Mais qui est donc Klaus Schwab, le pape du Nouvel ordre mondial[1] ?
Portrait de quelqu’un qui se veut du bien
Avant-propos
Patron du Forum[2] économique mondial (depuis 1987) ou World Economic Forum, initialement appelé Symposium européen du management, organisé à Davos (Suisse), qui réunit chaque année des dirigeant d’entreprise et des responsables politiques. Ce forum a la forme sociale d’une Fondation[3]. Il est partisan du ‘transhumanisme’ et prévoit l’implantation de puces, d’abord dans les vêtements, puis dans le cerveau pour « établir une communication directe entre le cerveau et le monde digital ». Il défend et promeut l'avènement de l’intelligence artificielle dans son ouvrage « La quatrième révolution industrielle », paru en 1917. En 2020, il lance son projet de planification économique appelé « La grande réinitialisation » (The Great Reset)[4].
Christine Mital, le 15 février 1996, titre son article du Nouvel Observateur, « Le G.O. du village planétaire », et écrit :
« Chaque année, début février, cet homme est atteint d'étranges symptômes : sa nuque se fait plus raide, sa démarche devient impériale. Sanglé dans un strict blazer bleu marine, chauve comme une mappemonde et ne perdant pas un pouce de sa haute taille, il n'avance plus que les épaules rejetées en arrière, le bras gauche replié derrière le dos et la main droite en avant, prête à être saisie. A Davos, au milieu des Alpes suisses, le Doktor Klaus Schwab, 58 ans[5], fondateur, animateur et grand responsable du World Economic Forum, accueille ses ‘invités’.
La lettre, presqu’intégrale, de P. Lefevre consacrée à Klaus Schwab
Le 4 mars 2021
Madame, monsieur, chère amie, cher ami,
«Klaus Schwab essaie-t-il de créer la quatrième révolution industrielle ou tente-t-il de créer le quatrième Reich?».
C’est sur cette question que le journaliste d’investigation du Royaume-Uni, Johnny Vedmore, conclut son excellent article (une véritable enquête) consacré au fondateur du Forum économique mondial «Schwab Family Values» (Les valeurs de la famille Schwab).
Bie nsûr, cette question n’en est pas vraiment une, car, lorsque l’on connaît le programme politique des participants de Davos, ce qui est le cas de Johnny Vedmore, on sait que ce qu’ils préparent en Occident, n’est ni plus ni moins qu’une organisation politique, administrative et policière digne du défunt III Reich qu’ils veulent faire renaître.
Un Reich épuré et «démocratisé», car les camps de concentration seront ouverts à tous (Les réfractaires à la vaccination obligatoire et les opposants à la dictature seront toutefois prioritaires).
Un nouveau Reich, avec ses esclaves (nous) vaccinés, médicamentés et sous une surveillance tous azimuts, au service de l’élite (eux), qui dirigera l’Occident grâce aux machines à voter qui leur attribueront perpétuellement la victoire à toutes les élections, maintenues afin de conserver les formes convenables d’une gouvernance «démocratique»
Ce futur empire des mondialistes possède déjà deux capitales, Bruxelles(Belgique), siège de la Commission européenne, et Francfort-sur-le-Main (Allemagne), siège de la Banque centrale européenne. Il en possédera peut-être un troisième, Washington...
Il possède également des Institutions secondaires acquises à sa cause : l’Union européenne et l’OMS.
La route qui y mène n’est qu’une plaisante balade pour les puissants amis de Klaus Schwab, Bill Gates et Georges Soros[6] en tête, mais c’est un enfer pour les insignifiants que nous sommes à leurs yeux !
Cette balade consiste à réactiver une partie du programme du Parti National Socialiste allemand de 1933[7], et une grande partie du programme du Club de Rome des années 1970 dans lequel l’eugénisme était à l’honneur.
Rappelons que le Club de Rome[8] a été fondé par Aurelio Peccei, industriel italien qui travailla pour Fiat, Alitalia et Olivetti(1908-1984), Alexander King, chimiste britannique (1909-2007) et David Rockefeller (1915-2017).
