« Le Livre Noir
de la Gauche
Française. Répression, Colonisation, Corruption,
Collaboration.»
par Xavier
MOREAU
BookEdition 2021
Préface de Yannick Jaffré
Écoute Xavier Moreaur : https://www.youtube.com/watch?v=NT25X_zRU4Q
Quatrième de couverture
La gauche française prétend depuis son apparition sur la scène
politique française à la supériorité morale non seulement sur une droite
conservatrice rarement représentée mais sur le peuple français en tant que tel.
Elle en serait le guide vers un meilleur des mondes progressiste. Pourtant
lorsque l'on regarde les accomplissements de la gauche depuis 1792, on y
perçoit sur l’essentiel qu'une succession de crimes et de trahisons dont à
aucun moment elle n'a eu l'intention de s'amender. C'est cette histoire sans
concession de la gauche française qui est retracée dans ce livre.
Xavier Moreau,
homme d’affaires et analyste politico-stratégique vit à Moscou.
Saint-Cyrien et diplômé de la
Sorbonne (Paris IV) en histoire des relations
internationales, il dirige la société LinkIT vostok à Moscou. Il conseille
différents groupes internationaux dans les pays de l'ancienne URSS, dont la Russie et l'Ukraine, et
dirige le site d'analyse géopolitique Stratpol.
Avant-propos
Des milliers de jeunes
idéalistes, depuis des générations, à la recherche d’idéaux, de liberté, de
démocratie et de justice sociale ont cru trouver dans les partis de gauche les
« bons » défenseurs de leurs idéaux. Maintenant avec une évidence
nouvelle nous voyons combien il est naïf d’avoir compté sur la gauche dont tous
les partis depuis 2020 ont gobé sans broncher la propagande Covid-19 diffusée
par des médias subventionnés, dont personne ne peut continuer à ignorer qui
sont leurs patrons. Aucun parti n’a défendu la liberté d’expression au moment
où tout questionnement sur des mesures incohérentes et absurdes était qualifiée
de « complotisme » sans aucun autre argument. Tous les partis ont
accepté servilement toutes les restrictions de liberté, les discriminations et
les maltraitances de la population, des enfants, des vieillards sous le
prétexte fallacieux d’une pandémie orchestrée par la finance mondialiste. Le
plus naïf ne peut plus croire à une gauche défendant des valeurs de liberté,
d’égalité et de fraternité.
Le mérite de la crise
Covid est d’en avoir réveillé un certain nombre. Le réveil est rude et demande
de réajuster ou remettre complètement en question ses conceptions politiques.
Le livre de Xavier
Moreau montre qu’il suffisait d’étudier l’histoire et la généalogie des idées
de gauche pour comprendre que ce que nous avons vécu et vu depuis 2020 n’est
pas un accident et que la plupart des militants de base ou sympathisants de la
gauche se sont laissés bernés par les discours et leçons de morale d’une gauche
roublarde et hypocrite, d’une bourgeoisie de gauche sans scrupule cupide et
dépravée, puissante mais... minoritaire !
Ce livre est un
réquisitoire, il aurait pu tout aussi bien s’intituler : inventaire des
travers de la gauche, c’est un livre dur et implacable, mais qu’on doit lire,
surtout si on est ou si on se dit de gauche, surtout si notre sensibilité
penche à gauche plus ou moins trompée par les idéaux (alibis ?) sociaux et
humanistes.
***
Passion de la France
Xavier Moreau,
conduit par sa passion de la
France, suit les faits
et actes politiques de la
Gauche française depuis son apparition à nos jours, de 1792 à
2021, et en montre un fil conducteur qui passe « de crimes en trahisons
de la France »
malgré la prétention de la
Gauche française « à une supériorité morale, pleine
de morgue, affichée sur une Droite conservatrice et sur le peuple
français. »
La notion de clivage gauche / droite chez
Xavier Moreau
Mais son clivage
gauche / droite n’est pas superposé à des partis ou des hommes de partis. Pour
lui la sociologie électorale est secondaire, ce qui compte pour lui ce sont les
idées politiques ou l’idéologie qui conduit les actes politiques.
