31 mai 2022

93. Sommet mondial sur le Covid : 17000 scientifiques disent STOP

 

Sommet mondial sur le Covid : 17.000 scientifiques appellent à mettre fin à l'état d'urgence sanitaire

 


Lors d'un sommet mondial sur le Covid[1], 17 000 médecins et scientifiques ont fait une déclaration commune le 11 mai par la voix de leurs représentants. Appelant à mettre un terme à l'état d'urgence sanitaire enclenché au début de la crise du Covid-19, ils accusent les grandes sociétés pharmaceutiques, les gouvernements, les agences de santé publique et les médias grand public d'avoir, par leurs actions, causé la mort de plusieurs centaines de milliers de personnes.


Divulguée par France-Soir : https://www.francesoir.fr/politique-monde/sommet-mondial-sur-le-covid-17-000-scientifiques

Divulgué également par la plate-forme ‘Profession Gendarme » : https://www.profession-gendarme.com/17000-scientifiques-revelations-massives/

En réalité, cette vidéo entièrement traduite circule actuellement et est visionnable sur nombre de sites et plateformes d'information.


Retrouvez ci-dessous un extrait de cette intervention du Dr David Wiseman, docteur en pharmacie, de Michael Yeadon, chercheur et ancien directeur scientifique de Pfizer, et Ryan Cole, médecin anatomopathologiste:

https://www.francesoir.fr/politique-monde/sommet-mondial-sur-le-covid-17-000-scientifiques


Se déclarant unis par leur loyauté au serment d'Hippocrate, ces médecins et scientifiques dénoncent les désastreuses politiques de santé publique mises en œuvre pour lutter contre la propagation du Covid-19, estimant que ces mesures sont le fruit d'une "alliance médicale corrompue" d'institutions pharmaceutiques, d'assurances et de soins de santé, sous la houlette des trusts financiers qui les contrôlent.

L’illusion de consensus scientifique dénoncée

Selon eux, cette "alliance corrompue" a compromis l'intégrité des sociétés médicales les plus prestigieuses, générant une illusion de consensus scientifique en substituant la propagande à la vérité par la diffusion d'affirmations dénuées de base scientifique, par la censure, et par l'intimidation des médecins et scientifiques qui ont publié des résultats cliniques sur des médicaments éprouvés ou sauvé des vies par le biais de ces traitements.


Ces 17 000 scientifiques et médecins veulent faire émerger la vérité
afin que cessent des décisions qu'ils estiment catastrophiques et prises aux dépens d'innocents qui subissent des dommages sanitaires depuis le début de la pandémie. Des dommages qui ont commencé avec la rétention intentionnelle de traitements ambulatoires précoces comme l’hydroxychloroquine, l’ivermectine ou l’azithromycine pour se poursuivre l'année suivante avec les injections forcées d'un produit, qui n’avait pourtant fait ni la preuve de son efficacité ni l’assurance de sa sécurité lors de son lancement en population générale.

Absence de consentement éclairé et rétention d’information scientifique de premier plan

Ils dénoncent également le fait qu'une majorité de la communauté médicale a refusé aux patients le droit humain fondamental de recevoir un véritable consentement éclairé sur les injections expérimentales contre le Covid-19, leur empêchant d'obtenir des informations nécessaires pour comprendre les risques et les avantages des vaccins.


Au-delà de la réponse thérapeutique, c’est toute la politique sanitaire qui est dénoncée, notamment les enfermements forcés qui nuisent à la santé, à la vie professionnelle des individus et à l’éducation des enfants. Des décisions graves qui ont également porté atteinte aux liens sociaux et familiaux. Ils mettent également en lumière ce qui, pour eux, ne peut pas relever d'une simple coïncidence : le dessein inscrit dans le livre intitulé

« Covid-19 : The Great Reset [2] »,

à savoir faire de l’épidémie de Sars-CoV-2 l’opportunité de "réinitialiser" l’ensemble de la société, notamment l’ensemble des structures politiques, l’économie et la culture. Ces 17 000 scientifiques et médecins n’hésitent pas à qualifier les actions de cette alliance de crime contre l’humanité.

Reconstruire une éthique médicale


Pour eux, restaurer la confiance des gens dans la médecine implique de commencer à rétablir un dialogue libre et ouvert entre les différents acteurs de la communauté scientifique. Cela passe également par le rétablissement de la relation sacrée entre le médecin et le patient, la réhabilitation des droits médicaux et l’autonomie des patients.

Après deux années de recherche scientifique et après avoir analysé les conséquences des décisions politiques prises au cours de cette période, ces 17 000 scientifiques et praticiens estiment avoir démontré et documenté leurs succès dans la compréhension et la lutte contre le Covid-19 et sont parvenus à un consensus autour des 10 principes fondamentaux suivants :

Dix principes fondamentaux

1.         Nous déclarons, et les données le confirment, que les injections expérimentales de thérapie génétique COVID-19 doivent cesser.

