La Société Fabienne
Les maîtres de la subversion démasqués
Guy Boulianne
Guy Boulianne, auteur-éditeur
Éditions Dédicaces[1], 2019
Avant lire
Un Québécois érudit, qui a fait des recherches en Europe et en Amérique du Nord sur les aspects cachés de l'histoire, nous conte l'histoire, jusqu'en 2019, de la Société Fabienne, qui depuis des décennies, avance graduellement et occultement ses pions vers une gouvernance mondiale[2] autoritaire et technocratique, en collaboration avec les oligarques[3] poursuivant le même projet : le contrôle du monde, souvent sous couvert d'organisations caritatives ou environnementales. Voici donc un résumé de ce livre.
Résumé de la quatrième de couverture
Après avoir tracé les sources historiques de la Société Fabienne, issue de la City de Londres et de la vogue du socialisme et du communisme, Guy Boulianne[4] montre comment cette société secrète s’infiltre partout dans le monde et dans toutes les couches de la société par ses promoteurs et son école de formatage des esprits: la London School of Economics[5] (LSE) qui diffuse leurs idées de domination du monde.
Visées destructrices
La Société Fabienne vise à démolir les acquis de l’ancien monde, non brutalement par la violence mais progressivement, graduellement et son plan « très ésotérique et rusé (est) difficile à comprendre pour la majorité des gens ».
Un plan qui vise à abolir la propriété et les nations, à anéantir les particularités des peuples et des individualités, à mélanger races et religions dans un multiculturalisme mondial, à formater et uniformiser une sorte de « Meilleur des Mondes » à la Huxley.
Immigrationnistes forcenés et eugénistes convaincus
Pour les Fabiens, immigrationnistes[6] forcenés et eugénistes[7] convaincus, l’humanité doit être réduite coûte que coûte et tout est bon pour casser l’ancien monde : drogues, contre-culture satanique, couper l’être humain de son humanité, le rendre inculte, idiot, docile.
Leur programme s’adresse à toute l’humanité et s’appuie maintenant sur toutes les nouvelles technologies d’asservissement issues de l’intelligence artificielle, puces RFID, soupe d’ondes 5G, etc.
Fabien : inspiré du général Fabius vainqueur des Carthaginois il y a plus de 2000 ans
« Le fabianisme est un mouvement radical basé à Londres dans le but de renverser l’ordre existant et d’établir un gouvernement mondial socialiste contrôlé par ses dirigeants et par les intérêts financiers qui leur sont associés.»
L’auteur décrit l’historique de la Société Fabienne issue d’une scission du groupe des
Le loup en peau de mouton
« Compagnons de la nouvelle vie » fondé
par le philosophe Thomas Davidson[8] et
qui poursuivait une finalité spirituelle. La Société Fabienne, à partir de
janvier 1884, rassemble ceux qui veulent s’occuper de problèmes économiques et
politiques.
Les responsables de cette fondation influencés par le marxisme ne prêchent pas la révolution comme les bolcheviks menés par Lénine mais la construction progressive et furtive du socialisme, plus en rapport avec le projet des mencheviks (ou sociaux-démocrates) autour de Julius Martow[9].
Société fabienne et socialisme
Cette Société Fabienne est à l’origine du socialisme municipal et de la London School of Economics. Elle inspire en G-B le parti des travaillistes.
Parmi les membres de la Société Fabienne à ses
débuts on trouve l’écrivain George Bernard Shaw[10],
l’ésotériste Annie Besant[11]
(théosophe), Eléonore Marx[12],
fille de Karl Marx, Bernard
Bernstein[13], théoricien du socialisme
de la fin du 19è siècle.
George Bernard Shaw
Ils étaient adversaire de la propriété privée, « pétris par l’idéal suprématiste anglo-saxon », « farouche partisans...d’une gouvernance technocratique mondialisée » et « convaincus de la politique du gradualisme »
La cité maçonnique de Londres
La City est un État maçonnique, privé, indépendant et souverain d’1 km² au centre de la métropole, une entité distincte du reste de la G-B. Le souverain de la Cité est le lord-maire élu 1 fois par an et habitant le manoir. La population urbaine de 8000 habitants atteint 2 millions de personnes en semaine dans ce centre financier appelé « le km² le plus riche du monde »
La Cité contrôle tous les maires, conseils, conseils régionaux, banques multinationales et transnationales, sociétés, systèmes judiciaires (par l’Old Bailey, Temple Bar et Cours royales de justice de Londres), le FMI, la Banque mondiale, la Banque du Vatican ( par une filiale italienne de Londres de NM Rothschild&Sons), la Banque centrale européenne, la Réserve fédérale américaine (elle-même contrôlée par 8 banques à participation britannique), la Banque des règlements internationaux en Suisse ( également sous contrôle britannique et supervise toutes les banques de réserve du monde), l’Union Européenne communiste et l’Organisation communiste des Nations Unies, toutes les grandes banques et sociétés en Nouvelle-Zélande et en Australie (directement ou indirectement)
Les banques et sociétés multinationales de la Corporation de la Cité s’emparent tranquillement du monde.
Événements historiques et rôle de ceux qui ont fait la puissance de la Cité
L’auteur raconte les événements historiques et le rôle des Juifs depuis le 11e siècle, qui ont fait la puissance de la Cité puis décrit les débuts du socialisme à Londres fin du 19e siècle avec l’Association Internationale des Travailleurs et la Fédération sociale-démocrate dont des membres, avec d’autres de la Ligue socialiste, fondent la Société Fabienne
L’amour toujours
« Le loup déguisé en agneau : un vitrail commandé par Bernard Shaw en 1910, actuellement à la London School Economics, illustre le projet subversif Fabien. Y sont représentés des dirigeants fabiens (dont B. Shaw) forgeant un nouveau monde tandis que les membres actifs de la Société se prosternent devants les écrits fabiens. La fenêtre du vitrail porte en inscription la fin d’un quatrain du persan Omar Khayyâm qui exprime leur projet de détruire et reconstruire la société selon leur plan machiavélique. L’humour était une tactique utilisée par les Fabiens pour dissimuler le sérieux mortel de leurs intentions. »
Les représentations symboliques de cette fenêtre créée par Caroline Townshend, candidate travailliste, correspondent à un socialisme transformé par les dirigeants de la Société Fabienne « en un mouvement quasi religieux» de nature sectaire. Des dirigeants Fabiens parlent du socialisme comme d’une nouvelle religion sociale.
