19 décembre 2020

16.Quand un Prix Nobel s'exprime - Luc Montagnier

 


 

Intervieuw du Pr. Luc Montagnier

Prix Nobel de Médecine en 2008,

Dans l’émission: Au défi de la vérité. De France-Soir

 

 

Dans cet entretien, le Pr Luc Montagnier réitère ses mises en gardes bien qu’il ait été mis au pilori par les grands médias après son passage sur une chaîne TV. Il s’inquiète pour un public qui ne peut plus se fier aux scientifiques, «la science a perdu son aura dans cette crise»: «Qui croire» dans cette cacophonie de contradictions et de mensonges ?

 

Sur l’origine du virus de la COVID-19…

 

Il confirme que des scientifiques, dont les avis ne sont pas relayés par les grands médias, sont d’accord sur l’origine artificielle du virus de la Covid-19. Il confirme ce qu’il avait déjà dit dès le début du 1er confinement : ce virus a reçu un traitement artificiel dans lequel se trouvent des séquences du VIH et de la malaria. Il a poursuivi ses investigation avec l’aide d’un mathématicien  J-C Perez.

 

«Les séquences des nucléotides sont d’une taille telle, serrées les unes contre les autres, que ce n’est pas possible que ce soit naturel, que ce soit le hasard» dit-il.

Montagnier explique que les virus et les bactéries peuvent s’associer et il suspecte que ce virus se soit aussi associé à une petite bactérie immunodépressive, c’est pourquoi l’azythromicine s’est révélée efficace pour en diminuer la dangerosité.

 

Il pense que le coronavirus a été choisi comme vecteur pour sa grande transmissibilité.

A une question du journaliste il répond qu’il pense à ‘une fuite calculée’, à un ‘essai’. Mais que les auteurs n’avaient peut-être pas prévu sa dangerosité pour certains malades car un corona est un virus contagieux mais bénin (qui donne un rhume).

 

Sur les vaccins…

 

A une question du journaliste il répond qu’un vaccin n’est évidemment pas la solution et qu’il vaudrait mieux privilégier la thérapie.

 

Concernant le vaccin à ARN il avertit, lui aussi, des risques d’effets imprévisibles tels que des proliférations d’organes, des cancers.

 

Il  estime que c’est jouer aux apprentis sorciers que de répandre ce vaccin à ARN dont les effets sur les générations présentes et futures risquent d’être catastrophiques à long terme. Pour lui ce n’est pas éthique de prendre ces risques.

 

Sur les thérapies…

 

Pour développer des thérapies nouvelles il faudrait connaître l’origine du virus mais actuellement nous ne sommes pas démunis puisque d’anciennes thérapies fonctionnent, en particulier l’azythromicine et la chloroquine et d’autres encore qu’il ne cite pas.

 

Il ne comprend pas l’acharnement de la France contre la chloroquine, utilisée dans beaucoup d’autres pays avec efficacité.

 

Sur quelques personnalités…

 

Il parle de science sans conscience et  de l’ignorance des décideurs au pouvoir financier. Il cite Bill Gates dont il pense qu’il veut faire le bien mais se trompe.

«Ce ne sont pas des médecins qui ont décidé les confinements» précise-t-il

Et les grands scientifiques n’ont pas droit au chapitre.

 

Concernant l’internement du Pr. Fourtillan, il  le compare aux internements dans l’Union Soviétique sous Staline. Il termine en souhaitant une recherche de nouvelles thérapie et de meilleures connaissances des mécanismes de la biologie moléculaire.

 

Il ne se fera pas vacciner…

 A une question du journaliste il répond qu’il ne se fera pas vacciner et qu’il prend de l’azythromycine et un peu de Plaquenil quand il a des symptômes grippaux.

 

 

 

Commentaire MFT

La chasse aux sorcières

La chasse aux sorcières par l’ordre des médecins, institution héritée du régime de Vichy,  continue. Le Pr. Perronne qui dénonce les pratiques du milieu médical  et  qui dénonce le vaccin à ARN comme étant, en réalité, une thérapie génique sans recul, a été démis de ses fonctions.

 

Des risques imprévisibles et incalculables

Les risques imprévisibles et incalculables d’un vaccin à ARN sont également dénoncés par la généticienne A. Henrion-Caude*. Par contre, contrairement à Luc Montagnier qui croit à une  mauvaise estimation de la dangerosité de ce virus (échappé?) elle signale que les séquences  artificielles observées auraient dû rendre ce virus beaucoup plus mortel qu’il ne l’a été.

 

Des pilotes aveugles ?

Je remarque que des scientifiques qui dénoncent les mensonges et les dangers des mesures prises, semblent croire à des erreurs. Ces gens qui pilotent la crise actuelle sont certainement sans conscience mais certainement pas sans intelligence. Ils m’apparaissent plutôt très rusés.

 

C’est pourquoi je ne crois pas à la possibilité d’erreurs aussi nombreuses, aussi systématiques, aussi répandues de la part de gouvernants, de conseillers scientifiques, d’institutions sanitaires.

 

Parlons théories (du complot)

Sans une théorie c’est à dire «un ensemble organisée d’idée, de concepts appliqués à un domaine particulier» (Petit Robert) qui permet de donner un sens aux phénomènes, sans une grille de lecture, c’est incompréhensible.

 

Valérie  Bugault*, Pierre Hillard, par exemple, et d’autres  proposent des théories, c’est-à-dire des grilles de lecture qui donnent un sens à ces «errements» ou ces manipulations.

 

* Un résumé de son entrevue est déjà présent sur ce blog

** Un résumé de son ouvrage est déjà présent sur ce blog

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