’oxyde de graphène est capable de provoquer des thromboses. C’est  à considérer également mais pour l’instant, officiellement, ce n’est pas déclaré.

 

Malgré cela les Japonais ont retiré 1 million 600.000 doses du vaccin Moderna, provenant d’Espagne, suspecté de contamination par des métaux, plus précisément « une substance qui réagit aux aimants » selon un responsable du ministère. Une étude est en cours.) Le graphène a des propriétés toxiques inflammatoires, il fait réagir le système immunitaire qui va tenter de le détruire.

 

Adjuvants et excipients des vaccins, soit  pour conserver le principe actif soit pour améliorer la réponse immunitaire.

 

Adjuvants: pour augmenter la réponse immunitaire.

 

Dans les vaccins classiques l’aluminium a pour rôle de simuler une attaque au sein de l’organisme dans le but de stimuler le système immunitaire. Les sels d’aluminium forment une sorte de bouillie toxique pour compenser l’inactivation du virus employé dans le vaccin classique. Avant l’hydroxyde d’aluminium c’était le mercure qui jouait ce rôle dans les vaccins les plus anciens. Beaucoup d’étude sur l’utilisation de l’aluminium établissent maintenant un lien avec des maladies neurologiques en particulier.

 

Dans les vaccins génétiques nouveaux on a d’autres types d’adjuvants : les nanoparticules remplacent l’aluminium. On utilise des nanoparticules d’un composé lipidique breveté (SM-102) qui sert à transporter l’ARN messager  à travers la membrane cellulaire. Composé qui ressemblerait à l’enveloppe de notre cellule, selon l’explication du brevet (sur internet) et va fusionner plus facilement avec la cellule humaine ; il  facilite donc la pénétration de l’ARN à l’intérieur de la cellule.

 

Tout ce qui est injecté dans le muscle passe au niveau du sang (nanoparticules et le reste). C’est moins rapide que par intraveineuse mais ça passe très bien dans la circulation sanguine. On peut donc fabriquer la protéine Spike à n’importe quel endroit du corps. Notamment :

► dans le système nerveux central

► dans le cœur

► dans la thyroïde

► dans les gonades (ovaires et testicules) avec effet sur la fertilité, sur les cycles hormonaux menstruels et de la testostérone.

 

C’est la réaction du système immunitaire à cette protéine Spike qui provoque tous ces effets secondaires concrets chez les vaccinés. C’est la puissance du système immunitaire qui va provoquer la perturbation de l’organe, qui va détruire les tissus de cet organe touché par la réaction immunitaire. C’est pourquoi il y a une réactivité plus forte du système immunitaire chez les jeunes qui sont plus touchés par les myocardites et les thromboses après vaccination.

 

Autres adjuvants : l’édétate qui stimule également le système immunitaire, le polysorbate 80, le PEG (polyéthylène glycol). Ingrédients contre-versés, suspectés de provoquer des allergies (surtout l’émulsifiant polysorbate 80), de l’inflammation, des toxicités au niveau des glandes endocrines (perturbateurs endocriniens).

 

Les excipients : servent à stabiliser le produit et à maintenir la qualité du principe actif.

Eau, sucre, sel, histidine (acide aminé classique). Ils posent beaucoup moins de problème.

 

Le vrai problème des vaccins génétiques anti-covid n’est pas dans les adjuvants et excipients

 

II. Deuxième partie : aperçu de quelques pratiques utiles visant à solutionner les problèmes

 

Pour prévenir les complications, pour inhiber la protéine Spike, maîtriser la tempête inflammatoire, etc. quelles sont les méthodes scientifiquement prouvées ?

 

Plusieurs méthodes pour inhiber la protéine Spike et aider à détoxifier l’organisme

 

·Inhibition de la protéine Spike

 

Le principe du vaccin est d’apporter la protéine Spike pour susciter une réaction du système immunitaire et produire une immunisation. Si on inhibe la protéine Spike, ça diminue l’efficacité du vaccin, voire ça l’annule complètement.  Mais ça annule aussi les effets secondaires.

 

Ceux qui se vaccinent par obligation et non par conviction de son efficacité peuvent utiliser les polyphénols que l’on trouve dans tous les légumes et les fruits (raisin, vin par exemple). Ils ont des effets généralistes puissants sur les voies métaboliques différentes, sur le stress oxydatif, sur le cancer, sur l’inflammation, le diabète, etc., donc sur un très large spectre.

 

Ces polyphénols sont synthétisés par les plantes pour se défendre des prédateurs, de l’environnement (contre les insectes, les champignons, les parasites, les toxines, etc.), c’est pourquoi leur effet est à large spectre.

 

Quelques polyphénols pourraient être efficace contre la protéine Spike ?

