29 septembre 2021

58.Santé Détox : Hydrothérapie chez soi

 

Hydrothérapie chez soi. 

La médecine des capillaires

de M. DOGNA et A-F LHÔTE

(Ed.Trédaniel) 2021

 


La capillothérapie utilise l’extraordinaire densité du réseau des capillaires dont la longueur est évaluée à 10.000 km et qui joue dans l’organisme humain un rôle actif important dans la circulation sanguine. L’école de Tübingen a mis en évidence la responsabilité des troubles des capillaires dans les phénomènes morbides les plus variés. Une des origines des maladies saisonnières serait due aux spasmes des capillaires et stases multiples observés entre septembre et janvier (Hagen).

 

Le Dr Salmanov s’est « efforcé d’agir sur les capillaires, pour les dilater... pour en faire disparaître l’atonie paralytique, pour en améliorer la perméabilité...dans tous les domaines de la médecine, avec des résultats... plus constants et plus durables que ceux de toutes les thérapies spécifiques.»

 

Dans cette partie du réseau se déroulent les phénomènes essentiels de la circulation. Les parois des artères et des veines, leur intégrité, leur saturation par l’oxygène dépend dans une partie très importante des vasa vasorum qui sont des capillaires.

 

La sympathéctomie, intervention antiphysiologique,  peut être remplacée par la  capillothérapie balnéologique, inoffensive et plus efficace.

 

Après les explication médicales concernant la perméabilité et la vasomotricité des capillaires, les causes de stases veineuses et d’infections microbiennes ainsi que les mécanismes de l’autoguérison, l’hydrothérapie cutanée ou balnéothérapie est décrite avec la gamme des diverses pratiques de la bouillote à l’hydrothérapie viscérale en passant par les enveloppements chauds du thorax et  la vessie de glace sur la nuque…

 

Les auteurs de ce petit livre s’attachent surtout à une des pratiques : les bains Salmanov à la térébenthine dont plus de 600 études ont été réalisées en Russie depuis 30 ans. Ces bains sont composés majoritairement d’huile de térébenthine extraite des mélèzes de Sibérie.

 

Au fil des années les capillaires se bouchent, le débit sanguin se ralentit et provoque un manque d’oxygène et de nutriments qui conduit au vieillissement du corps par la mort cellulaire, sachant que 80 % de la circulation sanguine passe dans nos capillaires.  La térébenthine, principale composante des huiles essentielles de pin pénètre par la peau et stimule des milliards de récepteurs reliés à nos organes. L’influence des bains de térébenthine sur la peau provoque l’ouverture et la dilatation des capillaires périphériques puis des capillaires plus profonds ainsi que des vaisseaux sanguins, augmentant ainsi le débit coronaire, cérébral et rénal.

 

L’ouverture des capillaires fermés provoque un afflux d’oxygène, de glucose et de nutriments qui rétablit la circulation veineuse et élimine les déchets stockés dans l’organisme. Les auteurs donnent une liste des bienfaits et indications des bains à l’émulsion d’huile de térébenthine et indiquent les 3 types de préparations pour les bains Salmanov utilisés pour les maladies cardiaques, vasculaires, articulaires, spinales, de peau, respiratoires, du système nerveux, le diabète, les problèmes en urologie et gynécologie, le surpoids et la prévention

 

Composition des bains Salmanov 

 

Solution jaune : en outre, fait baisser la tension artérielle

►essence de térébenthine

►huile de ricin : 50 %

►acide oléique : 20 %

►eau : 15 %

►soude caustique : 13,4 %

 

Solution blanche : en outre, augmente la tension artérielle

►essence de térébenthine : 45 %

►eau : 50 %

►savon pour bébé

►acide salicylique

►alcool de camphre

►extrait d’écorce de saule

 

Les 2 bains sont analgésiques

 

Le 3è type de bain est mixte. Les bains mixtes utilisent la composition des 2 liquides jaune et blanc dans des proportions diverses. Le mélange standard 50/50 est neutre pour la tension artérielle.


