L’aluminium, des problèmes aux solutions concrètes

«Santé Non Censuré» n°10

Sous la plume notamment de Stéphane Morales, la revue « Santé Non Censuré » publie, dans son numéro 10 un intéressant dossier sur l’aluminium et la santé humaine. « Aluminium, enfin des solutions concrètes ! » « L’aluminium s’invite à notre table.» L’aluminium un poison lent et potentiellement mortel. » « A force de l’accumuler tout au long de la vie, les faibles doses d’aluminium finissent par atteindre un seuil critique » « Les adjuvants des vaccins, un combat san fin » « Comment se prémunir des dangers de l’aluminium ? » « Les additifs alimentaires » « Les fumées de cigarette » « Comment chasser l’aluminium de votre organisme » sont quelques-uns des intertitres de ce dossier.

Les métaux lourds sont partout

Les métaux lourds sont partout : aliments, médicaments, cosmétiques, peintures, etc.

Certains métaux sont indispensables au corps, d’autres comme le plomb ou l’aluminium, n’ont aucune fonction physiologique et intoxiquent même en faible quantité. Leur accumulation dans les organes causent de graves dégâts.

La guerre de l’aluminium

Le poison de l’aluminium est actuellement au cœur d’une guerre entre ceux qui en dénoncent les méfaits et ceux qui contestent sa dangerosité pour des raisons économiques. Car l’industrie tentaculaire de l’aluminium infiltre sournoisement sa production dans tous les domaines : bâtiment, agroalimentaire, pharmacie, traitement de l’eau buvable, cosmétiques nombreux…

De plus l’exploitation de l’aluminium de la nature génère une contamination systématique d’aliments; les plus touchés étant le cacao et les thés.

L’aluminium peut s’accumuler peu à peu dans les organes

Dans ce contexte l’aluminium peut s’accumuler peu à peu dans les organes car le filtrage par les reins ne l’élimine pas en totalité. Les 20 % non éliminés peuvent se loger dans les os, les poumons, le foie et le cerveau.

Les enfants et les adolescents sont davantage exposés à cette toxicité tardivement reconnue dans les années 1970.

Le signal d’alarme est venu des troubles neurologiques diagnostiqués chez les personnes en dialyse.

Le dialysat utilisé contenait de l’aluminium. Or ces patients sans la fonction rénale nécessaire à l’élimination de l’aluminium présentaient des troubles du langage, des troubles moteurs,, des encéphalopathies et des décalcification des os. A la suite des ces constats l’aluminium du dialysat fut remplacé par du sulfate de fer et des scientifiques commencèrent à étudier les effets néfastes de l’aluminium sur l’organisme humain.

Plusieurs équipes de chercheurs dans le monde ont observé tout une liste de troubles favorisés par l’aluminium. Liste qui s’allonge maintenant avec d’autres troubles tels que l’autisme, la sclérose en plaques, les troubles de l’attention, l’hyperactivité, certains cancers ( notamment du sein), certaines maladies digestives ( Crohn, Maladie cœliaque) , l’encéphalomyélite myalgique (fatigue chronique).

Le Pr. Christophe Exley

Le Pr. Christophe Exley, biochimiste à l’université de Keele (GB), grand spécialiste mondial de l’aluminium, connu pour ses recherches depuis 40 ans et plus de 200 études pense que la maladie d’Alzheimer est une « réponse aiguë à une intoxication chronique par l’aluminium ».

Des teneurs élevées en aluminium sont retrouvées dans les cerveaux des personnes atteintes d’Alzheimer, d’autisme, de sclérose en plaques…

Les adjuvants

Parmi les sources d’intoxication, les adjuvants des vaccins sont ciblés par les chercheurs. Ces adjuvants à base d’aluminium perdurent dans les muscles et migrent vers certains organes. On s’est aperçu après la vaccination contre l’hépatite B que 100 % des malades atteints de myofasciites à macrophages, une maladie émergente, avaient été vaccinés au cours des années précédant l’apparition des symptômes. Le Pr. Romain Gherardi, chef du service neuromusculaire à l’hôpital Henri Mondor de Créteil décrit cette pathologie et ses résultats de recherche en 1998 dans Le Lancet. Mais l’industrie pharmaceutique discrédite ses recherches et lui font perdre ses financements publics, mettant fin à ses travaux officiels.

Même chose pour le Pr. Exley, privé des ressources nécessaires à ses travaux.

Une grève de la faim des victimes de la myofasciite obtient une étude financée par l’ANSM en 2014. Malgré les conclusions du rapport qui pointent les risques inhérents à l’aluminium de la plupart des vaccins, le ministère de la Santé décide que l’innocuité des vaccins ne doit pas être remise en cause.

