06 septembre 2021

55.L’islam, l’islamisme, on en parle, parlons-en… - Lydia Guirous

 

Sur l’islamisme, juste un point de vue différent

 
 « Ça n’a rien à voir avec l’Islam ?

Face à l’islamisme, réveillez-vous, réveillons-nous ! »

 

Par Lydia Guirous, chez Plon

 

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J’ai choisi ce livre parce qu’il m’apportait le point de vue critique d’une personne de culture maghrébine et musulmane sur des comportements qui envahissent de plus en plus notre paysage culturel avec des us et coutumes d’un autre âge.

 

Dès sa préface son « appel au sursaut, à la survie » m’a ébranlé après sa citation du poème du pasteur Martin Niemöller (1892-1984), déporté à Dachau :

 

Ils sont d’abord venus chercher les socialistes, et je n’ai rien dit

Parce que je n’étais pas socialiste

 

Puis ils sont venus chercher les syndicalistes, et je n’ai rien dit

Parce que je n’étais pas syndicaliste

 

Puis ils sont venus chercher les Juifs, et je n’ai rien dit

Parce que je n’étais pas juif

 

Puis ils sont venus me chercher, et  il ne restait plus

personne pour me défendre

 

L’auteure a choisi cette citation parce qu’elle compare l’islamisme mortifère et les actes barbares qu’il engendre au nazisme.

 

J’ajoute que depuis quelques années des milliers de chrétiens sont massacrés au Moyen Orient sans qu’aucun média français ne le signale.

 

 

 

 

Lydia  Guirous, née en Algérie, issue d’un milieu modeste d’origine Kabyle, vit en France et y a  fait ses études. Auteure de plusieurs livres. En 2017 elle a été saluée par E. Badinter pour son combat pour les femmes, la laïcité et contre le communautarisme.

Le prologue de l’auteure est un appel à la majorité silencieuse des musulmans pour qu’ils sortent de leur silence.

 

«L’islamisme n’est pas une déviance sectaire. Ce n’est malheureusement... que l’islam dans sa lecture violente et politique... qui prend sa source dans le Coran, et en est une partie intégrante. On ne peut pas l’isoler de la religion musulmane et faire semblant de croire qu’il concerne seulement des groupuscules fanatisés… Le ça n’a rien à voir avec l’islam ! Fréquemment entendu ne suffit plus. Désormais l’heure n’est plus aux louvoiements, aux demi-mesures, ni à la victimisation. Être musulman n’est ni une immunité, ni une incapacité, ni un passe-droit. Assumons enfin, la part de responsabilité des dérives de l’islam et d’une partie des musulmans de France….L’islamisme qui prospère en France n’a pour objectif ni la foi individuelle, ni le repos de l’âme, mais la conquête du pouvoir. Hégémonique, son dessein est de s’imposer aux démocraties occidentales. Déjà il se répand comme une gangrène. Hélas personne ne semble déterminé à stopper sa progression pour préserver ce qu’il nous reste encore d’identité et d’humanisme...Les islamistes nous méprisent et nous haïssent...Ils souhaitent notre soumission, notre destruction, veulent imposer aux pays dans lesquels ils vivent... leurs lois, leur mode de vie et leurs codes. Plus l’islam politique avance, plus la régression culturelle sur fond de religiosité exacerbée d’une partie des musulmans s’accélère...Le communautarisme forcené...est à l’origine de bien des victoires du FN… Une mesure s’impose: procéder à une mise à jour, courageuse, sans détours, du Coran lui-même... pour faire entrer  cette religion dans le XXIè siècle. Un islam respectueux de la République et de la France, compatible avec une vie en Occident… Le silence ne doit plus être un refuge tant il est désormais perçu comme un soutien à l’islam des salafistes et des Frères Musulmans… Il est venu le moment d’admettre que personne n’est victime de tout et responsable de rien. Il est urgent de réaliser que la volonté de scission religieuse et culturelle d’une partie des musulmans fait de la France une poudrière…  S’assimiler, être farouchement républicains et irrémédiablement français, voilà le chemin à prendre. Soyons la résistance à la peste verte et à son cortège de fous et de sournois venus du tréfonds de l’inhumanité et de la barbarie…»