2.         Nous déclarons que les médecins ne devraient pas être empêchés de fournir un traitement médical sauvant des vies.

3.         Nous déclarons que l’état d’urgence nationale, qui facilite la corruption et prolonge la pandémie, devrait être immédiatement résilié.

4.         Nous déclarons que la liberté de pratique médicale ne devrait plus jamais être violée, et toutes les restrictions de voyage et sociales doivent cesser.

5.         Nous déclarons que les masques ne sont pas et n’ont jamais été une protection efficace contre un virus respiratoire en suspension dans l’air dans le milieu communautaire.

6.         Nous déclarons que le financement et la recherche doivent être mis en place pour les dommages causés par la vaccination, la mort et la souffrance.

7.         Nous déclarons qu’aucune opportunité ne devrait être refusée, notamment dans l’éducation, la carrière, le service militaire ou les soins médicaux, en raison de la réticence à prendre une injection.

8.         Nous déclarons que les violations du premier amendement et la censure médicale par le gouvernement, les entreprises de technologie et de médias devraient cesser et que la Déclaration des droits devrait être maintenue.

9.         Nous déclarons que Pfizer, Moderna, BioNTech, Janssen, Astra Zeneca et leurs facilitateurs ont caché et délibérément omis des informations sur la sécurité et l’efficacité aux patients et aux médecins, et qu’ils devraient être immédiatement inculpés pour fraude.

10.     Nous déclarons que le gouvernement et les agences médicales doivent être tenus responsables. »

 

Reconstruire et se reconstruire, tel est l'objectif proposé par ce sommet, particulièrement soucieux de la juste réparation des dommages causés par les effets secondaires d'une vaccination précipitée et inutile pour la grande majorité de la population, notamment pour les jeunes personnes, peu sujettes à développer des formes graves de la maladie.

Ces scientifiques se sont « engagés à dire la vérité » sur la pandémie et à « restaurer l’intégrité » en science.

 


« Le Sommet mondial sur le COVID est le produit d’une alliance internationale de médecins et de scientifiques déterminés à dire la vérité au pouvoir sur la recherche et le traitement » du coronavirus, peut-on lire sur le site Web du Sommet. Ces scientifiques disent se battre pour « le droit de traiter [les] patients et le droit des patients de recevoir des traitements – sans crainte d’ingérence, de représailles ou de censure de la part des gouvernements, des sociétés pharmaceutiques » et des plateformes de réseaux sociaux.

Ils souhaitent par là « restaurer la confiance du peuple dans la médecine, ce qui débute par un dialogue libre et ouvert entre médecins et scientifiques médicaux ». Dans leur déclaration, ils mentionnent que les politiques pandémiques défendues par les gouvernements sont ni plus ni moins qu’une « menace pour l’humanité ».

Ils misent sur trois principes fondamentaux, tels que mentionnés dans leur Déclaration : 1) les enfants en bonne santé ne doivent pas être soumis à la vaccination forcée; 2) les personnes naturellement immunisées ne doivent être soumises à aucune restriction ou vaccination obligatoire; 3) les agences et établissements de santé doivent cesser de nuire aux médecins dans leurs pratiques médicales.

On sait que la pandémie s’est révélée un prétexte bien commode chez les gouvernements et les autorités sanitaires pour imposer leurs vues sur les mesures à prendre pour contrer le virus. Une situation qui en a fait réagir plusieurs, dont Martin Kulldorff, professeur de médecine et épidémiologiste à la Harvard Medical School, aux États-Unis. « Je suis très inquiet pour l’avenir de la science, car [elle] dépend du libre échange d’idées, et ce, depuis 300 ans maintenant », avait-il déclaré l’an dernier. « Donc, si la censure des opinions scientifiques perdure, alors je pense que nous [aurons] atteint la fin […] des Lumières ».