Tony Blair, cet inconnu
Le Socialisme Fabien, entre fascisme, nazisme, marxisme et communisme. Leur religion sociale est un mélange de tout cela. Mais leur stratégie est subtile, leurs actions sont graduelles, progressives et insidieuses sous couvert de projets moraux. La mondialiste et soi-disant ‘guerre contre le terrorisme’ de Tony Blair ou de G. Bush Jr. est un exemple de stratégie du socialisme fabien. (Tony Blair était président de la Société Fabienne avant 1997)
La Société Fabienne œuvre comme le marxisme pour l’abolition de la propriété privée. Mais ses membres, soucieux de se garantir une position sociale et financière élevée, ne considèrent pas comme contraignants pour eux-mêmes les principes prêchés pour les autres, dont celui de la
« substitution complète des biens publics à la propriété privée »
Au 19e « des membres fabiens de la dynastie bancaire de la Cité de Londres ont financé la prise de contrôle communiste de la Russie. » En particulier Trotsky et Lénine ont bénéficié de gros prêts à rembourser après le renversement du tzar. Trotsky en parle dans sa biographie.
« Le système communiste en Russie était une ‘expérience britannique’ destinée à devenir le modèle socialiste fabien pour la prise de contrôle britannique du monde par le biais des Nations Unies et de l’Union Européenne.»
Le contrôle de l’UE
Aujourd’hui elle contrôle l’Union Européenne à travers de nombreux hommes politiques, députés et autres représentants appartenant à ce courant fabien.
Les Fabiens ont toujours recherché la collaboration et le soutien des riches et des puissants ; Dans leurs écrits on trouve des expressions comme « capturer des millionnaires » « tirer les ficelles » « paraître désintéressés » ou «paraître des gens humbles non soupçonnés de posséder du pouvoir ». On y retrouve aussi de l’admiration pour le fondateur de l’eugénisme Francis Galton.
Des appuis de poids
Parmi les noms de riches qui vont soutenir leur projet subversif celui de Lord Rothschild est cité à plusieurs reprises. Des hommes d’affaires, des banquiers, des industriels du capitalisme libéral britanniques et américains qui monopolisent la finance, l’économie et la politique ont des buts qui coïncident avec ceux des socialistes fabiens, c’est pourquoi une alliance va rapidement s’établir.
Et ainsi un enseignant de Harvard, Joseph A Schumpeter[14], a pu écrire : « Les vrais stimulateurs du socialisme n’étaient pas les intellectuels ou les agitateurs qui l’ont prêché, mais les Vanderbilt, les Carnegie, les Rockefeller »
Dans l’administration rooseveltienne des années 1930 beaucoup de cadres sont issus de ce courant fabien.
Le rôle de l’Ecole de Manchester
L’auteur décrit également les rapports et financements par les intérêts industriels liés à l’Ecole de Manchester[15] et au monde des médias, par l’intermédiaire de la famille bancaire Rothschild très liée aux médias de gauche, à l’industrie et à la finance de Manchester.
« La Société Fabienne est en contact étroit avec les Rothschild »
L’auteur donne de plus amples renseignements sur tous ces liens avec les Rothschild, avec le groupe indien Tata (industrie textile), avec les Horsley (multinationale alimentaire) , avec les Rockefeller (« socialistes fabiens cachés ») et donc avec le FMI (fonds Rockefeller), avec le clan Rowntree (industrie du chocolat), le banquier Cassel (trust), R. Mac Donald, le Parti travailliste (80 % des membres britanniques sont travaillistes, soit 190.000 en 2010), les dirigeants syndicaux formés par les Young Fabians, etc.
Un contrôle élargi de la société britannique
La société britannique de bas en haut est contrôlée par les Fabiens, classes laborieuses, éducation, culture, économie, système juridique, médecine et religion. Cela a été réalisé graduellement et furtivement.
Le dirigeant Fabien, Bernard Shaw, en 1927 déclare que la démocratie est « incompatible avec le socialisme », que les socialistes n’ont « rien à voir avec la liberté ». Il n’hésitera pas à exprimer son admiration pour Mussolini, Lénine et Staline. D’autres dirigeants et membres fabiens admirent Lénine et Staline. Certains riches membres fabiens vont aider financièrement la dictature soviétique.
Les Fabiens et le gouvernement mondial
«A partir des années 1920 le gouvernement mondial est promu particulièrement par le département des relations internationales de la London School of Economics (financée par le Cassel Trust)
L’ONU fut un projet fabien, crée en 1944 avec les Fabiens socialistes, Rockefeller et leur Conseil: le Council of Foreign Relations.
Les Nations Unies également
Les Nations Unies sont dominées depuis le début par des socialistes très liés aux Fabiens de Londres (comme Paul-Henri Spaak[16])
La Société Fabienne a également mis en place l’Internationale Socialiste en 1951 dont l’objectif ultime est un gouvernement mondial. (Declaration of the Socialist International, Oslo, Conference 2-4 Juin 1962)
« Le gouvernement mondial est resté l’objectif central de la Société fabienne... promu par des dirigeants tels que P. Mandelson[17], Tony Blair[18] et Gordon Brown[19]. »
Les Fabiens essaiment dans toute les capitales européennes. En 1920 la Paneurope était affiliée aux Fabiens de Vienne. La volonté d’une Europe unie est accompagnée de la volonté des financiers internationaux d’établir un nouvel ordre financier mondial contrôlé par eux-mêmes
Les Etats Unis d’Europe et la Société Fabienne
En 2000 le Daily Telegrap révèle que les archives déclassifiées de l’administration américaine des années 1950 / 1960 montrent que les personnalités importantes de la construction européenne, Paul-Henri Spaak[20], Robert Schuman[21], Joseph Retinger[22] et d’autres, étaient employés par les services américains et que les fonds ont transité par les fondations Rockefeller et Ford (Confirmé en 2003 par Historia)
Banquiers et fonctionnaires comploteurs
Des banquiers influents complotent avec des fonctionnaires sans scrupule pour imposer leurs ruses au monde. Le groupe Bilderberg en est un bon exemple. Il a été crée par Joseph Retinger, un socialiste polonais basé à Londres et proche collaborateur de la Société Fabienne. Retinger a œuvré dans des organisations secrètes pour une Europe unie. L’unification de l’Europe était aussi un objectif clé de la politique étrangère américaine.