« Il réduit la
gauche à son principe idéologique essentiel.» comme nous en avertit Yannick
Jaffré dans la préface. Celui-ci nous présente son ami Xavier Moreau comme un
patriote et non un nationaliste: « Le patriotisme c’est l’amour des siens,
le nationalisme, c’est la haine des autres»,
selon la formule prêtée par Romain Gary à De Gaulle. Ainsi, par
exemple, il renvoie « Sarkozi à gauche sur la base de ses actes fermes et de
l’idéologie qui les sous-tend.». Une idéologie non patriote, non
souverainiste, méprisante pour le peuple français et depuis des décennies, via
une élite servile pro-USA, au service
des intérêts de dirigeants des USA et de la finance mondialiste.
La généalogie de la gauche française
Avec la généalogie
de la gauche française, depuis son apparition au début de la Révolution française,
en juillet 1789, à Versailles à l’Assemblée Constituante où les factions des 2 courants
jacobins et girondin sont à gauche du perchoir du Roi de France, un fil
conducteur apparaît qui peu ou prou se maintient jusqu’à nos jours, à travers
les politiques d’hommes amenés au pouvoir en général par des partis dits de
gauche, mais avec quelques exceptions
comme celle de Sarkosi.
L’auteur définit
d’abord la « matrice de la gauche française » dès le début
avec les Jacobins et les Girondins. Elle
est constituée de deux tendances idéologiques : « tyrannie à
l’intérieur et impérialisme à l’extérieur. ».
La vie politique
française va glisser toujours plus à
gauche avec seulement des nuances différentes entre partis politiques et non de
réelles oppositions de conception. Tandis que la société contemporaine glisse plutôt
vers la droite. (Albert Thibaudet, Les idées politiques de la France, 1932 (mouvement
sinistrogyre) Guillaume Bernard, La guerre à droite aura bien lieu, Le
mouvement dextrogyre, 2016)
Totalitarisme
« L’histoire
de la gauche française est celle d’un ‘totalitarisme’... terme
anachronique... en réalité parfaitement adapté à la succession des régimes
engendrés par l’idéologie de 1792. La gauche française dès qu’elle accède au
pouvoir exerce une emprise totale sur la société sans aucun scrupule, sans
aucune mesure éthique, en utilisant autant de violence que les moyens dont elle
dispose le lui permettent… Robespierre
décapite avec la même certitude de bien faire que Macron éborgne le
peuple qui l’a plus ou moins élu...Un comportement par-delà bien et mal
jusqu‘au mépris des bases du code civil...et la certitude d’être missionné...
puisée probablement dans la réforme protestante et le messianisme... de la
révolution. »

« L’apparition du
totalitarisme en Europe est liée à la réforme protestante.» L’auteur décrit les 3 principes de la Réforme « à l’origine des dérives
totalitaires des siècles ultérieurs. » et leur application plus ou moins
fanatiques dans l’histoire de l’Europe. Malgré une revendication de sources
protestantes de la démocratie de la part d’intellectuels protestants. (En 2020,
l’élite mondialiste se comporte en quelque sorte selon le premier principe de la Réforme dénoncé par Xavier
Moreau, comme une « élite politique et morale dont le droit et le devoir
sont de changer la société selon ses convictions »)
Révolution française
et religion
« La
révolution française n’est pas l’abolition de la religion mais remplacement de
la religion catholique par une nouvelle religion laïque.» Il cite, pour notre époque, Vincent Peillon,
ancien ministre de F. Hollande, qui publie en 2010 : « Une
religion pour la République :
la foi laïque de Ferdinand Buisson ». Y. Hindi dans « La Mystique de la Laïcité » décrit
la genèse de cette religion républicaine
avec son ambition de modelage de l’humanité.
En remontant à Voltaire
Xavier Moreau fait
une place de choix à Voltaire parmi les philosophes qui rejettent religion et
tradition, « inaugurant un nouveau rapport à la société et à l’État ».
(Le choix des morceaux par l’Education
Nationale pour l’étude de l’œuvre de Voltaire a soigneusement évité de
présenter la personnalité complète et réelle de Voltaire.)
Voltaire, « le
saint patron de la gauche...bien que considéré comme le père de la tolérance, fut raciste,
antisémite, misogyne, trafiquant d’esclave et méprisait le peuple
français...Anticatholique rabique, il fut intolérant, belliciste et considérait
qu’il ne fallait pas apprendre aux enfants du peuple à lire et écrire...Il est
le fondateur de ce mépris pour le peuple français que la gauche bourgeoise a
entrelacé à sa certitude d’être nécessaire à l’humanité en général et à la France en particulier.»