 

Matériel et précautions 

 

►un thermomètre de bain et un compte minute

►mettre le produit jaune ou blanc dans une bouteille remplie au 2/3 d’eau chaude (60°). Agiter et verser dans le bain à 37°

►ne pas mouiller les muqueuses, la térébenthine brûle les parties sensibles au bout de 10 mn ( testicules, pénis, zone génitale féminine protégés avec de la vaseline) Sinon rinçage à l’eau bicarbonatée pour calmer feu)

►contrôler la température du bain qui doit monter progressivement vers les 39/40 sur les 20 mn de bain

►se rinçer à la sortie du bain sans savon et s’envelopper immédiatement avec une serviette éponge, une sortie de bain

►se mettre sous la couette pendant minimum 1/2h et mieux 1 heure pour favoriser une bonne sudation

►fréquence : 2 à 3 fois par semaine

 

Contre indication : infarctus du myocarde récent, œdème cérébral, œdème pulmonaire, tuberculose, glomérulonéphrite aigüe, myocardite, cirrhose, pneumonie, cancer avancé, maladies de peau (eczéma, psoriasis…), grossesse, allaitement des 6 premiers mois, blessures fraîches, phase aigüe d’infection, d’AVC, d’intoxication alcoolique, de psychose, (phase aigüe de tout problème), crise paroxystique d’hypertension, thrombophlébite, insuffisance cardiaque importante, ulcères trophiques, hypersensibilité à la térébenthine.

 

Les indications  pour les système cardio-vasculaire, digestifs, respiratoire, sanguin, endocrinien, nerveux, musculo-squelettique et arthritique, rénal, sexuel, les maladies chirurgicales, oto-rhino-laryngologiques, oculaires, gynécologiques, vénériennes, de peau, du tissu conjonctif, infectieuses… remplissent 7 pages du petit livre.

 

D’une façon générale ces bains hyperthermiques sont analgésique, correcteurs de poids, améliore la peau, préviennent les maladies et rajeunissent en interne et en externe par le nettoyage et le rétablissement de nos capillaires.

 

Après une dizaine de bains (blancs ou jaunes selon la tension) la pression artérielle se régularise et alors utiliser les bains mixtes.

 

La plupart des maladies infectieuses et tous les troubles de dégénérescence chroniques sont améliorés et guéris par l’hydrothérapie écrit le Dr Salmanov dans son ouvrage Les Mille Chemins de la guérison

 

Les docteurs Lampert et Walinsky ont traité la paralysie générale par les bains hyperthermiques et n’ont perdu aucun de leurs malades. Une température de 42°C au cours d’une maladie infectieuse est un arrêt de mort.

 

Une température de 42°C après un bain hyperthermique ne présente aucun danger.

Le professeur  Walinsky fut le pionnier de cette méthode thérapeutique. Dans son service à l’hôpital ST Joseph à Berlin, entre 1928 et 1937, 13.000 bains hyperthermiques ont été administrés. On y soigna beaucoup de cas de syphilis nerveuse. Des résultats remarquables furent observés et aucun accident ne fut enregistré.

 

En plus des bains Salmanov, il existe d’autres types de bains :

 

►Bain à 38,5° : alun (70gr.)  et bicarbonate de soude ( 200gr.) 15mn

calme le système nerveux, troubles de la circulation veineuses…

 

►Bain à 38,5°,15mn, aux feuilles de noyer, 400gr dans eau bouillante, infuser 15 mn et filtrer

dermatoses  suintantes ( eczéma), furonculose.

Peut se prendre en bain hyperthermique

 

►Bain de foin à 38,5°, 15mn, calmant

 

►Bain de bras : avant-bras dans l’eau à 37°, puis augmenter de 1° tous les 2 mn de 38 à 43° en 10mn. Rester 10mn à 43° puis repos 45 mn au moins. Sinusite, otite, pharyngite, décongestion de la tête ou des poumons

 

►Bain de pieds : dans de l’eau à 37° puis augmenter de 1° tous les 2 mn de 38 à 43° en 10 mn. Rester 10 mn à 43° puis repos 45 mn au moins. Décongestion de la tête ou de tout le corps

 

►Bain de siège : s’asseoir dans l’eau à 37° puis augmenter de 1°tous les 2 mn de 38 à 43° en 10mn. Rester 10mn à 43° puis repos 45 mn au moins. Hémorroïdes

 

►Compresses froides ou vessie de glace (en général pendant 20 mn

 

►Compresses chaudes ou bouillote pendant (20 mn)

 

Exemple pour une migraine :

-vessie de glace sur la tête avec linge interposé

-serviette chaude avec bouillote sur le foie, séance de 2 h à renouveler si nécessaire

 

Lumbago : toujours en rapport avec l’intestin (stress ou intoxication)

 

Mettre l’intestin au repos 24 à 48 h en alternant eau chaude un peu miellée et eau chaude salée pour se libérer (24 à 36 h suffisent en général)

 

►vessie de glace sur les lombaires

►serviette chaude plus bouillote aux pieds

Sance de 3h . Renouveler si nécessaire

 

Traitement quasi miraculeux de l’otite : compresse froide autour du cou et compresse chaude sur l’oreille.

