21 février 2022

79.Climat… A l’Ouest rien de nouveau - dossier

 


 

Climat… A l’Ouest rien de nouveau...

Un dossier pour s’en faire une idée

 

Avant la prétendue pandémie, déjà le climat : calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose…

 

Ce billet d’humeur est rédigé à partir de multiples sources, dont voici les principales :

 

 

 

 

 

Hacène Arezki : CLIMAT, MENSONGES ET PROPAGANDE

Pourquoi les scientifiques se déchirent. Les dessous économiques de la guerre du climat. Les causes du réchauffement climatique : et si l’Homme n’y était pour rien ? Un livre à lire absolument pour sortir de l’hystérie autour du réchauffement climatique. (Thierry Souccar éditions, 2010). Hacène Arezki, spécialiste de biogéographie et climatologie, a été chargé de cours à  Paris7-Denis Diderot. Son livre est le fruit de 5 années de recherches et d’enquêtes.

 

Claude Allègre (entretiens avec Dominique de Montvallon[1]) : L’IMPOSTURE CLIMATIQUE ou LA FAUSSE ÉCOLOLOGIE

Ce livre choc, documenté, précis, implacable et passionnant donne, sans langue de bois, la clé de ce qui apparaîtra demain comme le premier scandale planétaire. Avec, en toile de fond, le dévoiement de la très belle idée d’écologie. (Plon, 2010).

Claude Allègre, d’abord chercheur-enseignant à l’université de Paris, deviendra pendant 10 ans Directeur de l’Institut Physique du Globe de Paris (IPGP). Puis devient Président du Conseil d’Administration du Bureau des Recherches géologiques et minières. Il a publié 26 livres axés sur la recherche scientifique. Il reçoit entre autres le prix Craaford de l’Académie royale des Sciences de Suède en 1986 et une médaille d’or du CNRS en 1994 pour son ouvrage « Géologie isotopique » Il a crée la fondation « Ecologie d’Avenir »

Il est un grand scientifique mondialement reconnu (4 décorations et 6 distinctions) qui fera l’objet, en France, d’une cabale orchestrée par un syndicat d’enseignants en réponse à sa tentative de priver certain enseignants d’une prime, lors de sa carrière politique de ministre.

 

 CLIMAT, LA CONFERENCE DES SCEPTIQUES

Lors de la première conférence internationale sur le réchauffement climatique qui s’est tenue a New York en mars 2008, d’éminents scientifiques du monde entier étaient présents pour dénoncer le caractère non scientifique et dangereux du pseudo « consensus[2] » de « l’effet de serre » (Un article de la revue NEXUS n° 62 de mai-juin 2009, comprenant un intéressant tableau avec des « Paroles de sceptiques », parmi lesquelles celle du « Dr Paul Reiter, de l’Istitut Pasteur, à Paris, qui a démissionné du GIEC en signe de protestation » Et dit : «  Je trouve ça obscène que la science soit ‘arrangée’. En fait, elle est déformée par des gens qui ne sont pas des scientifiques[3]»

 

CHANGEMENT CLIMATIQUE : VERITES, MENSONGES, MANIPULATIONS

Un dossier de la revue NEXUS n° 118 de septembre-octobre 2018, sur le climat et son « dérèglement » avec notamment les signatures de Marielsa Salsilli[4], Yve Lenoir[5], Jean-Paul Devos[6], Hacène Arezki[7], François Gervais[8], Benoît Rittaud[9], Drieu Godefridi[10], Patrick Pasin[11]

 


QUAND LES MILITAIRES DETRAQUENT LE CLIMAT

Un article de Ben Cramer[12] publié dans la revue NEXUS n° 73 de mars-avril 2011.

