09 février 2022

77.Le "Quoi qu'il en coûte" médical en chiffres et en lettres - Revue NEXUS

Le ‘Quoi qu’il en coûte’ médical et sanitaire en chiffres et en lettres : les gagnants et les perdants

 


D’après 5 articles de la revue NEXUS n° 138 de janvier-février 2022, à savoir :

 

Covid-19 et prélèvements nasopharyngés : omerta sur les opportunistes (par Diane Omont[1])

Covid-19 Liberté de prescrire piétinée, médecine menacée (par Kim-Anh Lim[2])

Une polique sanitaire corruptrice (par Romanic Liégeois[3] et Maud Bouchet[4])

Témoignage d’un médecin anonyme (par Romanic Liégeois et Maud Bouchet)

Interview du docteur Violaine Guérin[5] (propos recueillis par marc Daoud[6])

 

Résumé et commentaires sur une enquête journalistique menée par des professionnels avec toute la rigueur requise

 

 


 

La revue Nexus, sans publicité, donc indépendante de tout pouvoir politique ou financier, traite les sujets sans restrictions ni compromissions. Liberté d’information et anticonformisme permettent à ses journalistes de dénoncer dogmes et mystifications diverses. « Au-delà de toute idéologie politique et religieuse, Nexus, qui signifie en latin : liens, entrelacs des causes et des effets…, considère les crises majeures qui défient nos sociétés comme autant d’opportunités de changement.»


www.nexus.fr

 

 

La corruption des milieux médicaux organisée par l’état a fait du Covid-19 une opportunité lucrative pour de nombreux pharmaciens, médecins, infirmiers, établissement de soins, entreprises diverses divers…

 

 


Une corruption bien orchestrée …et bien rémunérée !

 

Pour bénéficier de primes diverses et nombreuses, les médecins, les hôpitaux, les EHPAD, les soignants en général ont menti et faussement déclaré « Covid » de multiples patients et de multiples morts décédés d’autres affections. C’est pourquoi les chiffres INSEE réels et officiels[7] ne collent pas avec les discours pandémiques et alarmistes des médias  et du gouvernement depuis 2020.

 

Des opportunistes avisés et protégés

 

Des opportunistes agissant en toute impunité sous prétexte de mission de santé publique ont pratiqué des tests nasopharyngés de façon légère, voire frauduleuse. Deux sociétés, Pharnum[8] et Elyo consulting[9], apparues en même temps que le COVID en France ont pratiqué, avec rentabilité et massivement, ces tests, avec la complicité d’étudiants non formés. Le pharmacien qui préside Pharnum a usurpé le logo de la Haute autorité de santé sur son site (septembre 2021) mais malgré les révélations des enquêtes communiquées aux autorités de santé, ces opportunistes continuent d’agir avec des étudiants non formés qui font courir des graves risques aux personnes testées par leur incompétence et leur obligation de rendement.

 

Pour obtenir une autorisation de mise sur le marché ‘conditionnelle’, il faut qu’il n’y ait pas de traitement. Comme plusieurs traitement efficaces existent, le gouvernement a interdit les uns, dissimulé les autres avec la complicité de scientifiques et d’autorités de santé.

 

La carotte et le bâton

Les traitements efficaces et peu coûteux appliqués par certains médecins récalcitrants leur ont valu bien des déboires, des tracasseries administratives, des radiations de l’ordre des médecins et des renvoi de soignants hospitaliers, tandis que leurs collègues soumis à la propagande et devenus pro-vaccins se sont enrichies grâce à diverses primes.