Au sein du groupe Bilderberg on retrouve les noms de plusieurs Rockefeller, d’autres riches ou influents personnages, les familles Rotschild française, suisse et britannique, les français Guy Mollet[23], Jean Monnet[24], le prince Bernhard des Pays Bas[25], etc.
Le plan Marshall et l’unification de l’Europe ont été mis au point par les banquiers internationaux avec des hommes politiques sans scrupules. Des noms sont cités par l’auteur..
Le Bilderberg…
Le groupe Bilderberg[26] n’est pas au sommet de la structure qui travaille pour la domination du monde mais il y participe bien. Il a joué un rôle central dans le traité de Rome de 1957 qui a crée la CEE, le Marché Commun. Au dessus il y a le Council of Foreign Relations et la Commission Trilatérale, fondée en 1973 par David Rockefeller et dans laquelle on retrouve des membres de la Société Fabienne, des banquiers et de très riches industriels.
En Février 2001 le sénateur australien Chris Schacht, du parti travailliste, en réponse à une critique, s’exclama : « ...nous, les Fabiens, avons pris le contrôle de la CIA, du KGB, de MI5, de l’ASIO (Service de Renseignements intérieurs australiens), du FMI, de la Banque mondiale et de nombreuses autres organisations...»
Le plan des Britanniques…
Le plan britannique pour un « nouvel ordre mondial » débute avec les enseignements de J. Ruskin et Cecil Rhodes[27] de l’université d’Oxford. En 1877, Rhodes laissa sa fortune au mandataire Nathan Rotschild pour mettre sur pied le programme de bourse Rhodes, à Oxford, afin d’endoctriner de jeunes diplômés et d’établir une société secrète pour les dirigeants d’entreprises et des banques qui aideraient la Cité de Londres dans son projet de gouvernement mondial socialiste. Rothschild charge A. Milner de mettre en œuvre ce plan. La société créée s’appelle d’abord Milner’s Kindergarten [28]puis The Round Table.
Milner travaille en étroite collaboration avec la London School of Economics (LSE) fondée par S. Web, un dirigeant socialiste Fabien.
Le plan de la Société Fabienne britannique
Le plan de la Société Fabienne britannique pour la conquête du monde par la communauté financière de la Cité de Londres est publié pour la première fois en 1936 dans le livre « All Theses Things » d’un journaliste néo-zélandais A. N. Field. Dans ce plan était prévu une dette paralysante et des prix d’exportation bas. Un document de planification (« Freedom and Planning ») diffusé en 1932 fut conçu par Israël Moses Sieff[29] de la Cité de Londres, président d’honneur de la Fédération sioniste de G-B et d’Irlande, participant de la Commission sioniste de 1918 en Palestine et signataire du mémorandum du 3 février 1919 revendiquant un « foyer national juif ».
Son plan Freedom and Planning consiste à « soviétiser » progressivement le monde, il prévoit le transfert subtil de la capacité de production de chaque pays dans une série de départements « appartenant à l‘Etat » qui seraient ensuite privatisés au profit des banques internationales et des sociétés contrôlées par la Cité de Londres. La propriété individuelle serait sévèrement restreinte à quelques vêtements et petits actifs (meubles, voitures...) Terres, mer, rivières, lacs, ports, chemins de fer, routes, communications, médias, électricité, énergie, nourriture, gestion de l’eau, des déchets, écoles, hôpitaux, police, services sociaux, revenu intérieur, etc. seraient la propriété des banques de la Cité de Londres.
Aujourd’hui d’anciens boursiers Rhodes comme Bill Clinton, des membres de la Fabian Business Round Table et des diplômés de la LSE dominent les systèmes bancaires et politiques mondiaux de tous les pays.
Une dénonciation du ‘Plan’
Le complot international de la Société Fabienne est dénoncé le 2 mai 1934 sur la radio WOL par un représentant Républicain de Pennsylvanie, Louis Thomas McFadden (1876-1936) et publié dans le compte rendu du Congrès américain du 3 mai 1934.
McFadden fut caissier puis président de la First National Bank of Canton en Pennsylvanie. Il fut élu représentant Républicain au 64è Congrès. Il fut célèbre pour ses critiques de la Réserve fédérale qu’il considérait comme contraire aux intérêts du peuple américain et qu’il accusa d’avoir délibérément provoqué la Grande Dépression. Il a été la cible de plusieurs tentatives de meurtres.
Sa mort soudaine en 1936 lors d’une visite à New-York est peut-être due à un empoisonnement.
Fabiens, oligarques et privatisation du monde
La privatisation du monde par la Société Fabienne et les oligarques passe par une « régionalisation » du monde sous le contrôle des Nations Unies et de l’Union Européenne et aussi des conseils régionaux et municipaux.
Tous les pays du monde sont en voie de « régionalisation », c’est en cours aux USA, en Europe, déjà effectif en G-B. Ce processus vise à détruire le pouvoir du gouvernement national central dans chaque pays.
Qu’est-ce que le parlement européen aujourd’hui ?
Le parlement européen n’est plus qu’un forum de discussion. Tous les commissaires sont nommés, et non élus, à la Commission Européenne par des chefs d’entreprise et des banquiers.
Le plan de régionalisation pour abolir les gouvernements nationaux avant de mettre en place un Etat policier suit la même démarche que celle de l’ancienne Union Soviétique.
La Société Fabienne est obsédée par l’économie et les théories économiques. Ce sont ses membres qui décrété et fait reconnaître l’économie comme une science, ce qu’elle n’est pas en réalité. Par le biais d’établissements enseignants l’économie fabienne (Comme la Royal Economic Society ou la London School of Economics) des générations d’économistes ainsi crées travaillent comme fonctionnaires ou représentants de gouvernements à mettre en application les politiques des Fabiens en Occident.
De la macroéconomie à la Banque Mondiale
John M. Keynes[30], fondateur de la macroéconomie keynésienne était un apôtre des dépenses publiques déficitaires, il fut un des artisans de Bretton Woods[31] (1944) à l’origine de la Banque Internationale qui deviendra Banque Mondiale et du FMI, instrument de financement du socialisme mondial.