 

La méthode Gardelle mixte  le froid et le chaud.

La méthode Salmanov n’utilise qu’une seule source de chaleur ou de froid.

 

Exemples :

►bains de bras à 40/42°C pour rhume, refroidissement

►bains de pieds à 40/42°C pour hypertension

►Compresse chaude sur le ventre pour colite, crise de foie

►Compresse froide autour de la gorge pour angine, aphonie

 

 

Commentaire additionnel

 

J’ai testé, depuis longtemps, sans connaître Salmanov,  les bains hyperthermique (jusqu’à 43°) mais sans les préparations de Salmanov.

 

J’utilise maintenant du savon noir (potasse caustique et huile d’olive) pour diluer de l’huiles essentielle de Pin  ou d’autres huiles essentielles et du sel de mer non raffiné (car j’ai une tendance à la déminéralisation et  prolonge mes bains au-delà des 20 mn). Je dispose d’eau très chaude (70° en sortie de robinet) pour maintenir la t°.

 

Et, en effet, il m’est  indispensable ensuite de me reposer. Pendant 1 h je sens battre le sang dans presque tout mon corps et je sue énormément à la suite d’un tel bain.

 

Avec ce livre  je découvre que je peux augmenter la fréquence de ces bains que je ne pratiquais qu’épisodiquement.

 

J’ai testé aussi le bain de bras hyperthermique un matin où je me suis réveillée avec un début de rhume. Et ça a marché, j’ai enrayé le processus rhume qui démarrait.

 

Jeanne

 

 

21 septembre 2021

57.Détox vaccinale par Amin Gasmi

 

DÉTOX VACCINALE


Amin Gasmi - Conférence exclusive

Mesures validées scientifiquement pour limiter les risques d’effets secondaires du vaccin.

 


Dr. Amin Gasmi :
Scientifique, il fait des recherches sur la nutrition, la physiologie et la nutrigénétique. Il se penche dans cet entretien exclusif sur la manière de contrecarrer les effets néfastes du vaccin contre le Covid-19

Lien pour visionner la vidéo :
https://paid.pure-sante.info/nat-os12-one-bdc-webinaire-replay/?source=PST190220011&utm_campaign=nat-os12-one-bdc-webinaire-replay&utm_source=hotnatvac&utm_medium=-&typePage=bdc&utm_source=sfmc&utm_medium=email&utm_campaign=20210919_HOTNATVAC_replay_interet_public&isBat=false&d=HOTNATVAC&sk=dG1mQDNtd2UuaW5mbw==&e=491abcf356be0689016594b88291e77d9d27e9ece7f669bf061a52ad6ca72fcc&j=524603&l=843&b=8004&sid=1478709&mid=500010050&senddate=2021-09-18

 

Avertissement :

 "Les débats sont focalisés sur l’intérêt ou non de se faire vacciner contre le covid.Durant cet entretien nous n’entrerons pas dans le débat même si les iformations que nous allons donner vont peut-être peser dans vos choix. La vaccination contre le covid est un choix personnel plus ou moins libre qui ne regarde que vous. En revanche il me semble important que les personnes qui se font vacciner puisse le faire dans les meilleures conditions en limitant autant que possible les facteurs de risque d’effets secondaires.On sait qu’il existe un certain nombre de complications parfois graves après la vaccination…"


(Nicolas WIRTH, naturopathe et rédacteur en chef de Solutions Naturopathie, promoteur et intervieweur de cette vidéo)
 

I. Première partie : un aperçu des problèmes

 

Effets habituels les moins graves d’un vaccin en général : (60 à 70% des vaccinés dans les 48 à 72 h)

 

Ce sont des signes d’inflammation, douleurs, gonflement au point d’injection, maux de tête, fatigue, fièvre, allergies. (Les chocs anaphylactiques sont les complication plus graves d’un vaccin classique)

 

Complications plus graves du vaccin anti-covid 

 

inflammations du cœur (myocardite, endocardite…)

thromboses

syndrome de Guillain-Barré (atteinte neurologique poly-nerveuse qui part du bas, pieds et jambes, et remonte vers le haut)

chocs anaphylactiques.

 

Ce qui est nouveau c’est le nombre anormalement élevé de complications graves comme les thromboses, les maladies cardiaques en général.