« En 230 ans
d’existence, la gauche française, pas plus que Voltaire, ne s’est jamais battue
pour la moindre liberté d’expression. Elle a au contraire limité drastiquement
cette liberté par une série de lois iniques : Pleven, Gayssot, Taubira...»
Voltaire méprise le peuple français comme Macron aujourd’hui ‘ceux qui ne
sont rien’ et F. Hollande les ‘sans dents’.»
Voltaire, mais aussi
Jules Ferry, Michelet...
Voltaire, Jules
Ferry (aux propos racistes), « Michelet, affabulateur dont l’œuvre
pseudo-historique finira par disparaître totalement » et d’autres divinités
auxquels la gauche voue un culte sont dénoncés dans leur bassesse et
médiocrité.
Macron, Hollande, Philippe, Roccard…
Juppé !
« Emmanuel Macron
est l’incarnation de cette gauche bourgeoise qui dirige la France depuis 1877. Il est
membre du parti socialiste de 2006 à 2009, participe à la campagne de F.
Hollande en 2012, etc...Tout son quinquennat est consacré à la promotion d’une
politique très à gauche sur les plans économique, international, diversitaire
et sociétal. La crise Covid-19 lui permet la mise en place d’un contrôle de la
population dont Robespierre n’aurait même osé en rêve. Son premier ministre... Edouard
Philippe…, à sciences Po, milite au sein
du parti socialiste pour soutenir Michel Rocard, puis il rejoint le
gaucho-centrisme d’Alain Juppé... »
Sauvagerie…
« Lorsqu’on
remonte l’histoire de la gauche bourgeoise française depuis la Révolution, on constate que
la sauvagerie dont elle a fait preuve contre les Gilets Jaunes, loin d’être un
accident, lui est consubstantielle. » L’auteur passe en revue les
répressions de révoltes ouvrières ou paysannes par la gauche bourgeoise depuis la Terreur à nos jours en
passant par les diverses Républiques.
L’autre
caractéristique de la gauche bourgeoise est sa haine de l’Église catholique et
sa proximité avec la franc-maçonnerie.
La
Gauche contre les droits civiques
Dans le chapitre IV,
la Gauche
contre les droits civiques, l’auteur rappelle que la Gauche française refusa le
droit de vote aux Françaises « jusqu’à ce que le général De Gaule l’impose à
la Libération
en 1944… Contrairement au mythe inventé par la gauche contemporaine,
l’adversaire des droits civiques pour les femmes n’est pas le patriarcat conservateur, mais la
gauche bourgeoise radicale et voltairienne...»
Laval, Déat, Doriot,
Mitterrand et les autres
Le chapitre V est
consacré à « La gauche française et la collaboration, Laval,
Déat, Doriot, Mitterrand et les autres » « La vérité est que
la gauche française, ayant dominé toute la IIIè République, a massivement collaboré, quand
les nationalistes français ont massivement résisté… Dans sa réécriture de
l’histoire de la collaboration, la gauche a été aidé par l’extrême-droite française,
la plus bête du monde. Par romantisme et anticommunisme, cette extrême-droite
assuma une trahison qui n’était pas la sienne, comme elle assuma, pour les
mêmes raisons, une conquête coloniale pourtant mise en œuvre par ses ennemis politiques.»
Seules quelques
personnalités de droite conservatrices et quelques nationalistes ont collaboré,
guidés par leur foi aveugle en un maréchal Pétain diminué psychologiquement.
« La
collaboration est le fait des élites de la IIIè République dirigée uniquement par des
politiciens de gauche issus du Parti Radical, du Parti Radical Socialiste, de la SFIO. »
Pierre Laval, parti
de l’extrême-gauche pour finir au centre,
Marcel Déat de la SFIO
furent des collaborateurs sans scrupule. Jacques Doriot, communiste, et M. Déat
« ne voyaient l’avenir du peuple français que lié à un IIIè
Reich. »
Le parti communiste
français
« Pendant le
premier tiers de la seconde guerre mondiale, le parti communiste français fut
l’allié des nazis... Ils ont trahi leur pays en 1939, saboté la résistance
jusqu’en juin 1941, empêché la classe ouvrière de prendre position contre
l’ennemi », ce qui provoqua l’abandon de militants et des jeunes
communistes rejoindront la résistance après juin 1941.