C’était aussi un charlatan qui utilisait son influence au Trésor pour manipuler les prix et se constituer ne fortune personnelle en spéculant sur le marché boursier. La propagande fabienne l’a élevé au rang de gourou économique des gouvernements de gauche des deux côtés de l’Atlantique. Malgré la défaite du Parti travailliste Fabien en 1951, le système financier international de Keynes, le plan Marshall et les prêts des administrations américaines de gauche ont sauvé le socialisme britannique et l’ont maintenu artificiellement. L’augmentation des dépenses publiques, la hausse constante des impôts, de la dette publique et du contrôle de l’État au nom d’une ‘croissance économique’ et du ‘progrès social’ sont devenus la malédiction des pays dominés par les socialistes.
Voici maintenant le développement durable…
Le « développement durable », programme de l’Agenda 21 des Nations Unies, est dévoilé au Sommet de Rio, présidé en1992 par Gorbachov et Maurice Strong, milliardaire canadien, agent de N.M. Rotschild and Sons. Ce programme qui inverse les valeurs traditionnelles prônées par le christianisme est un produit de la pensée et de la stratégie fabiennes qui a pour finalité « l’extinction de la propriété privée » à travers un « environnementalisme » et un « développement durable » rusés qui ne sont pas destinés à protéger l’environnement mais à collectiviser logements et fermes sous le contrôle de l’État, après diverses étapes où les propriétés des agriculteurs et des citadins seront confisquées.
Le chapitre 17 décrit le processus qui mène d’un « développement durable » à un nouvel ordre économique international et à un gouvernement mondial.
…Et le Fonds pour l’Environnement Mondial ou FEM
Le FEM, Fonds pour l’Environnement Mondial, est un outil qui permet à la banque Rothschild de récupérer les territoires vierges et riches en minéraux des pays pauvres qui ne peuvent pas rembourser leur emprunt. Ainsi 30 % de la surface de la terre est déjà concernée.
Edmond de Rothschild a réussi à faire passer son FEM par les Nations Unies au Sommet de Rio en 1992.
Le vol du monde !
Les hauts fonctionnaires ministériels de 179 pays cooptés au conseil de la banque entérinent donc le vol du monde par Rothschild.
Au Congrès Mondial des Terres Sauvages Edmond de Rothschild a désigné le financier M. Sweatman comme président de la Banque Mondiale de la Conservation, en présence des principaux initiés des plus grandes banques : M. Strong, David Rockefeller, Ruckleshaus, administrateur de l’Agence de protection de l’environnement des USA, etc.
«La Banque Mondiale de la Conservation, maintenant Fonds pour l’Environnement mondial (FEM), est appelée à devenir la dernière Banque Mondiale après avoir été le mécanisme de découplage permettant aux banques mères de la Cité de Londres de prendre en charge les avoirs de tous les pays... Après un chaos financier orchestré, au cours duquel seront délibérément effondrées la plupart des banques du monde, les créanciers principaux des banques de la Cité de Londres vont reprendre tous les prêts hypothécaires et les avoirs du monde et les transférer à la Banque Mondiale de la Conservation… Ce plan ésotérique et rusé est difficile à comprendre pour la majorité des gens. La plupart des ministères des finances se préparent pour un tel événement... En préparation de cet événement les monnaies du monde vont être d’abord fusionnées en 2 ou 3 grands groupes de monnaies, dont l’euro et le dollar américain puis remplacées par une nouvelle monnaie électronique mondiale de la Banque Mondiale de la Conservation : l’Earth dollar… Une cryptomonnaie, en cours d’élaboration pour atteindre les Objectifs du Développement Durable (ODD) d’ici 2030... émise contre la garantie de 34 % de la surface de la Terre, située dans d’immenses parcs et zones de conservation du patrimoine mondial de l’ONU dans tous les pays, sous la fausse astuce de développement durable. En bref le plus grand complot et tromperie bancaire ...contre l’humanité... Les bitcoin et autres cryptomonnaies sont utilisées pour retirer le plus d’argent possible de la circulation. L’effondrement et l’échec du bitcoin effaceraient tant de richesse et d’argent que les marchés suivraient, forçant ainsi une monnaie contrôlée numérique pour tous. Le FEM deviendra alors ce centre de contrôle... Au 4è Congrès Mondial des Terres Sauvages se trouvaient M. Strong, E. de Rothschild, D. Rockefeller, J. Baker...»
Un processus démocratique ? …trop cher !
Dans un discours, David Lang, important banquier de Montréal, dit que « le processus démocratique... prendrait trop de temps et coûterait trop d’argent pour éduquer le chair à canon qui peuple la Terre... »
«C’est ce que pensent ces conspirateurs bancaires influents du ‘développement durable’, de la ‘croissance intelligente’ et des politiques mondiales de la conservation... Ce sont des hommes pervers qui exploitent la naïveté des politiciens, des gouvernements locaux et centraux et des chefs d’entreprise du monde entier.»
Un ancien officier de marine, George W. Hunt, consultant en affaires et professeur, a enregistré et diffusé une vidéo des extraits de discours du Sommet de Rio et du 4e Congrès Mondial des Terres Sauvages « The UNCED Earth Summit, Rio de Janeiro:http://bit.ly/GeorgeHunt1992
Ce cher Al Gore !
Parmi les complices cupides Al Gore[32] est cité et ses entreprises maléfiques décrites.
Le chapitre 19 est consacré au développement de l’idée de l’effondrement économique par l’intermédiaire de cryptomonnaies.
Le chapitre 20 décrit le plan des Nations Unies, l’Agenda 21, pour contrôler les gens sous prétexte de protéger l’environnement et l’égalité et cite ses principaux participants et en particulier le rôle d’un « Gourou du Nouvel Age » canadien : Maurice Strong, décédé en 2015.
Les chapitres suivants sont consacrés à tous les outils utilisés par les Fabiens, pour pervertir, désunir, asservir les populations des pays occidentaux, détruire la civilisation européenne chrétienne et la souveraineté des peuples.
Ces outils sont l’immigration massive, des lois sur les relations raciales, le multiculturalisme, le souverainisme gangrené par le communisme, l’islamisation, la mystique diabolique du Nouvel Age, l’ingénierie sociale, le contrôle mental et l’attitude du consentement…, les rôles de la contre-culture des années 60, de la conspiration du Verseau, de MTV, chaîne privée de musique rock et de vidéos ciblée sur un public d’adolescents et de jeunes, fondée en 1981, vraie machine à laver le cerveau « conçue à partir d’une maîtrise de plus en plus grande des méthodes de manipulation psychologique », le rock subliminal, le déferlement de drogues (LSD, haschich, marijuana) censées rendre libre.