 

► celui du thé vert

► la quercitine des oignons ou des câpres

► le résvératrol des raisins, du vin

► l’espéridine

► le fruit du goyave très intéressant pour sa fluoxine B (colorant exanthème).

 

Ce n’est pas suffisant de consommer en abondance ces aliments qui vont aider à inhiber la protéine Spike. Il faudrait prendre des compléments alimentaires riches en ces polyphénols : en particulier des extraits standardisés en polyphénols : resveratrol, quercitine, espéridine, théidine…

 

 

 

·Elimination des éléments toxiques du vaccin ou produits en réaction au vaccin et drainage des reins et du foie.

 

Pour éliminer les adjuvants qui posent question, pour qu’ils ne restent pas trop longtemps dans l’organisme, il faut stimuler les 2 émonctoires principaux, le foie et les reins.  Dans le foie il y a le processus de détoxification proprement dit avec la transformation des molécules inconnues toxiques en molécules neutres prêtes à être éliminer;  c’est la fonction hépato-biliaire qui se charge de stocker les toxines au niveau de la vésicule biliaire pour ensuite les éliminer au niveau de l’intestin, pour tout ce qui est liposoluble, comme les adjuvants du vaccin.

Les reins également fonctionnent pour tout ce qui est toxique et hydrosoluble.

Le foie dans son processus de détoxification va produire des métabolites aussi hydrosolubles que les reins éliminent. C’est pourquoi il est conseiller de drainer en même temps foie et reins.

 

·Diminution des risques d’inflammation (tempête cytokinique)

 

Stratégie habituelle. Vitamines ( D, C, ...)  Oméga 3, extraits de bourgeons ,…

(Voir Kit Détox proposé par N. Wirth)

 

 

 

·Chélation des éléments toxiques, des métaux (les piéger pour les éliminer) aluminium, graphène qui est composé de carbone comme le charbon et le diamant.

 

La chélation est la conversion des éléments toxiques en éléments neutres avant élimination.

Par exemple pour l’aluminium on peut le piéger avec le citrate ou le malate de magnésium. Ensuite pour l’élimination on prend des plantes diurétiques, par exemple le persil pour l’élimination rénale.

 

Pour l’élimination par le foie,  on peut prendre des radis, des crucifères genre brocoli, etc., soit sous forme alimentaire, soit sous forme d’extraits standardisés (compléments alimentaires). Et ajoutez tout ce qui va stimuler le foie et les reins : plantes, aliments.

 

La suramine, polyphénol présent dans les aiguilles de pin fraîches,  conseillé sur internet n’est pas efficace sur Spike d’après moi.

Deux étude in-vitro sur la suramine spécifiquement et sur son potentiel effet inhibiteur sur la protéine Spike donnent des résultats significatifs sur l’inhibition de la protéine Spike .

Mais une autre étude, dont la méthodologie me satisfait mieux, qui compare la suramine, la chloroquine et des colorants chimiques (luoxine B notamment) montre que la suramine, comme la chloroquine, n’ont pas d’effet sur la protéine Spike.

 

L’inhibition de la protéine Spike, dans un contexte hors vaccin, a aussi un effet antiviral en empêchant le virus de se fixer.

Cette première phase détox peut donc également être mise en place dans le cas d’infection virale, covid ou autre.

 

Les technologies génétiques à ARN ou à ADN ( nouvelles pour des vaccins) ont été utilisées auparavant en immunothérapie pour le traitement du cancer à titre expérimental mais pas à grande échelle. Vu le peu de données là-dessus on peut avoir différents risques par rapport à l’ARN messager et par rapport à l’adénovirus.

 

Pour les 2 on a le risque de la recombinaison virale : des virus différents mais de natures similaires (ex : 2 virus différents mais tous deux à ARN messager) peuvent se recombiner (s’échanger des morceaux entre eux) et donner un nouveau virus recombinant.

 

Les recombinaisons existent naturellement sans épidémies, en plus des mutations. Avec ces vaccins génétiques, les coronavirus mutent moins mais recombinent plus, très vite. Cette recombinaison est très rare mais si elle survient, on va créer un nouveau virus qui va se propager comme le SARS Cov-2. Le variant alpha anglais n’est pas en réalité un variant mais un recombinant, c’est prouvé. Et les autres variants sont probablement des recombinants. Ils apparaissent après vaccination de masse. En Inde, par exemple, la vaccination de masse a  multiplié le  risque de recombinaison. D’autres recombinaisons dans notre ADN peuvent aussi se produire. (Et c’est l’inconnu...) 

 

 
 
Voici un aperçu des publications de Amin Gasmi :
https://www.researchgate.net/profile/Amin-Gasmi/research

 

 

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