On sait maintenant, y compris les hautes autorités de santé le savent, que les injections d’adjuvants aluminiques sont une intoxication aiguë pour les nourrissons et que l’aluminium des vaccins est suivie de dépôts d’aluminium dans les organes tels que la rate et le cerveau. Cela est reconnu par l’Académie de Médecine qui continue à refuser tout moratoire.

Quand l’OMS entre en jeu

Sachant que l’OMS annonce plus de 120 vaccins nouveaux, en majorité aluminiques, pour une croissance annuelle de 20 % du marché des vaccins dont le chiffre d’affaires devrait atteindre 100 milliards en 2025 et connaissant la façon dont la vaccination anti-covid bat son plein, il y a de quoi être très inquiet pour l’avenir, signale l’auteur de l’article.

A la suite de cet article quelques conseils sont donnés dans cette revue pour se prémunir des dangers de l’aluminium :

►éviter les déodorants qui en contiennent

►surveiller les étiquettes des produits cosmétiques et d’hygiène ( dentifrices, crèmes, shampooing, maquillage, colorant cheveux, etc.)

►éviter les emballages alimentaires «métalliques» en contact direct avec les aliments

►éviter les ustensiles de cuisine en téflon

►proscrire en premier les additifs E173, E520 à E523, E541, E554 à E556, E1452

►se méfier des antiacides, « pansements gastriques » chargés en aluminium

►la fumée de cigarette ou de cannabis est une source d’exposition supplémentaire

Pour chasser l’aluminium du corps

►l’acide silicique : eaux siliceuses (type Volvic, Spritzer, Fidji...)

►supplémentation en silicium organique (ortie, prêle, préparations à base de ces plantes)

►chorelle, agent chélateur (poudre, gélules, comprimés) mais précautions d’usage à respecter : déconseillée en cas d’excès de fer, de traitement anticoagulant, de prise d’antihypertenseurs, de modulants des défenses immunitaires, de consommation importante de café, à éviter aussi si hypersensible à la lumière, si asthmatique ou enfant. En cas de traitement lourd, indispensable d’être suivi par un médecin pendant la cure de chorelle.

(Stéphane Morales)

►Pour aller plus loin sur la question de l’aluminium…

L’aluminium : ce métal qui nous empoisonne : la synthèse de l’ASEF

Association Santé Environnement France

https://www.asef-asso.fr/production/laluminium-ce-metal-qui-nous-empoisonne-la-synthese-de-lasef/

L’aluminium: Les impacts environnementaux et alternatives de consommation

In Ecoverre – La voix de la terre

https://www.ecoverre.com/laluminium-les-impacts-environnementaux-et-alternatives-de-consommation-n-41-fr

Aluminium : un métal léger aux lourdes conséquences pour la nature

In « Sauvons la forêt »

https://www.sauvonslaforet.org/themes/aluminium

L'aluminium : un danger pour notre santé ?

In Santé magazine

https://www.santemagazine.fr/sante/sante-environnementale/laluminium-un-danger-pour-notre-sante-176492

Un dossier en 7 chapitres pour aller au fond des choses :

Et l’annonce d’un ouvrage de synthèse :

Quand L'aluminium nous empoisonne, enquête sur un scandale sanitaire,

de Virginie Belle, éd Max Milo.

Commentaire de l’éditeur :

Quel est le point commun entre l'eau du robinet, le fromage, les biscuits, les crèmes nourrissantes, le fond de teint, le rouge à lèvres, les déodorants, le lait en poudre, les vaccins, les oeufs ? Tous ces produits contiennent de l'aluminium. Une substance nocive, révèle cette enquête exclusive et exhaustive. Quel est le point commun entre Alzheimer, Parkinson, l'épilepsie, l'anémie, la fatigue chronique, le diabète, la myofasciite à macrophages, l'asthme ? Toutes ces maladies mettent en cause de trop fortes doses d'aluminium. Or ces doses sont sous-estimées par les autorités sanitaires.

Que dire des vaccins obligatoires (diphtérie, tétanos, poliomyélite) imposés aux enfants dont la totalité concentre jusqu'à 8 mg d'aluminium alors que le seuil critique s'établit à 1,5 mg par dose ? Que penser du «syndrome de la guerre du Golfe», dont souffrent plus de 175 000 soldats, qui ne serait pas dû aux gaz eux-mêmes, mais aux batteries de vaccins préventifs que ces hommes ont subis ?

L'auteur a rencontré des témoins qui pour la première fois brisent la loi du silence. Cette enquête s'appuie aussi sur les conclusions récentes des plus grands spécialistes de la santé : le Comité consultatif mondial de l'OMS, les recherches de l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé, du Comité supérieur d'hygiène publique de France, de la Direction générale de la santé, et de nombreuses études scientifiques internationales.