Les Beatles
Par exemple, les Beatles, sur la pochette de disque Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band, mentionnent les personnages qu’ils admirent et qui les inspirent : deux éminents Fabiens : Herbert G. Wells et George Bernard Shaw, ainsi que l’initiateur des psychédéliques Aldous Huxley, le mage noir Aleister Crowley, le romancier de la Beat Generation W.S.Burroughs et aussi Karl Marx et Hitler.
Les Rollings Stones
Les Rollings Stones ont enregistré des messages sataniques répétés au fil des ans (Exemple Bridge to Babylon). Mick Jagger, Marianne Faithfull, Anita Pallenberg étaient initiés aux rites de la magie noire. Mick Jagger se prend même pour l’incarnation de Lucifer et l’affirme dans 3 chansons.
Aldous Huxley
Aldous Huxley[33], initié au culte des Fils du Soleil, réalise dans son roman le plus célèbre « Le meilleur des Mondes » un brouillon du Nouvel Ordre Mondial. Il y décrit comme outils principaux pour obtenir la soumission des populations, des vaccins et des médicaments qui modifient les fonctions du cerveau.
Il travaille aussi comme scénariste pour la MGM. L’industrie du spectacle est sous le contrôle d’une mafia née de l’union de la criminalité organisée et d’escrocs de Wall Street contrôlés en ultime instance par la puissante Bilderberg.
En 1954 A. Huxley publie le premier manifeste de la culture des drogues psychédéliques. Dans les années 60 il est lié au président de Sandoz, « commissionné par la CIA pour la production de LSD et de psilocybine... pour MK-Ultra, l’expérimentation officielle de la CIA de la guerre chimique » au cours de laquelle des cobayes humains moururent. Dans le cadre de ce programme MK-Ultra d’autres victimes, enfants d’orphelinats, furent torturés puis drogués avec du LSD, dans un des établissements d’enseignement supérieur liés au groupe Bilderberg.
Plus de cent millions de doses de LSD…
Des documents déclassifiés révèlent que plus de cent millions de doses de LSD achetées par le directeur de la CIA, Allen Dulles, terminèrent en grande partie dans les rues des USA dans les années 60, d’après Michaël Minnicino[34]. Des milliers d’étudiants ont servi de cobayes. Et une majorité de ceux qui protestaient contre la guerre au Vietnam oublièrent leurs valeurs dans la fumée du haschich.
Le groupe Bilderberg organisa une « guerre » culturelle contre la jeunesse des USA, à travers des concerts en plein air, des festivals où étaient distribuées librement des drogues hallucinogènes dont les Beatles prônaient la consommation.
Instigateurs et complices
Une TV omniprésente, des lobbyistes du groupe Bilderberg et d’autres milieux clandestins d’influence et de manipulation participent à l’instauration progressive d’un gouvernement mondial ne répondant qu’à lui-même, avec la complicité de scientifiques, psychologues, sociologues, anthropologues de la nouvelle science du New Age. Sont cités E. Bernays, W. Lippmann, Gallup, Yankelovitch, Rees, Adorno, A. Huxley, H.G Wells, Emery, Trist…
Le lanceur d’alerte Serge Monast dans « Le Complot des Nations Unies contre la Chrétienté » met en garde contre « l’église socialiste » dont la doctrine mène à une dictature pour soi-disant protéger du désordre et de la misère.
« Tels des loups dans la bergerie, les membres de la Société Fabienne ont avancé sournoisement pour faire progresser leur agenda marxiste, communiste et totalitaire... au niveau mondial.
Pour les énormes cartels financiers mondiaux, l’homme n’est qu’un misérable animal, fatalement condamné à brûler les ressources fixes d’un univers fini qui s’épuise. Cette oligarchie, à l’instar des élites SS... impose aujourd’hui des politiques économiques et écologiques, visant à réduire la population mondiale ...à seulement 2 milliards. » (Robert Hunter « Socialisme et Violence », et Karel Vereycken : « Le Prince Philip, le VWF et la conspiration bénédictine. »)
« Le nazisme et le communisme ont, tous deux, été crées par le cartel des banques centrales. » (Henri Makow Ph. D : « Illuminati - Le culte qui a détourné le monde »)
Les Rothschild encore
Les Rothschild sont les principaux actionnaires du système mondial de banque centrale. La carrière de Victor Rothschild (dont l’épouse était parente de l’éminente Fabienne B. Web, fondatrice de la LSE) confirme que le plan de ces banquiers basés à Londres pour imposer un gouvernement mondial s’appuyait sur le Communisme.
La Conférence de Paris en 2015 sur les changements climatiques (COP 21) n’a pas tellement pour objectif la protection de la planète mais un « plongeon massif de la population actuelle de 7 milliards à 2 milliards seulement » affirme la rédactrice en chef de la Nouvelle Solidarité, Christine Bierre, dans une entrevue accordée à Sputnik France.
Une idée de prince
Cette idée de réduire la population de la Terre a été proclamée par le Prince Philip d’Edimbourg en 2009. Il avait crée, en 1961, sous prétexte de protéger l’environnement, le WVF afin de réduire la population mondiale, de concert avec Julian Huxley, partisan de l’eugénisme comme son frère Aldous, avec Godfrey A. Rockefeller et avec le prince Bernhard des Pays-Bas, cofondateur du groupe Bilderberg et membre du parti Nazi lorsqu’il était étudiant (membre de la Reiter-SS et de l’organisation paramilitaire du parti nazi NSKK).
Ces personnalités bien connues réunies en 1919 en Suisse
Du 30 Mai au 2 juin 2019 la rencontre de Bilderberg en Suisse a rassemblé 128 personnalités d’Amérique du Nord et d’Europe Occidentale : Bruno Le Maire, Ursula von der Leyen, M. Renzi, Henry Kissinger, le gouverneur de la banque d’Angleterre, l’ex-PDG de Google, le secrétaire général de l’OTAN, la directrice de Royal Dutch Shell, celle de l’UNESCO, celle de la LSE, le PDG de Microsoft, l’ancien président de la Commission Européenne et banquier : J.M. Barroso, etc.