L’armée n’a pas attendu que des environnementalistes se soucient du réchauffement climatique pour s’intéresser, et de très près, à la question, avec toutefois des motivations nettement moins pacifiques. Cet article comprend une liste de « dates-clés » sur le thème du Climat et la géo ingénierie

 

Oui, les campagnes de fausses informations se suivent …et se ressemblent

 

Nous assistons depuis 2020 à des campagnes de diffamation, par les grands médias qui fabriquent l’opinion publique, de personnalités scientifiques connues, d’experts reconnus dans leur domaine avant 2020. Au cours du récent XXI siècle, ce n’est donc pas la première fois que des sceptiques vis-à-vis d’une propagande sont discrédités, voire insultés par la presse et les médias télé.

 

La propagande mensongère actuelle sur la crise Covid-19 est aussi l’occasion de prendre la mesure d’une volonté de manipuler l’opinion publique. C’est donc aussi l’occasion, pour ceux qui s’en rendent compte, de peut-être accepter que les médias les ont aussi trompés en ce qui concerne le dogme du CO2 cause du réchauffement climatique. Et les pousser à vérifier, maintenant, aux réelles sources scientifiques indépendantes, les faits objectifs. (Voir bibliographie non exhaustive ci-dessus).

 

L’opprobre, c’est ce qui attend tous ceux qui refusent de croire la propagande

 

Face à la propagande gouvernementale actuelle, les dissidents, sont comparés à « des complotistes adeptes de la terre plate », qu’ils soient simples citoyens ou  éminents scientifiques. 

 

La même stratégie, parfois les mêmes mots, ont été utilisés au début du XXIème siècle pour exclure des scientifiques du monde entier de tout débat sur le climat : censure, diffamation, coupure de crédits, pressions administratives…

 

En 2008, le journaliste O’Brien, sur CNN compare à des « négationnistes... partisans de la terre plate » les 400 scientifiques du monde entier qui ont osé contester les hypothèses du GIEC[13] (Groupe d’experts intergouvernementaux sur l’évolution du climat) lors de la première conférence internationale sur le réchauffement climatique à New York en mars 2008.

 

Climato-alarmistes et climato-sceptiques, le fossé

 

Ces « climato-sceptiques » ont dénoncé le caractère non scientifique du pseudo « consensus » de l’effet de serre dû aux émissions de gaz carbonique CO2. (Il faut savoir que le premier gaz à effet de serre est la vapeur d’eau, en quantité très supérieure à celle du CO2 dans l’atmosphère).

 

Une enquête publiée au Canada en 2008, réalisée auprès de 51.000 scientifiques, montre que seulement 26 % d’entre eux soutenaient la thèse du réchauffement climatique dû à l’activité humaine.

 

En 2009 une pétition déclarant que le réchauffement climatique est probablement d’origine naturelle est signée par 34.000 scientifiques du monde entier.

 

Les scientifiques sceptiques vis-à-vis du gaz carbonique responsable du réchauffement ont été  censurés par les médias, y compris les revues scientifiques, de la même façon que les sceptiques vis-à-vis de la crise sanitaire Covid-19 l’ont été en 2020/2022.

 

La maladie du GIEC et le GNIEC

 

Les prévisions du GIEC d’une augmentation de température de 2 ou 3° au cours du siècle reposent sur des spéculations à partir de modèles informatique « bidouillés » et de courbes  qui ont été reconnues fausses. Les climato-sceptiques qui ont créé le GNIEC (Groupe d’experts NON intergouvernementaux sur l’évolution du climat) déclarent que :

 

► Le réchauffement actuel est en conformité avec la variabilité naturelle du climat 

 

► Les craintes liées au climat sont générées par des modèles informatiques de prévisions et non sur des observations

 

► Les études validées scientifiquement sont de plus en plus nombreuses à réfuter les arguments sur lesquels se développent les peurs liées aux émissions de gaz carbonique.

 

Pour le GNIEC le consensus est une notion forgée à des fins politiques et non scientifiques. Certains savants parlent de « lavage de cerveau » opéré par les médias depuis la publicité sensationnelle et mondiale donnée aux thèses du GIEC avec l’aide d’affairistes comme Al Gore et de politiciens comme M. Thatcher puis Tony Blair et de quelques fonctionnaires de l’ONU.