 

Deux principales classes de vaccins :

 

1) Les classiques : ce qu’on retrouve dans les autres vaccins

vaccin à souche inactivée (vaccin classique ancien) : SARS Cov-2 inactivé.

vaccins à protéine recombinante avec nanoparticules de protéine Spike (protéine de surface de l’enveloppe du virus)  fabriquée en laboratoire et injectée directement.

 

Ce type de vaccin n’est pas distribué en Europe. Un nouveau vaccin franco-autrichien doit sortir fin 2021, à souche inactivée

 

2) L’autre classe de vaccins est spécifique pour le covid, ce sont les premiers vaccins antiviraux  génétiques. Technologie non testée à grande échelle.

 

Deux types :

 

► Vaccin à ARN messager : l’ARN constitue la séquence ARN au nucléotide de la protéine Spike. Une fois injecté cet ARN entre à l’intérieur de la cellule humaine, dans le cytoplasme et là il sera traduit en protéine Spike (nos propres cellules produisent alors la protéine Spike qui va induire une réponse immunitaire.) (ex : Pfizer )

 

► Vaccin à adénovirus, donc à ADN. Un virus autre que le SARS COV-2 est détruit afin de lui enlever sa capacité de prolifération ; on prend la séquence de ce virus et on insère, à la place de ce qui fait sa capacité de prolifération, la séquence ADN de la protéine Spike. (ex : AstraZeneca, Janssen)

 

► Différence entre les 2 : l’ARN messager reste au niveau du cytoplasme, l’adénovirus entre dans le noyau, côte à côte avec l’ADN

 

Le vaccin à adénovirus présente plus de risques.

 

Il y a des risques propres à l’ADN (adénovirus) et des risques propres à l’ARN messager. Comme l’adénovirus contient la séquence ADN de la protéine Spike qui sera transcrite en ARN messager, il y aura alors les complications propres au vaccin ARN messager et celles liées à l’adénovirus.

 

Le point commun est la protéine Spike de la covid-19. Ce n’est pas une toxine, c’est juste la protéine de la surface de l’enveloppe du virus. Comme c’est la molécule du virus la plus exposée au système immunitaire, elle a un potentiel de production de réactions inflammatoires, immunitaires, etc.

 

Elle se fixe sur des récepteurs (ACE2) au niveau des cellules pour que le virus puisse passer et pénétrer au niveau de la cellule.

 

87 % des récepteurs ACE2 de l’organisme se trouvent au niveau des poumons, des muqueuses pulmonaires et 13% se trouvent dans l’intestin.

 

Il y a donc des vecteurs de contamination pulmonaire et de contamination intestinale. Par les mains on transmet aussi le virus dans ce sens intestinal.

 

La protéine Spike, non toxique en elle-même, accessoirement peut produire une certaine toxicité chez les patients dont les réactions immunitaires sont fortes, dont les chocs cytokiniques des personnes plus affaiblies. Le système immunitaire s’emballe et produit une inflammation très importante et ingérable (tempêtes de cytokines).

 

Les thromboses post-vaccination sont particulières et ne se traitent pas comme  les thromboses classiques. On assiste ici à une baisse des plaquettes. En fait le taux de plaquettes augmente d’abord  tellement que le système immunitaire crée des anticorps spécifiques (AF4) pour détruire les plaquettes et la thrombose se produit par ce déficit en plaquettes. C’est une sorte d’allergie immunitaire. Ces thromboses sont soit cérébrales soit abdominales (plus fréquentes).

 

La cause exacte n’est pas encore bien connue. L’hypothèse commune est la protéine Spike. Mais d’autres hypothèses existent dont une constellation de mutations génétiques qui pourraient y conduire. Une hypothèse plus récente met en cause l’oxyde de graphène  qui n’est pas déclaré officiellement dans la composition des vaccins.

 

Mais si graphène il y a, plusieurs études déjà anciennes sur les effets secondaires d’une intoxication à l’oxyde de graphène qui signalent les thromboses comme effets secondaires. C’est connu que l’oxyde de graphène est capable de provoquer des thromboses. C’est  à considérer également mais pour l’instant, officiellement, ce n’est pas déclaré.

 

Malgré cela les Japonais ont retiré 1 million 600.000 doses du vaccin Moderna, provenant d’Espagne, suspecté de contamination par des métaux, plus précisément « une substance qui réagit aux aimants » selon un responsable du ministère. Une étude est en cours.) Le graphène a des propriétés toxiques inflammatoires, il fait réagir le système immunitaire qui va tenter de le détruire.