En 2018 à Turin à la réunion du Bilderberg ; il y avait aussi plusieurs représentants d’ordres religieux dont le secrétaire d’État du Vatican et ils avaient discuté de « post-vérité » (sic) et des derniers développements d’intelligence artificielle (dont la 5 G[35]) et d’ordinateurs quantiques.
Le déploiement de la 5 G à très hautes fréquences a commencé dès la fin 2018. Malgré un déni généralisé des preuves accablantes indiquent que le rayonnement des radiofréquences (RF) est nuisible à la vie (données cliniques et preuves expérimentales).
Elon Musk n’est pas un lanceur d’alertes, mais de satellites
Le 23 mai 2019, Space X, la société d’Elon Musk a lancé ses 60 premiers satellites 5G en orbite basse autour de la Terre, sur les 420 prévus. Le 27 Février 2019, son concurrent Space X a lancé ses 6 premiers satellites de sa flotte prévue de 4.540 avec 36 satellites par mois. Amazon annonce une flotte de plus de 3.000 satellites 5G…
Malgré plus de 1.000 études scientifiques publiées qui montrent les dommages du rayonnement de radiofréquence causés à la santé humaine.
Il faut noter que le réseau 5G utilise les mêmes ondes EMF que le système de contrôle de foule du Pentagone développé pour l’armée américaine (Active Denial System) Cet émetteur d’ondes ADS peut disperser une foule en brûlant les sujets : 2 secondes d’impulsion porte la peau à 55° C.
La 5e génération des standards pour la téléphonie mobile est une arme de guerre déployée partout sur la surface de la Terre, dans l’espace et sur les mers pour prendre le contrôle de tous les aspects du vivant sur la planète
Un rôle pour la 5G
Ecouter le discours effarant du Président de la FCC (Commission fédérale des communications) Tom Wheeler, qui énonce comment la 5G va arriver, quelles qu’en soient les conséquences, le 20 juin 2016 : https://youtu.be/tNH35Kcao60
Il préconise le déploiement de la 5G sans attendre les normes de sécurité malgré les effets toxiques qui affecteront toute la vie sur terre.
Non seulement la 5G permet d’activer le contrôle total sur nos vies par écoute et traçage en temps réel mais aussi la diffusion de mirages et de faux miracles par la projection holographique et la réalité augmentée (RA).
Une image de RA, une créature mythique, sorte de Dragon, par SK Telecom, est apparue le jour de l’ouverture de la saison de la Korea Baseball Organization, le 23 Mars 2019, au domicile des champions en titre, au SK Happy Dream Park d’Incheon.
L’auteur cite de nombreux brevets qui préparent cette RA future
La « post-vérité » discutée à la réunion à Turin du groupe Bilderberg du 10 juin 2018 à laquelle fut convié le numéro 2 du Vatican, faisait allusion à cette RA permettant mirages et « miracles ».
Le quotidien italien IL Giornale s’interroge sur la présence du cardinal dans une réunion qui revendique le secret, qui est « la 66e édition au cours du 6e mois de l’année, dans la ville de Turin qui a une réputation sulfureuse depuis qu’elle abritât au XIe siècle des cultes sataniques grâce à la bienveillance d’un gouvernement du Piémont antichrétien... Turin est devenu une ville-laboratoire de la franc-maçonnerie anticléricale rapporte Aleteia (2016) avec la mise en place d’une « Eglise de Satan » (Arte & Cultura) »
Le Vatican aussi
« Le Vatican est impliqué dans l’agenda du nouvel ordre mondial et dans l’instauration de l’IA (intelligence artificielle) et donc contribue à l’incarnation de cet Ahriman, un être entraînant vers la minéralité, la stérilité, technologie sans âme et le nihilisme, comme le décrivait Rudolf Steiner au début du XXe siècle » (Leo Zagami : « Ahriman, The Evil Force Behind It All, Beware Humanity You Have Been Warned » 10 Avril 2019)
Après la réunion du Bilderberg, en Février 2019, eut lieu dans la Nouvelle salle du Synode (bâtiment de la salle Paul VI) un atelier « Roboéthics : Humans, Machines and Health » organisé par l’Académie pontificale pour la vie.
Voir le site officiel: http://bit.ly/Robo-Ethics
Le Vatican et Microsoft, même combat ?
Le Vatican s’est associé à Microsoft pour offrir un prix international sur l’éthique et l’IA, après une réunion entre le pape François et le président de Microsoft, Brad Smith. (Ph. Pullella)
Une conférence sur la roboéthique au Vatican avec le professeur Hiroshi Ishiguro, promoteur de robots « extrêmement humains » indique que le but ultime des transhumanistes est de remplacer les humains par des androïdes dépourvus d ‘âme et de sentiments.
Mgr Vincenzo Paglia
Mgr Vincenzo Paglia, grand-chancelier de l’Institut pontifical Jean-Paul II exprime l’intérêt particulier pour les nouvelles technologies de l’Académie pontificale, dont il est le président, consacrant la période 2019-2020 à la robotique. Mgr Vincenzo Paglia avait provoqué un scandale en 2007 en faisant peindre une fresque homo-érotique et transhumaniste dans sa cathédrale de Terni en Italie.
Mais, Donald Trump… ?
En 2019, Donald Trump attend l’implémentation sous-cutanée généralisée de la puce électronique (RFID), le système de suivi biométrique et la propagation du réseau 5G.
Les puces sont déjà utilisées, autorisées par le Congrès américain depuis 2016, pour les handicapés mentaux et les déficients intellectuels. Et on sait comment la psychiatrie invente des maladies fictives qui pourront justifier l’implantation de puces. Par exemple, Léon Eisenberg, l’inventeur du trouble de déficit d’attention, TDAH, juste avant sa mort a avoué l’escroquerie : « le TDAH est une maladie fabriquée ».
Annie Besant
Le top ? Tous les moyens sont bons…
La psychiatrie avait inventé le TOP : trouble oppositionnel avec provocation, qui faisait de la dissidence un crime. Le Manuel des troubles mentaux inclut la remise en question de l’autorité, la défiance, l’argumentaire et l’irritation.
« Tous les moyens sont bons pour mettre hors d’état de nuire qui voudrait s’opposer à un pouvoir... L’American Psychiatric Association classe le non-conformisme, le cynisme et la créativité... dans la catégorie des maladies mentales » Hazies Mousli, Mediapart 4/11/2015.