 

La carotte

 

►prime et majoration à l’acte sur tout patient ‘COVID-19

 

►prime pour les établissements déclarant des ‘décès COVID’

 

►prime COVID pour le personnel des établissements de santé publics et privés

 

►en EHPAD et médecine générale : vacations forfaitaires de 320 € la demi-journée ou 80 € de l’heure (420 et 105 euros les jours fériés)

 

►forfait a posteriori pour chaque injection saisie dans le télé service ‘vaccin Covid’

 

►supplément urgence pour les trois premiers actes et supplément pour les 10 suivants en plus de la consultation habituelle

 

►prime par dose de vaccin

 

►prime pour cas contact déclaré

 

►généralistes : 55 euros au lieu de 25 si le patient est testé positif

 

► centre de vaccination : jusqu’à la mi avril 2021, 25 euros en semaine l’injection, 44,60 euros le WE + un forfait inscription dans le fichier Covid par dose injectée (certains professionnels ont empoché jusqu’à 3000 euros 4 heures de travail). Désormais la facturation est à la demi-journée et non à l’acte

 

►pour les infirmiers libéraux : la surveillance d’un patient Covid à domicile est majorée ; le té-suivi Covid = prime ; test PCR ou sérologie à domicile = prime ; prélèvement nasopharyngé ou salivaire = prime ; test antigénique, en cabinet ou domicile = prime ; pour dépistage collectif = prime. Toutes ces cotations sont cumulables à taux plein, sans oublier la cotation du déplacement ajoutée dans les cas de test à domicile.

 

►EHPADS : le forfait renfort, par demi-journée (220 euros) + un complément si plusieurs actes sont associés, pour chaque patient et chaque passage.

 

Le bâton

 

En revanche, les patients hospitalisés ne sont pas pris en charge en 100% malgré la déclarions de pandemie. Il leur reste à charge environ 1500 euros.

 

Un patient, après 15 jours de soins dans un établissement parisien s’est vu imputer 8.000 euros.

 

Un médecin des Alpes de Haute-Province dénonce les obstructions aux médecins dans la pratique de leur fonction et les dérives perverses de cette crise.

 

Les résistants

 

L’interdiction de prescrire n’a pas empêché quelques médecins de soigner et ceux-ci n’ont eu aucun décès par COVID-19. Mais d’autres médecins ce sont arrangés de la situation et, tout d’un coup « plus personne ne savait soigner des pneumopathies atypiques, alors qu’on en soigne depuis toujours », s’exclame ce médecin.

 

« Ce sont des politiques qui ont délivré l’indication thérapeutiques et les médecins n’ont plus eu les moyens de travailler, c’est du n’importe quoi ».

 

« Une des premières choses apprises lors de mes études de médecine, c’est qu’on ne confine pas des populations,  on isole des malades ; on ne vaccine pas en période d’épidémie, parce qu’on crée des souches résistantes (aujourd’hui appelées « variants »). »

« De plus, les ‘vaccins’ ne sont pas des vaccins, ils ne vaccinent pas contre un virus, mais contre une protéine d’un virus ».

 

Des pratiques ne relevant pas de la médecine

 

« Ces pratiques sont politiciennes avant d’être sanitaires » et ont favorisé l’apparition de variants et la flambée épidémique… Oui, il y a des cas graves, mais on a déjà vu des épidémies de grippe avec des cas tout aussi graves. Les pneumo-pathologies  virales ou bactériennes existent depuis toujours et peuvent donner lieu à un syndrome de détresse respiratoire aiguë … Ces pratiques vicieuses ont probablement augmenté la gravité de l’épidémie »

 

Des conséquences, l’éthique pervertie

 

La politiques des primes altère la probité des acteurs du système de santé, « beaucoup de patients déclarés ‘Covid’ sont décédés d’autres affections… J’ai honte de ces majorations de cotations à l’acte. Ce système est pervers… En ce qui me concerne, j’ai bénéficié de 3000 euros de chiffre d’affaire en sus par mois, soi-disant pour rémunérer la pharmacovigilance »

 

Paroles pour la liberté de prescrire

 


Le Dr, Violaine Guérin, fondatrice de LLMP (Laissons les médecins prescrire) déclare : « Énormément des médecins ont subi des pressions, beaucoup ont été convoqués par le conseil de l’ordre et des pressions sont venues des ARS (agences régionales de santé) ». Son collectif a également subi des pressions et de la censure.