Le passé caché de Klaus Schwab et de sa famille
Pour en revenir à l’enquête de Johnny Vedmore, et alors que le projet des mondialistes et de Klaus Schwab est de réduire la population mondiale, on apprend que le père de Klaus, Eugen Schwab, s’est fourni en travailleurs forcés (esclaves au service du régime nazi) auprès du III° Reich lorsqu’il dirigeait depuis les années 1930 à Ravensburg (Allemagne), la branche allemande de la société d’ingénierie suisse Escher-Wyss.
Quant à papa Schwab la dirigeait, on apprend que la succursale d’Escher-Wyss à Ravensburg, était l’un des principaux employeurs de la ville allemande et que le Parti National Socialiste lui décerna le glorieux titre de «société modèle national-socialiste»
Les archives de l’OSS (Office of Strategic Services) parlent
L'OSS était une agence de renseignement du gouvernement des États-Unis qui fut créée le 13 juin 1942 (après l'entrée en guerre des États-Unis dans la Seconde Guerre mondiale) afin de collecter des informations et de mener des actions « clandestines ».
Elle fut démantelée en1945 pour être remplacée par la CIA. Les archives de l’OSS sont compilées dans celles du renseignement militaire des États-Unis. Et dans plusieurs dossiers contenus dans le «Record Group 226 -RG226», dont les dossiers N° 41589, daté d’août 1944 et n° 47178, daté de septembre 1944, il est fait état de l’étroite collaboration pour la fourniture d’armes, de machines et matières premières entre la société suisse et les militaires du régime nazi.
Aider à fournir l’arme nucléaire à Hitler, le rôle d’Eugen Schwab auprès d’Escher-Wyss.
Escher-Wyss utilisait la main-d’œuvre fournie par les nazis (dont des prisonniers de guerre français) pour les aider dans leurs efforts de guerre (entre 198 et 203 «travailleurs civils gratuits » et prisonniers de guerre travaillaient pour papa Schwab). Pendant toute la guerre, Eugen Schwab a parfaitement bien géré la «Société modèle national-socialiste» pour Escher-Wyss, qui aidait les nazis à produire des armes de guerre. En effet, Escher-Wyss fabriquait des pièces mécaniques pour les avions de combat allemands et, surtout, la société a conçu une turbine de 14.500 CV pour la centrale hydro-électrique de Norsk Hydro, qui était la seule usine capable de produire de «l’eau lourde» nécessaire à la production du plutonium qui devait servir à fabriquer la bombe A nazie.
Klaus Schwab marche dans les pas de papa Eugen Schwab.
Né en 1938 à Ravensburg, là où papa Schwab aidait avec professionnalisme et sérieux l’industrie militaire nazie au nom de la société suisse Escher-Wyss, Klaus Schwab, le fils aîné d’Eugen, obtint un diplôme d’ingénieur en 1962 (École polytechnique fédérale de Zurich), et il passe avec succès un doctorat en ingénierie dans la même école en 1966, année ou son père Eugen est élu président de la chambre de commerce de Ravensburg, là où il avait dirigé avec fierté une «Société modèle national-socialiste». L’année suivante, en 1967, alors qu’il a obtenu un doctorat en économie de l’Université de Fribourg (Suisse) et une maîtrise en «administration publique» de la John F. Kennedy School of Government de Harvard aux États-Unis, Klaus, le Klaus de Davos, prend la direction de la société suisse Escher-Wyss (ce qui a tant réussi papa) afin d’organiser une fusion avec d’autres sociétés.
Le Klaus Schwab de Davos, œuvre pour fournir l’arme nucléaire au régime de l’apartheid raciste d’Afrique du Sud.
Dans la famille Schwab, le père œuvra pour qu’Hitler arrive à posséder une arme nucléaire, et le fils œuvra pour fournir au régime de l’apartheid d’Afrique du Sud l’équipement nécessaire à la mise au point d’armes nucléaires, ce qui lui était alors interdit par différents accords internationaux. C’est à partir de 1967 et de l’arrivée aux commandes de Klaus que la société qui porte alors le nom de «Sulzer Escher-Wyss» (elle se nommera Sulzer AG en 1969) entre officiellement dans la course mondiale aux armements nucléaires.