Les puces feront partie de la réalité augmentée et de la nouvelle chaîne digitalisée de l’esclavagisme moderne (Makia Freeman, The Freedom Articles, 15/12/2016)
La géo-ingénierie climatique avec la 5G, le mariage parfait ?
« S’ajoute à cela le fait que les USA ont bloqué les efforts mondiaux pour examiner la géo-ingénierie climatique qui sera aussi utilisée pour le suivi biométrique par le truchement du réseau 5G. »
Les USA se sont opposés à l’examen des risques liés aux techniques de manipulation du climat : aspiration du carbone de l’air, miroirs réfléchissants dans l’espace, ensemencement des océans et injection de particules dans l’atmosphère.
L’auteur indique les liens entre Trump, son gendre et conseiller personnel, Jared Kushner, et le financeur Soros dans les intérêts particuliers de l’implémentation de puces électroniques, de radio-identification RFID.
666, cinquième avenue
Jared Kushner est propriétaire de l’immeuble où Lucent Technologies fait ses recherches sur les puces. L’adresse 666 (de Firth Avenue), d’abord bien visible sur le dessus du bâtiment, en 2002 a été remplacé par un logo de Citigroup : un serpent rouge tenant sa queue dans sa bouche. Lucent signifiant « ils brillent » en latin et donne également par sa racine linguistique : Lucifer, « le porteur de lumière ». Le système d’exploitation lancé par Lucent est appelé « Inferno » en 1997.
Le Fabien George Soros[36], ancien étudiant de la London School of Economics, a parrainé Jared Kushner à hauteur de 259 millions de dollars. Soros est le financier de l’entreprise immobilière fondée par le gendre de D. Trump, Jared et son frère Joshua Kushner. Jared Kushner a participé à la réunion du Bilderberg à Montreux sur l’IA.
A quoi peut servir la 5G
Le Réseau 5G et le système RFID sont nécessaires pour prendre possession de l’humanité. Au besoin le réseau 5 G servira à repousser ou éliminer les opposants potentiels grâce au système ADS de l’armée. Le système du Crédit Social du gouvernement chinois aura été le laboratoire idéal de ce nouvel ordre mondial. La Société Fabienne, avec son plan gradualiste, aura poursuivi ses politiques par l’intermédiaire d’organisations et de quelques dizaines d’institutions clés qu’elle a fondées ou qu’elle contrôle ou qu’elle influence directement ou indirectement.
Cela, évidemment, sans la participation, sans la connaissance ni l’approbation du grand public. Des organisations caritatives sont impliquées dans les programmes fabiens, elles exploitent la générosité sans méfiance du public pour cause d’agendas politiques dissimulés car à l’encontre des intérêts du public.
Le réseau et les activités de la Société Fabienne, jouissant de la collaboration d’intérêts monétaires internationaux, doivent être exposés et combattus par tous les citoyens attachés à la vérité, la démocratie et la liberté.
Selon Eric Butler (http://bit.ly/EricButler) l’avancée de la gauche antidémocratique « ne sera arrêtée que lorsque le rideau de fumée socialiste fabien sera balayé par une exposition effective et, ce qui est encore plus important, lorsque les politiques économiques, financières et les stratégies fabiennes seront d’abord stoppées puis renversées »
La quatrième de couverture
[1] Les éditions Dédicaces ont été créées par l’auteur au Québec en 2010
[2] La notion de gouvernance mondiale fait son apparition dans le champ des relations internationales vers la fin des années 80. Elle renvoi à l'idée d'un mode de régulation supranationale édictant des règles d'organisation à l'échelle de la planète, issue le plus souvent de la coopération internationale. D'ailleurs, les premiers jalons d’une gouvernance mondiale ont été posés après la Seconde Guerre mondiale, avec les accords de Bretton Woods (1944) et l’apparition des premières institutions internationales – ONU, FMI, Banque Mondiale... Aujourd'hui un groupe comme le G 20 est l’une des composantes de la gouvernance mondiale, mais celle-ci n'est pas suffisante pour faire face aux enjeux de la mondialisation. (https://www.glossaire-international.com/pages/tous-les-termes/gouvernance-mondiale.html)
[3] Du grec ancien ὀλιγάρχης, oligárkhês. Dans son sens premier, le terme oligarques désigne des personnes puissantes, membres d’une oligarchie, c’est-à-dire d’un pouvoir politique détenu par un petit nombre d’individus. Le terme fut longtemps utilisé pour qualifier la République romaine dans l’Antiquité.
Guy Boulianne, Québécois, auteur, éditeur et journaliste, poète, co-directeur de la galerie d’art Frère Jérome de 1983 à 1987 puis ouvre sa propre galerie La galerie d’art Imagine à Montréal, jusqu’en 1990. Il conçoit et réalise deux émissions télévisées : « Ecriture d’ici » et « Plume et Pinceau. »
Après 1990 il se consacre à des recherches sur l’aspect caché de l’histoire. Pour cela il séjourne en Europe, surtout en France et en Belgique. De retour au Québec il replonge dans le monde des arts et crée des galeries d’art virtuelles. Puis en 1996 il publie des auteurs québécois et européens. En 1997 il fonde en France le Conseil Franco-Québécois de la Culture.
De 2005 à 2009 il est l’éditeur de la maison d’édition Milles Poètes. En 2007 il écrit et publie récit et essai. En 2009 il participe comme poète à l’anthologie française Poésie du Rêve. Rêves de Poésie.
En 2009 il fonde les Editions Dédicaces. Il publie plusieurs livres.
Il est membre des associations de journalistes « General News Service Network Associations » (GNS Press) et membre aux USA de la Société des journalistes professionnels (SPJ). Il adhère à la Charte d’éthique mondiale des journalistes de la Fédération internationale des journalistes (FJI).
https://plus.wikimonde.com/wiki/Guy_Boulianne
[5] La London School of Economics, ou LSE, est une université britannique spécialisée dans la recherche scientifique et l'enseignement académique des sciences économiques, politiques, sociales, du droit, de la psychologie et des relations internationales (Wikipédia)
[6] Immigrationnisme, début 21e siècle, dérivé de immigration, néologisme apparu dans les milieux politiques français , théoriquement classé à « l’extrême droite ».