 

Adjuvants et excipients des vaccins, soit  pour conserver le principe actif soit pour améliorer la réponse immunitaire.

 

Adjuvants: pour augmenter la réponse immunitaire.

 

Dans les vaccins classiques l’aluminium a pour rôle de simuler une attaque au sein de l’organisme dans le but de stimuler le système immunitaire. Les sels d’aluminium forment une sorte de bouillie toxique pour compenser l’inactivation du virus employé dans le vaccin classique. Avant l’hydroxyde d’aluminium c’était le mercure qui jouait ce rôle dans les vaccins les plus anciens. Beaucoup d’étude sur l’utilisation de l’aluminium établissent maintenant un lien avec des maladies neurologiques en particulier.

 

Dans les vaccins génétiques nouveaux on a d’autres types d’adjuvants : les nanoparticules remplacent l’aluminium. On utilise des nanoparticules d’un composé lipidique breveté (SM-102) qui sert à transporter l’ARN messager  à travers la membrane cellulaire. Composé qui ressemblerait à l’enveloppe de notre cellule, selon l’explication du brevet (sur internet) et va fusionner plus facilement avec la cellule humaine ; il  facilite donc la pénétration de l’ARN à l’intérieur de la cellule.

 

Tout ce qui est injecté dans le muscle passe au niveau du sang (nanoparticules et le reste). C’est moins rapide que par intraveineuse mais ça passe très bien dans la circulation sanguine. On peut donc fabriquer la protéine Spike à n’importe quel endroit du corps. Notamment :

► dans le système nerveux central

► dans le cœur

► dans la thyroïde

► dans les gonades (ovaires et testicules) avec effet sur la fertilité, sur les cycles hormonaux menstruels et de la testostérone.

 

C’est la réaction du système immunitaire à cette protéine Spike qui provoque tous ces effets secondaires concrets chez les vaccinés. C’est la puissance du système immunitaire qui va provoquer la perturbation de l’organe, qui va détruire les tissus de cet organe touché par la réaction immunitaire. C’est pourquoi il y a une réactivité plus forte du système immunitaire chez les jeunes qui sont plus touchés par les myocardites et les thromboses après vaccination.

 

Autres adjuvants : l’édétate qui stimule également le système immunitaire, le polysorbate 80, le PEG (polyéthylène glycol). Ingrédients contre-versés, suspectés de provoquer des allergies (surtout l’émulsifiant polysorbate 80), de l’inflammation, des toxicités au niveau des glandes endocrines (perturbateurs endocriniens).

 

Les excipients : servent à stabiliser le produit et à maintenir la qualité du principe actif.

Eau, sucre, sel, histidine (acide aminé classique). Ils posent beaucoup moins de problème.

 

Le vrai problème des vaccins génétiques anti-covid n’est pas dans les adjuvants et excipients

 

II. Deuxième partie : aperçu de quelques pratiques utiles visant à solutionner les problèmes

 

Pour prévenir les complications, pour inhiber la protéine Spike, maîtriser la tempête inflammatoire, etc. quelles sont les méthodes scientifiquement prouvées ?

 

Plusieurs méthodes pour inhiber la protéine Spike et aider à détoxifier l’organisme

 

·Inhibition de la protéine Spike

 

Le principe du vaccin est d’apporter la protéine Spike pour susciter une réaction du système immunitaire et produire une immunisation. Si on inhibe la protéine Spike, ça diminue l’efficacité du vaccin, voire ça l’annule complètement.  Mais ça annule aussi les effets secondaires.

 

Ceux qui se vaccinent par obligation et non par conviction de son efficacité peuvent utiliser les polyphénols que l’on trouve dans tous les légumes et les fruits (raisin, vin par exemple). Ils ont des effets généralistes puissants sur les voies métaboliques différentes, sur le stress oxydatif, sur le cancer, sur l’inflammation, le diabète, etc., donc sur un très large spectre.

 

Ces polyphénols sont synthétisés par les plantes pour se défendre des prédateurs, de l’environnement (contre les insectes, les champignons, les parasites, les toxines, etc.), c’est pourquoi leur effet est à large spectre.

 

Quelques polyphénols pourraient être efficace contre la protéine Spike ?

 

► celui du thé vert

► la quercitine des oignons ou des câpres

► le résvératrol des raisins, du vin

► l’espéridine

► le fruit du goyave très intéressant pour sa fluoxine B (colorant exanthème).