Xavier Moreau cite
d’autres personnalités politiques françaises moins connues et des
fonctionnaires, comme Maurice Papon, qui ont collaboré sans état d’âme. François
Mitterrand, décoré de l’ordre de la Francisque, fonctionnaire
servant Vichy, se rapprochera des milieux résistants « au rythme des défaites de l’armée
allemande » En tant que président il restera fidèle à lui-même et
« emploiera ses 14 ans de mandat pour saborder notre souveraineté et
notre identité par le truchement du projet européïste et de l’immigration de masse.»
Il restera également fidèle à un autre collaborationniste, le radical René
Bousquet, qui organisa la rafle du « Vel d’Hiv »
Pétain, ministre de la Défense de la gauche
Pétain lui-même
était un républicain à qui la gauche confia en 1934 le ministère de la Défense puis obtient les pleins pouvoirs de l’assemblée du
Front Populaire en 1940. « L’avènement du maréchal Pétain n’est donc pas un
complot d’extrême-droite mais l’aboutissement logique d’un régime de gauche
bourgeoise en fin de course… La collaboration est le dernier acte d’un
régime corrompu et inefficace qui est à l’origine de deux grands malheurs de
l’histoire de France, la colonisation et la défaite de 1940. Par l’épuration et
grâce à son influente intelligentsia, la gauche française a réussi et réussit
encore aujourd’hui à faire oublier sa terrible responsabilité dans la défaite
et la collaboration...»
Dans ce
négationnisme historique l’auteur cite le rôle de meneur de Bernard-Henri Lévy
« avec sa pitoyable ‘Idéologie française’ ».
La gauche et le système éducatif français
L’auteur accuse également la gauche de détruire le système éducatif
français et de dégrader l’enseignement de l’histoire pour servir ses ambitions
de démantèlement de la France.
Le Chapitre
VI : « La gauche française et l’éducation, la destruction de l’instruction
publique de Robespierre à Najat Vallaud-Belkacem »
Xavier Moreau
reconnaît le bien-fondé de l’instruction obligatoire mais il en voit aussi
l’envers du décor actuellement : « un bourrage de crâne des
enfants… l’abandon des savoirs de base pour une bouillie inepte…. Savoir lire,
écrire et compter est devenu inégalitaire et réactionnaire »
La gauche révolutionnaire sous la Terreur
Dès le début, la
gauche révolutionnaire, sous la
Terreur, veut s’emparer des enfants et des décrets s’abattent sur le système
éducatif: « Les programmes sont ceux d’une véritable secte dont ils
sont les textes fondateurs.. Les livres sensés les instruire s’intitulent :
‘Le catéchisme républicain’ ou ‘Les épîtres
et évangiles du républicain’ ou encore
‘L’Office des décades’ contenant ‘Les hymnes et prières en usage dans le temple
de la raison’. Ce fanatisme et ce sectarisme éducatif se renforcent au long des
2 siècles qui suivent jusqu’à Vincent Peillon qui s’émerveille ...sur la
religion universelle » dont « le temple ou l’église sera l’école et
son nouveau clergé: les hussards noirs de la République ».

La gauche, depuis la Révolution, sous la Convention puis sous le
Directoire, à coup de décrets, s’est
attaqué aux écoles libres. Le délire
sectaire des menées éducatives du Directoire sera interrompu par un décret de
Napoléon en Mai 1802 et sous la
Monarchie de Juillet. Mais l’atteinte à la liberté
d’enseigner subsiste sous la
IIIe République, avec son « obsession de la gauche
gambettiste de déchristianiser l’enseignement » puis subsiste sous Mitterrand et
maintenant sous Macron qui « réalise, le 28/0/2019, la volonté
totalitaire du premier terroriste (Robespierre), en rendant la
scolarisation obligatoire dès 3 ans… Enlever les enfants à leurs parents le
plus tôt possible est dès cette époque (la Révolution) l’objectif
avoué de la gauche.» Avoué par Robespierre, Danton, etc. L’objectif
de l’école pour la « gauche gambettiste ou révolutionnaire :
façonner l’esprit des enfants » En fait « la liberté n’est qu’un
slogan pour la gauche française »
Gambetta et Ferry
ont mis en place un système éducatif efficace mais la conséquence de l’accès au
savoir fut de rendre les citoyens moins dociles, « constat amer »
pour les idéologues de la gauche.
C’est pourquoi il
fallait revenir, pour eux, à un abaissement
de niveau.