[7] Eugéniste. Spécialiste ou partisan de l'eugénique, de l'étude et mise en œuvre de méthodes censées améliorer l'espèce humaine. Selon Lintern@ute, Eugénisme = Théorie et méthodes visant à améliorer l’espèce humaine fondées sur la générique. Vient du mot eugenics, terme inventé en 1883 par le savant anglais Francis Galton, et dérivé du grec ancien guénos, signifiant naissance, et du préfixe eu renvoyant à la notion de bien, bon ou vrai !
[8] Thomas Davidson (1840-1900), philosophe, enseignant et conférencier américano-écossais
[9] Julius Martow (1873-1923), de son vrai nom Iouli Ossipovitch Tsederbaum, était un menchévik russe.
[10] George Bernard Shaw (1856-1950), Prix Nobel de Littérature en 1925
[11] Annie Besant (1847-1933) est une conférencière, féministe, libre-penseuse, socialiste et théosophe britannique, qui prit part à la lutte ouvrière avant de diriger la Société théosophique
[12] Jenny Julia Eleanor Marx, parfois Aveling ou Marx-Aveling, surnommée « Tussy », est une écrivaine et militante socialiste britannique, née à Londres le 16 janvier 1855 et morte dans cette même ville le 31 mars 1898
[13] Bernard Bernstein (1908-1990), économiste et fonctionnaire américain ?
[14] Joseph A Schumpeter (1883-1950), ancien ministre de l’Autriche, auteur d’une Histoire de l’analyse économique.
[15] École de Manchester ou libéralisme manchestérien ou philosophie de Manchester est une expression utilisée au début du XXᵉ siècle par Élie Halévy et A.V. Dicey à la suite de Ferdinand Lassalle pour désigner un libéralisme de laissez-faire. Parmi les tenants de l' école de Manchester ou de la philosophie de Manchester, on trouve Richard Cobben et Herbert Spence. Le terme semble avoir été très utilisé dans l'entre-deux guerre dans les milieux proches ou influencés par Elie Halévy ou son ami anglais Graham Wallas, un des fondateurs de la London School of Economics (L.S.E) où il enseigna la politique.
[16] Pau-Henri Spaak (1899-1972), homme d’État belge, considéré comme un des pères de l’Europe (d’après Wikipédia)
[17] P. Mandelson (né en 1953), homme politique britannique.
[18] Tony Blair (né en 1953), homme d’État britannique travailliste. Premier ministre du Royaume-Uni entre 1997 et 2007.
[19] Gordon Brown (né en 1951), homme d’État britannique membre du parti travailliste. Premier ministre du Royaume-Uni entre 2007 et 2010.
[20] Paul-Henri Spaak (1899-1972) est un homme d'État belge, considéré comme l'un des Pères de l'Europe.
[21] Robert Schuman (1886-1963), homme d’État français. Sous-secrétaire d'État pendant la Troisième République, ministre pendant la Quatrième République, notamment aux Affaires Etrangères, puis président du Conseil des ministres à deux reprises, Schuman a exercé par ailleurs les fonctions de président du Parlement européen. Il est considéré comme l'un des pères fondateurs de la construction européenne. L'Église catholique a entamé le procès canonique en vue de sa béatification. Le 19 juin 2021, il est déclaré vénérable par le pape François.
[22] Joseph Retinger (1888-1960), diplomate, écrivain, homme politique. Il est à l’initiative du groupe Bilderberg.
[23] Guy Mollet (1905-1975), homme d'État français. Secrétaire général de la Section française de l'Internationale ouvrière de 1946 à 1969, il est plusieurs fois ministre d'État sous la IVᵉ République
[24] Jean Monnet (1888-1979)n haut fonctionnaire français, banquier international, promoteur de l'atlantisme et du libre-échange. Il est considéré comme l'un des « pères de l'Europe ». Cf. dans ce même blog, l’article n° 131. Enquête sur la loi qui a engendré la dette - Pierre-Yves Rougeyron
[25] Prince Bernhard des Pays Bas (1911-2004), prince allemand devenu prince des Pays-Bas lors de son mariage avec la future reine Juliana. Il est ainsi prince consort des Pays-Bas de 1948 à 1980 sous le nom de prince Bernhard des Pays-Bas. Membre du parti nazi NSDAP. Il est le président fondateur du Fonds mondial pour la nature (WWF) de 1962 à 1976. Il est considéré comme cofondateur du très controversé groupe Bilderverg.
[26] Cf. dans ce même blog, article n° 40. Les grands clubs d'influence : le "Bilderberg" - Gérard CONIO
[27] Cecil Rhodes (1853-1902), homme d'affaires et un homme politique britannique. Fondateur de la British South Africa Company.
[28] Milner’s Kindergarten est le nom informel d'un groupe de Britanniques qui ont servi dans la fonction publique sud-africaine sous le Haut Commissaire Alfred, Lord Milner, entre la Seconde Guerre des Boers et la fondation de l'Union sud-africaine en 1910.
[29] Israël Moses Sieff (1889-1972), homme d'affaires et pair britannique à vie avec le rang de baron.
[30] John Maynard Keynes (1883-1964) serait, selon Wikipédia, « probablement l'économiste le plus influent du XXe siècle »
[31] Bretton Woods. Lieu où, en 1944, a eu lieu une conférence internationale pour réorganiser le système monétaire international. Une des décisions importantes prise à cette occasion est de fixer une parité fixe entre l'or et le dollar. Le billet vert devient l'étalon de référence à la place du métal précieux.
[32] Dans ce blog, à l’article n° 106. Tous les dessous du grand complot - Claire Séverac, un chapitre entier est consacré à « ce cher Al Gore » qui « a reçu le prix Nobel pour son documentaire sur le réchauffement climatique »
[33] Aldous Huxley (1894-1963)
[34] Michaël Minnicino : « Low Intensity operations » (1974), note 662 en page 391 de l’ouvrage.
[35] Sur la 5 G, on peut consulter dans ce même blog, les articles : N° 121. La 5G, le grand dossier de Jeanne la Veilleuse - NEXUS - Denis Bourgeois ; N° 21. A propos de la 5G - Edouard Ballot et N° 64. A nos risques et périls : la 5G - Denis Bourgeois
[36] Cf dans ce même blog, article N° 36. La nouvelle société que veut Georges Soros - Vincent Barbé et Olivier Laurent