 

« Je suis inquiète de l’état psychologique de la population. On a créé des psycho-traumatismes, comme chez les personnes victimes de violences très graves, et on sait qu’ils entraînent des lésions cérébrales que l’on peut voir avec des scanners spécifiques…. La manipulation médiatique continue, on continue de faire peur, de souffler en permanence le chaud et le froid. Cela revictimise les français et crée des psycho-traumatismes à répétition, dont on ne guérit pas facilement. »

 

« Une étude psychiatres publié sur les covids dits longs, sur 27000 personnes qui pensent avoir des complications, il y a moins de 6% qui ont fait vraiment un covid. Ceci révèle la profondeur de ces psycho-traumatismes … Les patients attribuent n’importe quel symptôme à la Covid à cause de cette anxiété ambiante. Et l’anxiété entraîne beaucoup de problématiques de respiration. »

 

« Des médecins s’empêchent de prescrire parce qu’il y a une traçabilité de nos ordonnances et il y a eu des cas de pharmaciens qui ont dénoncé des prescriptions … des pharmaciens parfois aussi ont refuséd’exécuter les ordonnances … Fes médecins ont été radiés, d’autres ont abandonné à cause de ces prescriptions ou à cause de l’obligation vaccinale … Notre serment d’Hippocrate : ne pas nuire, peser la balance bénéfice-risque est une notion très importante qui devrait faire réfléchir tout le monde ».

 

 

En guise de conclusion personnelle…

De plus en plus de voix s’élèvent pour dénoncer la maltraitance subie par la population  française de la part des dirigeants politiques et des fonctionnaires. La violence psychologique et les fortes contraintes exercées par notre gouvernement depuis 2 ans ont provoqué rébellions chez les uns, déni protecteur chez les autres.

 

Les conséquences à court terme et prévisibles à long terme sont incalculables. Mais déjà l’augmentation des maltraitances dans les familles, l’augmentation des suicides, en particulier d’enfants, le ras-le-bol général, les millions d’effets secondaires et les milliers de décès enregistrés suite aux injections expérimentales, tout cela qui représente notre actualité peut légitimement nous plomber le moral et nous faire craindre l’avenir. Mais ce n’est pas en faisant l’autruche que notre avenir s’améliorera.

 

La corruption des uns et la lâcheté des autres nous ont menés à la catastrophe actuelle. Développons notre créativité pour envisager de multiples formes de résistance à la « guerre » qui nous est déclarée par Macron, ses sbires et tous les pantins actionnés par le fric qui pullulent de bas en haut dans toutes les sphères du pouvoir. 

 

Jeanne

 

 


 



[1] Déjà publié de Diane Omont : article n° 74. L'usine à cas des tests PCR. Diane OMONT est  rédactrice pour un magazine lyonnais, elle est « férue d’investigation, (et) aime creuser les sujets d’actualité ».

[2] Kim-Anh Lim est journaliste et directrice de directrice en chef de la revue NEXUS. Elle traites essentiellement des sujets de santé et société avec une idée en tête : s’informer pour s’émancioer.

[3] Ancien directeur de la publication, il est journaliste, grand reporteur et essayiste.

[4] Ex-metteuse en scène et comédienne, Maud Bouchet est auteure et journaliste.

[5] Endocrinologue et gynécologue, Violaine Guérin défend depuis 18 mois la liberté de prescription des médecins de ville pour traiter les patients atteints de la Covid-19. Elle a fondé le collectif « Laissons les médecins prescrire ».

[6] Directeur de la publication de NEXUS

[7]On peut lire à ce sujet dans le Blog de Jeanne la veilleuse l’article 
n° 69. "On peut discuter de tout... mais pas des chiffres"

[8] PHARNUM, société par actions simplifiée, est active depuis le 15.12.2020 ; siège social à COURBEVOIE (92400), elle est spécialisée dans le secteur d'activité du commerce de détail d'articles médicaux et orthopédiques en magasin spécialisé. (d’après Societe.com)

[9] ELYO CONSULTING, société par actions simplifiée, est en activité depuis le 14.01.2021. Localisée à VINCENNES (94300), elle est spécialisée dans le secteur d'activité du conseil pour les affaires et autres conseils de gestion. (d’après Societe.com).

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