 

« La distinction entre islam et islamisme est de plus en plus ténue… Il nous faut clairement manifester notre attachement aux droits de l’homme et à la liberté… en cessant de nous cacher et de nous complaire dans un silence aussi troublant que destructeur

 

Car pour Lydia Guirous : «Dénoncer l’islamisme en France est un devoir pour tout citoyen quelles que soient ses origines.  Dénoncer l’islamisme, c’est tenter de relever une République que beaucoup évoquent dans les mots pour mieux la lâcher dans les actes (Elle fait évidemment allusion à beaucoup d’hommes politiques de divers partis.)

 

« Dans l’islam de France on retrouve essentiellement des hommes qui maintiennent ‘une lecture passéiste, sexiste et anachronique de cette religion’ dont ‘les femmes sont les premières victimes’

 

Elle écrit en préface : « C’est avec effroi ...que je vois mon pays d’adoption et de cœur, la France,...dériver, s’oublier, hésiter dans sa lutte contre l’islamisme... (Il faut) encore et encore poursuivre le combat, maintenir la pression pour contrer les islamistes chaque fois qu’ils tentent de s’infiltrer et de déstabiliser nos organisations, associations, clubs sportifs, syndicats, écoles, universités, services publics, espaces publics...Ni la peur ni les procès en «islamophobie» ne doivent nous faire douter...Ils sont la haine et la mort.»

 

Elle ne veux pas retrouver en France «les angoisses de (son) enfance, la peur de ces barbus, cette escalade du pire.» (qu’elle a connu en Algérie).

«La République n’est pas un acquis, c’est un combat quotidien, encore plus aujourd’hui.»

« Chaque citoyen doit se ressaisir pour combattre à son échelle et les décideurs doivent enfin revêtir les habits du courage qui leur manquent tant pour que Marianne relève la tête. »

« Où sont les musulmans d’hier, «dits modérés, ouverts d’esprit, amoureux de la liberté, en quête de démocratie et de progrès.»?

«Les troisièmes et quatrièmes générations issues de l’immigration... se vautrent dans la posture si lâche de l’éternel opprimé.»

«Aujourd’hui au pays de Voltaire, la liberté d’expression en vient à être bordée par ce que les islamistes nous autorisent ou non à penser, à mentionner.»

 

Elle se demande effarée : «Pourquoi, alors que le monde occidental a plus d’égards et de considération pour les musulmans que les pays musulmans  eux-mêmes.  Chez nous, le repli communautaire s’accentue-t-il ? »

 

« Cette communauté religieuse  transnationale est un agrégat d’hypocrites, toujours prêts à montrer la paille du racisme dans l’œil de la France sans voir la poutre de la xénophobie dans le leur...il existe un racisme profond, terrifiant chez certains Maghrébins, souvent hérité de la culture de leur pays d’origine, où la personne noire est rejetée… En France, dans les quartiers, le racisme s’exprime sans complexe et dans une totale impunité : à l’encontre des Juifs... des Français... des Asiatiques... des Pakistanais… Les associations antiracistes refusent d’évoquer le racisme décomplexé des potes… Le racisme entre minorités musulmanes ...s’exprime dans les demandent de lieux de culte. Les Turcs ne veulent pas prier avec les Maghrébins qui ne veulent pas des Maliens, qui ne veulent pas des Comoriens, etc. »

 