 

Du jeu de rôles d’Al Gore au lobby du nucléaire

 

Le film d’Al Gore[14] « Une vérité qui dérange » a été condamné par la Haute-Cour de Londres pour propagation de neuf erreurs scientifiques.

 

Al Gore est devenu milliardaire grâce à l’éco-business fondé sur les craintes liées au gaz carbonique.

 

Le lobby du nucléaire, après diverses catastrophes, a redoré son image, grâce au mythe du réchauffement climatique par le CO2 et, aujourd’hui, la majorité des partis politiques (en France, tout du moins) sont redevenus pro-nucléaires.

 

Les écologistes de parti se sont emparés de ce mythe pour justifier leur prédilection pour les taxes et contraintes ou pour accélérer la décroissance. Quelles que soient les motivations des écologistes d’adhérer au dogme climatique, le fait est qu’une  « imposture climatique » a été orchestrée, d’abord par une poignée de météorologistes américains dans le but de conserver leurs crédits en expansion.

 

Météo et climat : une histoire de crédits et d’équipes en place

 

Suite à une étude prouvant que le temps ne peut être prédit à plus de trois ou quatre jours, quelle que soit la puissance des ordinateurs utilisés, le Congrès américain qui vote le budget de NASA est des services gouvernementaux météo en général, envisageait une réduction de budget et d’effectifs. (Au delà de 3 jours la météo française ne donne que des résultats de calculs de probabilité, dixit une météorologiste rencontrée il y a quelques années.)

 

Pour conserver leurs équipes et leurs crédits en expansion, quelques météorologistes, ayant pour chef de file Hansen, ont monté toute cette histoire de prévisions climatiques alarmistes. Après avoir opté dans les années 80 pour un « global cooling » (refroidissement à cause des aérosols), ils ont finalement changé d’avis et opté pour un « global warming » (réchauffement à cause des émissions de CO2). L’aspect alarmiste est dû au fait que le catastrophisme délie mieux les bourses. C’est cette petite équipe de météorologistes américains rejoints par des météorologistes britanniques qui va donner naissance au GIEC.

 

Pour en revenir succinctement aux sources…

 

L’interview de Claude Allègre par Dominique de Montvallon (« L’Imposture climatique ou La fausse écologie », chez Plon, 2010) apporte des éclairages scientifiques, psychologiques, politiques sur la construction de ce mythe qui a créé la panique.

 

Le livre d’Arezki confirme les propos de Claude Allègre. Les nombreux articles de scientifiques dont les références figurent en début de ce texte vont tous dans le même sens et contestent les hypothèses du GIEC.

 

Les populations ont réagi émotionnellement et sentimentalement à des données truquées, des informations mensongères et sensationnelles. Les opinions publiques majoritaires actuelles ne ne sont absolument pas fondées sur des réflexions à partir de données objectives ou d’observations validées scientifiquement.

 

Le mythe du réchauffement climatique dû au CO2, créé pour des raisons financières d’abord  a été repris par des politiques et des partis « écologistes » pour des raisons économiques ou idéologiques et encore financières. Il permet des revenus fiscaux nouveaux aux politiques et un enrichissement nouveau aux affairistes de l’éco-business du monde.

 

La macronie et son conseil scientifique encore

 

Les scientifiques dévoyés du Conseil scientifique de Macron en 2020, comme ceux du GIEC[15] auparavant, invoquent la science mais ne l’honorent pas. Le pseudo « consensus climatique », comme la pseudo gestion « sanitaire » du Covid-19 sont avant tout politiques.

 

Les problèmes écologiques, sur lesquels les hommes et leurs gouvernements, pourraient agir sont immenses et urgents, mais le climat est justement l’élément qui échappe à la maîtrise des hommes et qui dépend essentiellement du soleil, de conditions naturelles sur lesquelles les hommes n’ont pas prise.