Le fils réussit là où papa a échoué : l’Afrique du Sud de l’apartheid arrive à fabriquer 6 bombes nucléaires.
Alors que papa Eugen Schwab n’a pas réussi à permettre à Hitler d’avoir sa bombe A, le fils, Klaus Schwab, joua un rôle majeur fin que le régime d’apartheid d’Afrique du Sud fabrique six armes nucléaires (une septième sera partiellement assemblée). Les sources de cette information proviennent des autorités suisses elles-mêmes et du rapport d’un certain Peter Hug qui s’intitule «La Suisse et Afrique du Sud 1948-1994 -Rapport final du NFP 42+ commandé par le Conseil fédéral suisse. »
Le rapport Hug affirme que des preuves ont été trouvées au sujet «du rôle de l’Allemagne dans le soutien au régime raciste» et il relève que « le gouvernement suisse était au courant des accords illégaux, mais qu’il les a tolérés en silence, tout en soutenant certains d'entre eux activement...».
Notons pour conclure sur cette page d’histoire criminelle qui implique à la fois les autorités allemandes et suisses, ainsi que le Schwab de Davos, que malgré l’embargo adopté le 4 novembre 1977 par le Conseil de sécurité des Nations Unies (résolution 418), qui imposait un embargo obligatoire sur les armes contre l’Afrique du Sud (embargo levé en 1994), les banques suisses continuèrent à financer l’armement nucléaire sud-africain. Et en 1986, Sulzer Escher-Wyss (Sulzer AG) permit au régime de l’apartheid de produire des compresseurs spéciaux pour l’enrichissement d’uranium.
La création du Forum économique mondial : avec nos impôts!
C’est en 1970 que Klaus Schwab sollicita l’argent des impôts des citoyens européens auprès de la Commission européenne pour la création d’un «groupe de réflexion non commercial pour les chefs d’entreprise européens».
La Commission européenne finança l’affaire et c’est le commissaire européen chargé des affaires économiques et financières, le français Raymond Barre (qui cacha pas mal d’argent en Suisse), qui parraina la création de ce forum dont la première édition eut lieu en 1971 à Davos en Suisse, sous le nom de «Symposium européen sur la gestion».
Il fut organisé par Klaus Schwab et sa secrétaire Hilde Stoll avec qui il finira par se marier.
Dans la continuité du Club de Rome
Le Club de Rome a été fondé en en 1968 et il réunit ce qui est appelé «l’élite scientifique et monétaire» de la planète qui, tout comme le Forum de Davos, mais bien avant lui, fait la promotion d’un gouvernement mondial dirigé par une élite technocratique. Dans le sillage de Robert McNamara (secrétaire à la Défense de 1961 à 1968 sous les présidences Kennedy et Johnson aux États-Unis et pendant la guerre du Viêt Nam, puis président de la Banque mondiale de 1968 à 1981), dès sa création, le Club de Rome milita pour une réduction drastique de la population mondiale (on parla à son sujet de promotion de l’eugénisme).
Promouvoir des politiques de réduction drastique de la population mondiale
En 1991, le Club de Rome publia le livre The First Global Revolution dans lequel il était expliqué que des politiques de réduction drastique de la population mondiale ne pourraient s’appliquer qu’avec «le soutien populaire si les masses étaient capables de les lier à une lutte existentielle contre un ennemi commun.»
Avec cette prétendue pandémie, les dirigeants de Davos tentent de nous imposer un ennemi commun : le Covid-19.
En 2020, leur «gentil organisateur», Klaus Schwab, en a profité pour publier un livre qu’il a intitulé«COVID-19 THE GREAT RESET[9]» après avoir publié en 2017 «The Fourth Industrial Revolution» (La quatrième révolution industrielle)[10].
Alors, si elle vous était posée, que répondriez-vous à la question de Johnny Vedmore : «Klaus Schwab essaie-t-il de créer la quatrième révolution industrielle ou tente-t-il de créer le quatrième Reich ?».