 

Ce n’est pas suffisant de consommer en abondance ces aliments qui vont aider à inhiber la protéine Spike. Il faudrait prendre des compléments alimentaires riches en ces polyphénols : en particulier des extraits standardisés en polyphénols : resveratrol, quercitine, espéridine, théidine…

 

 

 

·Elimination des éléments toxiques du vaccin ou produits en réaction au vaccin et drainage des reins et du foie.

 

Pour éliminer les adjuvants qui posent question, pour qu’ils ne restent pas trop longtemps dans l’organisme, il faut stimuler les 2 émonctoires principaux, le foie et les reins.  Dans le foie il y a le processus de détoxification proprement dit avec la transformation des molécules inconnues toxiques en molécules neutres prêtes à être éliminer;  c’est la fonction hépato-biliaire qui se charge de stocker les toxines au niveau de la vésicule biliaire pour ensuite les éliminer au niveau de l’intestin, pour tout ce qui est liposoluble, comme les adjuvants du vaccin.

Les reins également fonctionnent pour tout ce qui est toxique et hydrosoluble.

Le foie dans son processus de détoxification va produire des métabolites aussi hydrosolubles que les reins éliminent. C’est pourquoi il est conseiller de drainer en même temps foie et reins.

 

·Diminution des risques d’inflammation (tempête cytokinique)

 

Stratégie habituelle. Vitamines ( D, C, ...)  Oméga 3, extraits de bourgeons ,…

(Voir Kit Détox proposé par N. Wirth)

 

 

 

·Chélation des éléments toxiques, des métaux (les piéger pour les éliminer) aluminium, graphène qui est composé de carbone comme le charbon et le diamant.

 

La chélation est la conversion des éléments toxiques en éléments neutres avant élimination.

Par exemple pour l’aluminium on peut le piéger avec le citrate ou le malate de magnésium. Ensuite pour l’élimination on prend des plantes diurétiques, par exemple le persil pour l’élimination rénale.

 

Pour l’élimination par le foie,  on peut prendre des radis, des crucifères genre brocoli, etc., soit sous forme alimentaire, soit sous forme d’extraits standardisés (compléments alimentaires). Et ajoutez tout ce qui va stimuler le foie et les reins : plantes, aliments.

 

La suramine, polyphénol présent dans les aiguilles de pin fraîches,  conseillé sur internet n’est pas efficace sur Spike d’après moi.

Deux étude in-vitro sur la suramine spécifiquement et sur son potentiel effet inhibiteur sur la protéine Spike donnent des résultats significatifs sur l’inhibition de la protéine Spike .

Mais une autre étude, dont la méthodologie me satisfait mieux, qui compare la suramine, la chloroquine et des colorants chimiques (luoxine B notamment) montre que la suramine, comme la chloroquine, n’ont pas d’effet sur la protéine Spike.

 

L’inhibition de la protéine Spike, dans un contexte hors vaccin, a aussi un effet antiviral en empêchant le virus de se fixer.

Cette première phase détox peut donc également être mise en place dans le cas d’infection virale, covid ou autre.

 

Les technologies génétiques à ARN ou à ADN ( nouvelles pour des vaccins) ont été utilisées auparavant en immunothérapie pour le traitement du cancer à titre expérimental mais pas à grande échelle. Vu le peu de données là-dessus on peut avoir différents risques par rapport à l’ARN messager et par rapport à l’adénovirus.

 

Pour les 2 on a le risque de la recombinaison virale : des virus différents mais de natures similaires (ex : 2 virus différents mais tous deux à ARN messager) peuvent se recombiner (s’échanger des morceaux entre eux) et donner un nouveau virus recombinant.

 

Les recombinaisons existent naturellement sans épidémies, en plus des mutations. Avec ces vaccins génétiques, les coronavirus mutent moins mais recombinent plus, très vite. Cette recombinaison est très rare mais si elle survient, on va créer un nouveau virus qui va se propager comme le SARS Cov-2. Le variant alpha anglais n’est pas en réalité un variant mais un recombinant, c’est prouvé. Et les autres variants sont probablement des recombinants. Ils apparaissent après vaccination de masse. En Inde, par exemple, la vaccination de masse a  multiplié le  risque de recombinaison. D’autres recombinaisons dans notre ADN peuvent aussi se produire. (Et c’est l’inconnu...) 

 

 
 
Voici un aperçu des publications de Amin Gasmi :
https://www.researchgate.net/profile/Amin-Gasmi/research

 

 

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  A propos de « Une Théorie de la Connaissance chez Goethe » de Rudolf Steiner   aux Editions Anthroposophiques Romandes, édit...