 

Même les militaires, américains, les plus grands émetteurs de C02,  que le GIEC ne mentionne jamais, ont revu leur ambition de maîtriser le climat à la baisse pour se contenter de contrôler ponctuellement le temps et déclencher ou orienter des tempêtes, des pluies torrentielles, provoquer des tsunamis ou des tremblements de terre, par explosions nucléaires, etc.

 

Nous négligeons également de protéger les grandes forêts ce qui permettrait de réguler le gaz carbonique sur la terre, nous continuons à polluer et détruire les océans, les rivières, l’air, les sols, nous continuons à négliger le grave problème de l’eau qui risque de manquer prochainement  mais nous nous affolons pour quelques degrés au cours du siècle, alors que cette élévation de température, d’après la plupart des scientifiques, ne seraient pas une catastrophe et présenterait même certains avantages, en particulier pour l’agriculture ou l’économie de chauffage.

 

A quoi riment les mobilisations pour le climat qui fleurissent abondamment ?

 

Se mobiliser pour un climat qui échappe à tout contrôle humain, sur une terre qui n’a jamais cessé d’évoluer en alternant refroidissement et réchauffement, est parfaitement absurde !

 

Une autre absurdité, celle-ci de la part de certains écologistes, sans aucun doute plus de parti que de conviction, me frappe : les mêmes qui, il y a quelques années fauchaient des champs d’OGM par crainte d’une contamination à toute la végétation[16], se laissent maintenant injecter dans leur corps une substance expérimentale d’OGM, et un chef de parti écologiste en France a même réclamé l’obligation d’injection d’OGM à toute la population (dite alors obligation vaccinale).

 

 

Climat, nucléaire et green washing

 

L’argument tombe sous le sens : puisque le grand ennemi est le CO2, il faut produire de l’énergie sans CO2. Le nucléaire tombe à pic, qui devient ainsi une énergie verte… Finis les déchets[17] à traiter, finies les émissions de gaz à effet de serre lors de l’extraction d’uranium, finie la question de la consommation d’eau[18], bref, finis les problèmes : énergie verte, écologique et rentable. Il n’en fallait pas plus à E. Macron pour annoncer, le 10 février 2022, lors de sa visite à Belfort, son souhait de construire 6 nouveaux réacteurs.

 

La transition énergétique et le développement d’énergies issues du vent, de l’eau, des marées et du soleil est nécessaire, mais la focalisation sur l’énergie décarbonée du nucléaire, pour cause de climat, est dangereuse surtout au moment où le gendarme français du nucléaire alerte sur 5 centrales nucléaires à risques,  pour diverses causes dont le vieillissement (cf. le Canard Enchaîné dossier annuel 2020) et au moment où 17 réacteurs nucléaires sont à l’arrêt pour cause de corrosion et nécessitent un carénage d’un coût estimé à 55 milliards (France Culture 18/02/22)

 

Du mythe à la réalité

 

Le mythe climatique pousse actuellement, par exemple, à la consommation de voitures électriques, ce qui augmente la demande d’électricité alors que la transition écologique est en retard pour les vraies énergies propres (eau, marées, soleil, biomasse, etc.) dans un contexte français de vieilles centrales nucléaires parfois mal en point.

 

Il faut aussi savoir que les émissions de carbone de la France représentent 1 % des émissions mondiales de CO2. Une taxe carbone est donc injuste en France et l’expérience de la Norvège confirme son inutilité pour un petit émetteur de CO2. Pénaliser des chauffeurs de voitures diesel français sans même faire mention de l’empreinte carbone de l’ingénierie militaire des grandes puissances est indigne.

 

L’imposture climatique et l’imposture C-19 présentent les mêmes ingrédients de corruption et mensonge pour les uns, d’ignorance pour les autres.