Pierre Lefevre
(Du Collectif Libre Consentement Eclairé)
Tous les liens pour tout savoir, tout comprendre :
►https://unlimitedhangout.com/2021/02/investigative-reports/schwab-family-values/
En anglais et en intégral : l’enquête de Johnny Vedmore, journaliste et musicien entièrement indépendant de Cardiff (Pays de Galles)
►https://www.johnnyvedmore.com/
Le site officiel de Johnny Vedmore, avec toutes ses enquêtes (en anglais)
►https://www.babelio.com/livres/Schwab-COVID-19-La-Grande-Reinitialisation/1262548
La page Babelio de COVID-19 (tout à fait conventionnelle) : La Grande Reinitialisation, l’ouvrage manifeste de Klaus Schwab et Thierry Mallerey (Né en 1961, cofondateur et contributeur principal de Monthly Barometer, un service en ligne d'analyse prédictive dédié aux investisseurs privés. C'est l'un des faiseurs d'opinion les plus suivis tant par les spécialistes que par le grand public – Wikipédia). « Pour lui [Schwab], la solution [d’après Covid] idéale existe, c'est bien entendu le gouvernement mondial, le renforcement des instances internationales comme l'ONU, l'OMS, le FMI… » (Babelio, Bernard Viallet)
https://www.babelio.com/livres/Schwab-La-quatrieme-revolution-industrielle/901359
►La page Babelio pour “La Quatrième révolution industrielle”.
►https://libre-consentement-eclaire.fr/
Le lettre de Pierre Lefèvre « Libre consentement éclairé » pour ceux que cela intéresserait.
[1] Très curieusement ce terme est associé souvent (notamment dans l’encyclopédie Wikipédia aux théories du complet, mais K. Schwab est une réalité bien vivante dans La quatrième révolution industrielle (1917)
[2] Pour parler de ce Forum, Jacques Attali, dira dans un entretien au quotidien La Liberté et raconté par le journal Le point « Il ne faut rien voir de plus qu'une machine à café mondiale où des gens se rencontrent, bavardent, se serrent la main, échangent des tuyaux et s'en vont. Davos est une opération commerciale très efficace où il faut payer très cher pour participer. » (Le Point, 20 janvier 2016).
[3] Une fondation est une personne morale de droit privé à but non lucratif créée par un ou plusieurs « donateurs », eux-mêmes pouvant être personnes physiques ou morales, théoriquement pour accomplir une œuvre d’intérêt général. Aix Etats-Unis, par exemple, il y a plus de 150.000 fondations. En France « Le terme de fondation est défini par l'article 18 de la loi du 23 juillet 1987 : « Une fondation désigne l’acte par lequel une ou plusieurs personnes physiques ou morales décident l’affectation irrévocable de biens, droits ou ressources à la réalisation d’une œuvre d’intérêt général et à but non lucratif ». Le siège de celle de Davos est à Genève.
[4] Klaus Schwab et Thierry Malleret: COVID-19 : La Grande réinitialisation
[5] 24 de plus aujourd’hui. Le temps passe pour tout le monde.
[6] Sur Georges Soros, je rappelle le texte que je lui ai consacré à partir d’un article de Vincent Barbé et Olivier Laurent (article n° 36 de mon blog)
[7] N’oublions pas qu’une des premières lois nazies, celle du 1er janvier 1934 fut la « loi pour la prévention des maladies héréditaires » qui a légalisé la stérilisation de force de nombreux malades. La vaccination obligatoire ou de force envisagée pour nos populations actuelles avec du matériel génique risqué pour le genre humain rappelle étrangement la volonté « sanitaire» nazie
[8] Le Club de Rome se présente comme un groupe de réflexion (think tank) international. Ce groupe ou cercle de réflexion se fit mondialement connaître en publiant en 1972 un rapport sur « Les limites de la croissance » (Le Monde diplomatique : https://www.monde-diplomatique.fr/mav/167/DESCAMPS/60401)
[9] Cf la note n° 4 ci-dessus.
[10] Dunod, 2017. « La quatrième révolution industrielle ne ressemble à rien de ce que l’humanité a connu par le passé. Avec les nouvelles technologies, la fusion des mondes physique, numérique et biologique porte autant de promesses que de dangers potentiels. » (Babelio : https://www.babelio.com/livres/Schwab-La-quatrieme-revolution-industrielle/901359)
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