Robert Malone, MD

Peter McCullough, MD

Ryan Cole, MD

Richard Urso, MD

Brian Tyson, MD, Kat Lindley, Do, FACOFP

Sources : GCS :Global COVID Summit 


 

 

Extraits et citations :

«La communauté médicale a refusé aux patients le droit humain fondamental de fournir un véritable consentement éclairé pour les injections expérimentales de COVID-19 »

« Cette alliance corrompue a compromis l’intégrité de nos sociétés médicales les plus prestigieuses auxquelles nous appartenons, générant une illusion de consensus scientifique en remplaçant la vérité par la propagande. »

«L’état d’urgence médicale doit être levé, l’intégrité scientifique restaurée et les crimes contre l’humanité traités. »

« Au-delà de la réponse thérapeutique, c’est toute la politique sanitaire qui est dénoncée, notamment les enfermements forcés qui nuisent à la santé, à la vie professionnelle des individus et à l’éducation des enfants. Des décisions graves qui ont également porté atteinte aux liens sociaux et familiaux. »

 

 


 

Les premiers signataires

 

Dr. Ira Bernstein, co-founder, Canadian Covid Care Alliance; lecturer, Dept. of Family and Community Medicine, University of Toronto


Dr. Paul E. Alexander, clinical epidemiologist, former WHO-PAHO and US HHS consultant/senior Covid Pandemic advisor


Dr. Pierre Kory, critical care and pulmonary medicine specialist, former Chief of Critical Care Service and Medical Director of Trauma and Life Support Center at University of Wisconsin


Dr. Héctor Carvallo, former professor of Internal Medicine, Universidad de Buenos Aires, former Director Ezeiza Hospital, Buenos Aires, Argentina


Dr. Mobeen Syed, physician, computer scientist, CEO of DrBeen Corp (US), clinical consultant (Pakistan)


Dr. Paul E. Marik, professor of medicine and Chief of Pulmonary and Critical Care Medicine, Eastern Virginia Medical School


Dr. Flavio Cadegiani, endocrinologist & visiting professor, faculty of Floriano (FAESF); ad hoc consultant, Brazilian Health Regulatory Agency (Anvisa); consultant for National Commission for Incorporation of New Technologies, Devices and Drugs, Brazil


Dr. Marc G. Wathelet, molecular biologist, innate immunology and coronavirus expert, consultant, Belgium


Dr. Tess Lawrie, Director, The Evidence-Based Medicine Consultancy Ltd; founder, British Ivermectin Recommendation Development; CEO of non-profit Ebmcsquared CiC


Dr. Eivind H. Vinjevoll, senior consultant of anesthesiology and intensive care medicine, chief medical advisor of emergency medicine, Volda, Norway


Dr. Heather Gessling, family medicine doctor in Columbia, Missouri


Dr. Mark McDonald, double board-certified child and adolescent psychiatrist, Los Angeles, California


Dr. Olufemi Emmanuel Babalola, professor of ophthalmology, IP HOD Surgery, Bingham University, Jos/Karu, Nigeria


Dr. Richard Urso, scientist, sole inventor of an FDA-approved wound healing drug, former Chief of Orbital Oncology at MD Anderson Cancer Center


Dr. John Littell, family physician, with practices in Kissimmee and Ocala, Florida


Dr. Ryan Cole, board-certified pathologist, CEO of Cole Diagnostics, Boise, Idaho


Dr. Brian Tyson, family medicine doctor, Urgent Care Covid Clinic, Imperial Valley, California


Prof. Andrea G. Stramezzi, Italy


Dr. Zsuszanna Ragó, specialist in coronavirus, primary care; IVERCOV project leader, University of Debrecen, Hungary


Dr. Robert W. Malone, gene therapy, bio-defense, vaccines and immunology; discoverer of in-vitro and in-vivo RNA transfection and architect of mRNA vaccine platform


Dr. Jean-Jacques Rajter, critical care, pulmonary medicine, sleep medicine


Dr. Wong Ang Peng, Malaysian Alliance for Effective Covid Control (MAECC)


Dr. Peter McCullough, clinical cardiologist, preventive cardiology and advanced lipidology, former vice chief of internal medicine at Baylor University Medical Center


Dr. Jose Iglesias, associate professor, Hackensack Meridian School of Medicine at Seton Hall


Dr. Geert Vanden Bossche, virology, vaccine R&D, former Sr Ebola Program Manager, Global Alliance for Vaccines & Immunization (GAVI), former Head of Vaccine Development Office, German Center for Infection Research


Dr. Li-Meng Yan, independent virologist, former researcher, Hong Kong University

 

Etc., etc.

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



[1]GCS, GLOBAL COVID SUMMI « Restore Scientific Integrity », à ne pas confondre avec cet autre sommet dont fait apologie et publicité la presse mainstreem : « Washington annonce un sommet mondial sur le Covid-19 le 12 mai » Covid-19 : un sommet mondial le 12 mai pour mettre un terme à la pandémie. Coprésidée notamment par les États-Unis, cette rencontre virtuelle se donne pour mission de mieux se préparer aux futures menaces liées à la santé. Le Point, mais source également AFP. 

[2] Lire dans ce même blog, notre article n° 70. Le grand Reset Mondial par son inventeur même  - Klaus Schwab. On peut également lire (conseillé) l’article n° 42. Connaissez-vous Klaus Schwab, le patron de Davos ? - P. Lefevre

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