 

Pour finir…

 

Lorsque j’ai découvert en 2018, cette imposture climatique, je me suis rendu compte qu’il était impossible de débattre de ce problème du climat avec mon entourage. La plupart des gens préfèrent croire ce qu’ils ont vu à la télé. Vérifier des infos ou des images  TV sensationnelles dans des documents sourcés, chiffrés, publiés par des scientifiques hors conflit d’intérêt demandent des efforts que la plupart ne sont pas prêts à faire.

 

De nouveau, comme pour le C-19 : la grande majorité du public préfère subir passivement une manipulation dont les «ficelles» sont pourtant grossières et se soumettre  sans réflexion critique à la perte de liberté sans chercher à vérifier les dires des médias pourtant réputés au services de leurs ultra-riches bailleurs de fonds.  

 

 

 

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[1] Dominique de Barrigue de Montavallon, journaliste et éditorialiste, né en 1947

[2] Le GIEC a pour mission de travailler « à rendre compte des différents points de vue et des incertitudes, tout en dégageant clairement les éléments qui relèvent d’un consensus de la communauté scientifique »

[3] Souligné par nous.

[4] Ingénieur de formation.

[5] Ingénieur en mathématiques appliquées

[6] Spécialiste en aéroacoustique, hydroacoustique et thermodynamique

[7] Géographe, auteur de Climat, mensonges et propagande, 2010 (voir ci-dessu)

[8] Physicien, expert reviewer, auteur d’un rapport sur le FOD (First Order Draft)

[9] Mathématicien, président de l’Association des climato-réalistes.

[10] Juriste et philosophe, auteur de l’essai : « Le GIEC est mort, vive la science » (2010) après le scandale du Climategate et la fronde des climatosceptiques français.

[11] Auteur notamment de : « l’Arme climatique. La manipulation du climat par les militaires ».

[12] Chercheur au Centre interdisciplinaire de recherches sur la paix et d’études stratégiques (CIRPES). Il est auteur du pamphlet LE NUCLEAIRE DANS TOUS SES ETATS (Alias, 2002)

[13] Pour qu’on comprenne bien (c’est nous qui soulignons) : « Le GIEC est une organisation autonome hybride, constituée de scientifiques et de représentants des États. La présence de ces derniers a été décidée par le G7 sous la pression du président américain R. Reagan et la première ministre britannique M. Thatcher qui souhaitaient un contrôle des gouvernements sur les rapports produits par l'organisation. (Wikipedia)

[14] Rappelons aussi pour mémoire que Al Gore (ancien vice-président des Etats-Unis) et le GIEC ont reçu en 2007, conjointement, le Prix Nobel de la Paix.

[15] Rappelons encore pour mémoire que le budget annuel du GIEC s'élève à environ 6 millions d'euros, celui-ci étant financé par les 195 États membres de l'ONU qui y contribuent de « manière indépendante et volontaire ». Du fait de cette indépendance, le gouvernement américain de Donald Trump a décidé de cesser celui-ci dès l'année 2016, malgré les réticences du Sénat, tandis que la France a réévalué en 2018 sa contribution à un million d'euros jusqu'en 2022. (d’après Wikipedia)

[16] Ce qui ne manque pas de légitimité.

[17] « Près d’un million de mètres cubes de déchets radioactifs provenant de la production d’électricité nucléaire d’EDF s’accumulent déjà sur le territoire français » (Greenpeace, communiqué du 2 janvier 2022)

[18] « Annuellement, en moyenne, le volume d’eau nécessaire au fonctionnement du circuit de refroidissement d’un réacteur est compris entre 50 millions de mètres cubes (si le refroidissement est assuré par un aéroréfrigérant) et 1 milliard de mètres cubes (si l’eau est rejetée directement dans le milieu naturel), soit respectivement un besoin de 6 à 160 litres d’eau prélevés pour produire 1 kWh » (selon un rapport d’EDF cité par Ouest-France du 02.01.2022)


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