« Ceux qui évoquent en permanence la religion pour marquer leur différence oublient que celle-ci, en fait, gomme leur diversité... La religion n’est pas un élément suffisant pour constituer une nation... Je ne me sens aucun point commun avec un Turc ou un ÉgyptienJe préfère l’époque où, respectueux de la France, vêtus à la française, nous évoquions avec nostalgie les souvenirs de nos pays d’origine… Les islamistes, eux, tentent de faire des Français musulmans des objets dévoués et voués à servir une religion politisée et conquérante...Refusons cette dérive fermement et définitivement ! Ouvrons, enfin, les yeux ! »

 

« Les islamistes installent un apartheid ethnico-religieux : pression sociale, culpabilisation et peur imposent des normes rigoristes à une part croissante de musulmans qui, jusqu’ici, vivaient leur religion sans ostentation. Cet exhibitionnisme islamique ...se transforme en pression constante... Par une occupation systématique, visible, violente, ...ils ont rendu impossible toute cohabitation avec  ceux qui ne partagent pas leur vision de l’islam, de la femme, qui réfutent leur mode de vie...» »

 

« L’islamisme n’est rien d’autre qu’un projet totalitaire que certains aveugles volontaires refusent de voir comme tel. Une attitude dangereuse, car lorsqu’on nie un mal déjà présent, il finit par s’imposer à vous. C’est le cas de maladies que l’on ne traite pas assez tôt. Ce fut celui du nazisme, dont des dirigeants refusèrent de voir la montée en puissance... L’islamisme et le nazisme ont beaucoup de similitudes...» (énumérées pages156/157)

 

Projet totalitaire avec « une stratégie d’encerclement : conquérir la base, infiltrer les sommets...Ils ont procédé ainsi en Algérie, en Tunisie, en Égypte et s’y mettent  aujourd’hui en France, sous le couvert d’ONG humanitaires

 

« L’Imam Hassan Iquioussen, formé par l’UOIF ( Unions des Organisations islamistes de France), lors d’un prêche en  Décembre 2012 à Garches, invitait tous les musulmans à aller voter  pour faire une démonstration de force auprès des élus et exercer une pression sur eux... »

 

« Les actions et influences des Frères Musulmans sont relayées par des journalistes et des médias communautaristes...Les propos anti-France, racistes, misogynes, homophobes et antisémites de certains membres de leur rédaction me choquent...» (Par exemple: Les Kids)

 

« Les islamistes attirent dans leurs filets les jeunes médiatisés dont l’obsession est d’accuser la France d’islamophobie… pourtant... leur ascension sociale est souvent le fruit de la discrimination positive. Ce soutien, cet accès à des stages et des postes au sein de rédactions - qui ne les auraient sans doute pas recrutés sans la mise en place de ces dispositifs d’égalité des chances - ne développent pas chez eux le moindre sentiment de reconnaissance ou de gratitude envers la RépubliqueD’autres médias sombrent dans l’islamogauchisme, se faisant les relais et soutiens de l’islamisme. Les Inrocks et France Inter connaissaient leurs messages... Ces relais de la pensée islamo-communautaristes, ces idiots utiles qui réclament une repentance permanente... s’en prennent à certains défenseurs de la République et de la laïcité... Ils sont même soutenus par les activistes de l’islamo-communautarisme comme Edwy Plenel, patron de Médiapart, devenu la coqueluche des militants anti-islamophobie. Ils accompagnent l’infiltration des rédactions...en faveur d’une vision relativiste, alliée de l’islamisme.»

 

« Les promoteurs du concept d’islamophobie (CCIF, UOIF) entendent imposer avec ce terme une nouvelle censure. La liberté d’expression s’arrêterait donc là où les tenants de l’islam politique le décident ? … Ce concept fumeux d’islamophobie a pour premiers défenseurs les identitaires islamistes, des associations dont les prises de position sont souvent empreintes d’anti-sémitisme et de racisme anti-blancs...Le communiqué du CCIF au lendemain de la décapitation en Isère du chef d’entreprise H. Cornara en Juin 2015, dénonçait le problème de l’islamophobie et non du terrorisme. Cynisme et provocation inouïs

 

« Les islamistes infantilisent et instrumentalisent cette nouvelle communauté religieuse dont le poids électoral est important...et se vendent aux plus offrant lors des élections. La gauche aime souvent flirter avec eux...»