Macronisme, inculture, francophobie…
« Molière
est inutile pour comprendre : ‘Elle est dead la meuf ‘… Oraison funèbre à
Simone Weil par la secrétaire
d’état Sibeth Ndaye,... issue de la
haute bourgeoisie sénégalaise... (qui)
se donne pour mission d’expliquer aux Français ce que devrait être une France
digne de ce nom, socialiste et repentante. Elle est le fruit de la nouvelle
école gauchiste française...». Et élément représentatif d’une gauche « désormais illettrée et francophobe
du macronisme contemporain.»
« La gauche
bourgeoise a détruit le seul legs positif de la IIIè République,
l’élitisme éducatif républicain porteur d’ascension sociale... » Un
petit espoir apparaît dans une résistance au sein du système éducatif qui
permit en 2006 au ministre de l’Education, Gilles de Robien, de réintroduire la
méthode syllabique dans l’apprentissage de la lecture.
Chapitre VII : La gauche française et la
guerre
« Le
pacifisme de Jaurès, Briand ou Blum peut être assimilé à une véritable trahison
qui nous coûta des millions de morts ...mais même en dehors de ces tragédies,
la gauche française a systématiquement précipité la France dans des guerres où
elle n’avait rien à faire ou à gagner. »
Cela commence avec
les Girondins en 1792 avec l’Autriche pour cible. « Cette guerre est la
première d’une interminable série qui se prolonge jusqu’à aujourd’hui, les deux
dernières menées en Lybie et en Syrie...La gauche française a répandu sans retenue son bellicisme dans le
monde entier depuis 230 ans. »
«Dès son
accession au pouvoir en 1877 la gauche du Parti radical instaure une guerre
civile larvée... La gauche jacobine de Gambetta et Ferry ne poursuit qu’une
obsession : déchristianiser la
France...France ainsi divisée contre elle-même.»
Le problème militaire de la gauche est que
l’encadrement de l’armée est souvent constitué d’officiers nationalistes et
catholiques.
En préférant des
officiers incompétents mais soumis à leur idéologie, ces persécutions
religieuses seront parfois sera source de défaites militaires.
D’autre part
« jusqu’à la remilitarisation de la Rhénanie en 1936, la gauche française s’emploie à
désarmer moralement et militairement la France » malgré les signes depuis 1920
que l’Allemagne prépare sa revanche. «Les discours pacifistes sont d’une
niaiserie confondantes » face au réformes au sein de l’armée allemande
pour lui redonner de la puissance.
« La première
guerre mondiale démontre que la gauche française est plus douée pour la guerre
civile que pour lutter contre les envahisseurs. La même triste constatation
peut être faite au sujet de la seconde guerre mondiale.»
Jusqu’à nos jours la
gauche recrute de préférence des officiers incompétents ou naïfs mais qui « veillent
au respect de la pensée conforme. »
En fait le socialisme c’est la guerre !
C’est sous la
présidence du socialiste Vincent Auriol que les guerres coloniales éclatent.
Malgré une défaite en Indochine, « François Mitterrand, ministre de
l’Intérieur, envoie le contingent en Algérie en 1954, au lieu de libérer la France de cette entrave qui
représente plus de 20 % du budget de l’État en 1959. »
François Mitterrand : « résistant
opportuniste, initiateur des guerres d’Algérie, du Golfe et de Yougoslavie...le
profil parfait de l‘homme de gauche belliqueux. »
C’est « De
Gaulle qui met fin à ce conflit absurde » qui a coûté 25.600 morts, 65.000
blessés et a profondément divisé la
France.
Mitterrand opposé à la sortie du commandement
intégré de l’OTAN
Mitterrand fut aussi
le principal opposant à la sortie du commandement intégré de l’OTAN et au
départ des forces américaines, y compris nucléaires, du sol français, obtenu
par De Gaulle.
L’arrivée au pouvoir
de Mitterrand en 1981 permet à la gauche « de renouer avec son ancienne
passion pour la guerre ».
Mitterrand envoie 12 500 hommes en ‘invoquant la logique
de guerre’ contre Saddam Hussein, guerre où nous n’avions rien à faire et qui
servira les intérêts du Nouvel Ordre Mondial proclamé par H.W. Bush.
Mitterrand encore se
mêlera d’une guerre dans laquelle la
France soutient les
Croates néo-oustachistes et les
islamistes bosniaques revendiquant leur héritage collaborationniste avec
l’Allemagne nazie tandis qu’elle trahira
ses anciens alliés serbes.
Bombardement de la Serbie
Puis en 1999 la France bombardera, avec
l’OTAN, la Serbie « pour aider les terroristes albanais
du Kosovo, cela de façon illégale sans décision du Conseil de Sécurité de
l’ONU. La France
est alors dirigée par le président Jacques Chirac, ancien militant communiste
passé au centre gauche et son premier ministre Lionel Jospin, socialo-trotskiste. »
Ils ont ainsi participé avec l’Otan à ce que « la région serbe du
Kosovo devienne une zone mafieuse au cœur de l’Europe... »
Nicolas Sarkozy
pratique l’ouverture à gauche, prend un
ministre gauchiste, B. Kouchner et un ministre gaucho-centriste A. Juppé.
A son actif : la reconnaissance du
pseudo-Etat terroriste du Kosovo, la destruction de la Lybie après l’assassinat de
Kadhafi en 2011.
Sarkozy, Kouchnert, Mélanchon…
Sarkozy est soutenu
dans sa guerre impérialiste par une autre figure du gauchisme français,
Jean-Luc Mélanchon, intervieuwé dans Libération le 21 Mars 2011.
« F.
Hollande poursuit ce type de guerre impérialiste. En 2012 son ministre des
Affaires Etrangères, Fabius menace le président Achar El Assad. »
La France s’apprête à bombarder la Syrie en Août 2013 mais
Hollande y renonce car abandonné par Washington et Londres. Mais en Mars 2018
ce sont E. Macron et J-Y Le Drian qui ordonneront une salve de missiles, parfaitement inutile, sur la Syrie.
Et, en Ukraine ?
« En
Ukraine, le régime socialiste français appuie le coup d’état de Maïdan... soutenu
ouvertement par des groupes ukronazis » (des groupes paramilitaires
disciples des nazis Stephan Bandera et
Roman Choukhevytch). « Laurent Fabius devant le parlement en Février
2014 prend la défense du chef ukronazi Oleg Tyagnibok »
En 2015 la France fait partie des
garants des accords de Minsk qui devaient mettre fin aux combats en Ukraine. La France a trahi ses
engagements en ne faisant pas pression sur le gouvernement de Kiev afin
qu’il respecte ces accords de paix.
Le bilan militaire
de la gauche française qui a entraîné la France dans des conflits où elle n’avait aucun
intérêt, est catastrophique. « Elle a semé la mort et la destruction
dans des pays et contre des peuples qui ne nous avaient rien fait.»
Le Chapitre VIII traite du lien entre gauche et
colonisation
L’auteur pense que
le messianisme girondin dont les valeurs seraient universelles et
imposables par la force a poussé à une conquête coloniale qui a ruiné la France et l’a empêché de se
préparer efficacement aux grands affrontements du XXe siècle.
« La véritable
impulsion expansionniste vient des fondateurs de la IIIè République,
Gambetta et Ferry. Ce sont eux qui lancent la nation, contre l’opinion
majoritaire des Français, dans la ruineuse aventure coloniale, aussi glorieuse
militairement qu’absurde politiquement… La réalité économique vient rapidement
doucher les espoirs d’enrichissement de la gauche colonialiste.»
Les nationalistes
français s’opposent à la colonisation, à la soif de conquête de la gauche
impérialiste dans un premier temps et se laisseront convaincre par le mirage
colonial plus tard, après la première guerre mondiale, laissant alors le
flambeau de l’anti-colonialisme à l’extrême gauche.
L’Algérie Française
Après la seconde
guerre mondiale « les idéologies anticolonialistes forgées par une
partie de la gauche (marxiste) sont utilisée par les intellectuels
gauchistes, précurseurs de la déconstruction, pour ajouter au Désastre de 1940, la culpabilité
imaginaire de la colonisation »
alors même que les partisans de l’Algérie française sont des hommes de
gauche : Mitterrand et Mendès France.
Des affirmations
délirantes de culpabilité de l’homme blanc européen vis-à-vis des peuples des
pays coloniaux sont répandues dans l’opinion publique française et cette
propagande dans les médias et l’Education nationale encourage des émigrés à
nourrir une haine pour les Français blanc et les crimes que ses ancêtres sont
sensés avoir commis. « Ces idéologies accouchent sous F.
Mitterrand de l’antiracisme institutionnel, véritable poison que la gauche
répand dans les veines de notre pays depuis 40 ans.»
Le peuple français
qui a dû faire les frais de l’aventurisme colonial coûteux de la gauche, en
subir le contrecoup migratoire est maintenant la cible d’une propagande
culpabilisante de cette même gauche dont le colonialisme et le messianisme
gauchiste s’expriment encore aujourd’hui en Afrique, au Proche-Orient et
désormais en Europe Centrale. (La
France ne s’est pas enrichie par ses colonies mais au
contraire appauvri financièrement.)
La corruption, de Danton à Macron
De plus « le
double septennat de Mitterrand fut en outre une époque d’intense corruption franço-fricaine,
au cours de laquelle son fils fut condamné. » Jean-Christophe
Mitterrand, conseiller pour les affaires africaines auprès de son père, fut
multi-inculpé, multi-condamné, notamment pour complicité de trafic d’armes.
Chapitre IX :
La gauche française et la corruption, de Danton à Macron
« Dès la Constituante de 1789 la
corruption fait son apparition ». L’auteur cite des noms et des
affaires.
« En 1877,
la gauche revient au pouvoir et y restera jusqu’en 1958. La corruption devient
quasi immédiatement endémique et les scandales se multiplient. ». L’auteur
cite des noms et des affaires dont la plus célèbre, l’Affaire Staviski, dans
laquelle radicaux et socialistes sont impliqués.
Mais une explosion
de la corruption et de législations d’exception apparaissent sous la présidence
de Mitterrand « dans les années qui déconstruiront la France de 1981 à
1995 ».
L’auteur cite des
noms et des affaires dont la plus grande escroquerie socialiste révélée en
1989, l’Affaire Urba dans laquelle les protagonistes se tirent d’affaire grâce
au vote d’une loi sur la moralisation de la vie politique qui amnistie les
infractions avant le 15 juin 1989.
Hollande et Macron
Hollande et Macron
avaient « promis des présidences exemplaires. Elles ne le seront
restées que le temps de l’investiture.» L’auteur cite noms et affaires sous
Hollande dont celle de R. Ferrand, transfuge du parti socialiste vers LaRem
Olivier Marleix,
président de la commission d’enquête parlementaire sur les décisions de l’État
en matière de politique industrielle dénonce un « pacte de
corruption » autour d’Emmanuel Macron, notamment dans la vente d’Alsthom.
Alsthom, un cas !
L’enquête a
découvert, que dès 2012, Macron avait demandé un rapport sur la situation
d’Alsthom et commandé, en secret, à un cabinet américain un rapport qui fixait
déjà les grandes lignes du démantèlement du groupe français. Jusqu’à présent
personne n’a contesté ces faits, donc « Macron est à la tête d’une véritable
conjuration contre la France. »
« La corruption
et la trahison sont consubstantielles » de la gauche bourgeoise qui continue « à donner des leçons au peuple
français ».
La gauche française et la pédophilie
Xavier Moreau
termine son ouvrage-réquisitoire par un chapitre sur la gauche française et la
pédophilie, du marquis de Sade à Olivier Duhamel
Toutes les sociétés
européennes chrétiennes condamnent la pédophilie.
« Le
véritable fondateur de la transgression
sexuelle comme acte politique reste le marquis de Sade...Il est
incontestablement l’ancêtre proche de la gauche pédophile. Il fut d’ailleurs
célébré au XXe siècle par les membres de l’intelligentsia gauchiste française
come G. Bataille, PH. Sollers, J. Lacan, S. de Beauvoir, M. Foucault. »
En 1790 Sade, sorti
de prison, fut le secrétaire puis le président
de la Section
des piques de Robespierre. « Il y milite pour la déchristianisation de la France. Comme deux siècles
plus tard ses héritiers D. Cohn-Bendit
ou O. Duhamel, Sade associe donc à ses perversions un militantisme politique
ouvert.»
La libération
sexuelle des années 1960 inspirée d’outre-Atlantique, la révolution sexuelle
des mœurs initiée par les rapports Kinsey, très contestés depuis,
qui prête des « orgasmes infantiles » ont influencé la gauche
bourgeoise française qui devient alors « le moteur d’une déconstruction
de la famille et de la société par une sexualité transgressive » d’autant
plus délétère que la France
d’après guerre est vulnérable, fragilisée par « l’humiliation de 1940,
l’agitation des guerres et le développement d’une société de consommation hyper
individualiste. »
Pour la gauche
bourgeoise tout est permis et « cette lutte contre les limites morales
mêle allègrement liberté sexuelle, homosexualité et pédophilie.»
En 1977 des figures
de la gauche bourgeoise signent une pétition pour défendre 3 hommes accusés
d’attentats à la pudeur sur mineurs, pétition publiée dans 2 journaux de gauche Le Monde et Libération. »
Pétition rédigée par G. Matzneff,
qui raconte dans son œuvre littéraire comment il brise la vie de jeunes filles
mineures, et signée entre autres par J-P Sartre, R. Barthès, S. de Beauvoir, G.
et F. Deleuze, Ph. Sollers, L. Aragon, J. Lang et B. Kouchner….
Xavier Moreau cite
diverses affaires de mœurs et les noms de gauchistes impliqués.
Michel Foucault,
Olivier Duhamel, Pierre Bergé, etc.
Les féministes qui
ont dénoncé ces pratiques furent qualifiées de « féministes de droite » par un philosophe dans un magazine
financé par Pierre Bergé.
Daniel Cohn-Bendit
dont le passé de militant pédophile est connu et qui se vante lui-même de ses
tendances et pratiques pédophiles en tant qu’éducateur dans un jardin d’enfants
alternatif à Francfort, « incarne cette gauche détraquée qui prétend
réformer notre société et nous édifier...Il poursuit une rayonnante carrière
politique et journalistique…, invité régulier des plateaux TV. »
2017 : l’élection de Macron
En 2017 l’élection
de Macron est fêtée au restaurant La
Rotonde à Paris avec la gauche caviar et l’extrême gauche ; toute la bourgeoisie
gauchiste, avec son lot de pédophilie, a célébré son candidat Macron. « Ainsi
l’idéologie pédophile en tant que forme suprême de transgression de l’ordre
naturel et social, est de gauche. Elle est un autre aboutissement des
conceptions générales promues par la
gauche révolutionnaire française. Elle est encore une fois liée à une
définition dévoyée de la liberté...»
En Novembre 2021,
le journaliste d’investigation Kark Zéro publie un reportage « 1 sur
5 » dans lequel il dénonce la pédo-criminalité de réseau. On y voit
Dupont-Moretti parler ‘d’inceste consenti’ devant le Parlement français. Le
régime macroniste y est accusé d’avoir neutralisé la loi... qui devait être un
pas décisif pour la protection des mineurs » et de l’avoir remplacé par une loi qui déclare
qu’il peut y avoir des enfants consentants.
Les forces
politico-financières qui soutiennent toutes les formes de transgressions
sexuelles sont puissantes, elles disposent de l’accès aux médias et aux
responsables politiques par l’argent
En conclusion :
►« La gauche
française est fille de la
Terreur révolutionnaire. ».
►« La monarchie
était en bout de course... mais la
Révolution aurait pu s’arrêter en 1791... Terreur et guerre
n’était pas une fatalité.»
►« Aussitôt
parvenue au pouvoir (la gauche) prétend chaque fois régénérer notre peuple avec
ses lubies toujours plus déconstructrices. Elle s’acharne à arracher du cœur des
Français le christianisme qui a fondé leur nation, impose sa grotesque mystique
laïque et réécrit notre histoire pour nous faire détester nos bâtisseurs et nos
grands hommes...Elle s’attaque à la patrie puis à la famille... Bourgeoise par essence,
elle ne s’est jamais soucié du peuple français et cache difficilement
son mépris pour ‘ceux qui ne sont rien’» Comme Mitterrand, elle hait la France et son goût pour la grandeur.
►« La gauche
‘terra Nova’ sachant qu’elle ne peut pas changer le peuple a donc décider de
changer de peuple. Ce grand remplacement dont la majorité des Français a
désormais conscience, est simultané de l’établissement d’un système orwellien
de contrôle des populations. »
C’est au peuple
français de se dresser maintenant contre la tyrannie exercée sur notre pays.
Son anticléricalisme lui fait voter au 19è et début du 20è siècle
contre des lois sociales favorables au peuple, aux ouvriers lorsqu’elles sont
présentées par des catholiques. Info dans « Historiquement
Correct » de Jean Sévillia, 2003 )
Jean Sévillia dans Historiquement
correct cite une étude récente faite par quelqu’un qui voulait montrer que la France s’était enrichie par
ses colonies et qui a dû admettre qu’en fait le bilan financier du colonialisme
à été très négatif pour la
France. (Citation de mémoire).