 

Le collectif « Ensemble», mouvement pour une alternative de gauche écologiste et solidaire, dont le porte-parole est Clémentine Autain (Front de gauche), diffusa un appel à se rendre à un meeting à St-Denis, en Décembre 2015, avec pour intervenants Tariq Ramadan et Marwan Muhammad. Celui-ci déclarait à la mosquée d’Orly : « Qui a le droit de dire que la France dans trente ou quarante ans, ne sera pas un pays musulman... Personne n’a le droit de nous nier cet espoir-là...» Propos rapportés par E. Schemla, ancienne rédactrice en chef au Nouvel Observateur. Une vidéo a circulé sur le web avec ces propos avant d’être retirée puis contestée.

Il semble que les opinions religieuses aussi archaïques, obscurantistes, xénophobes  et intolérantes que l’islamisme bénéficie de l’indulgence complaisante de courants de gauche.

 

« La dissimulation est l’un des enseignements des Frères Musulmans, avec lesquels le double discours est toujours de règle... et sont maîtres dans l’art d’inverser les rôles... Le concept d’islamophobie est un piège tendu aux musulmans et à la République. Avec lui les premiers sont mis sous cloche, dans une position exclusive de croyants, encouragés à ne pas s’intégrer. A cause de lui la seconde sombre dans une paralysie liée à la peur de paraître intolérant...»

 

Les islamistes pensent que c’est à la France de s’adapter à eux comme si la France n’avait pas de valeurs, de principes, d’histoire et de traditions. « Adaptation, pour eux, est synonyme de tolérance.»

 

« En recourant à la victimisation permanente, les leaders de ce communautarisme forcené ont sapé l’image des musulmans depuis plus de trente ans, au point de s’être fait les artisans du racisme et de la stigmatisation...Combien de temps va durer le misérabilisme dans lequel certains - surtout représentants auto-proclamés - se complaisent sur les plateaux TV ?

 

L’auteure dénonce, exemples à l’appui, le repli identitaire et religieux, la forte régression avec pratiques misogynes, mariages sous condition de conversion, contrôle de la virginité des filles, l’instrumentalisation des femmes et de leurs tenues, les pratiques racistes avec rejet de la diversité et de l’altérité, l’homophobie,  qui sont toutes tolérés actuellement dans la République française par manque de courage de nos élus vis-à-vis du régime de terreur installé par les islamistes.

 

Elle constate le déclin de la France et de l’Occident avec recul des droits notamment des femmes qui représentent un « enjeu  central dans la stratégie des musulmans intégristes d’Occident » avec l’embrigadement de la jeunesse de diverses manières, y compris par la mode, ou « le féminisme islamique, contrefaçon du féminisme.»

 

Elle écrit qu’elle regrette que la France ne se fasse pas mieux respectée et tolère trop de chose de gens « qui ne veulent rien d’autre que piétiner et détruire la République et la  France.»

 

Elle décrit « l’absence d’humanité et de compassion de fausses bigotes » rencontrées chez les militantes du hijab, l’archaïsme religieux qui tient en otage beaucoup de femmes vivant prisonnières en France.

 

Pendant que « des saoudiennes, des Afghanes, des Pakistanaises, des Égyptiennes, des Maliennes,des Algériennes luttent pour leur émancipation, se battent pour quitter leur vie d’esclave », des femmes françaises  « nous enfument avec la liberté de se voiler et le féminisme islamiste.»

 

« L’islamisme est en passe de gagner la bataille des idées. Aujourd’hui il doit être rejeté en bloc sans demi-mesure. Refuser de le faire c’est participer à la mort lente de la civilisation occidentale et de l’âme de la France, première cible des islamistes. »

 

« La foi est personnelle, elle ne doit pas heurter la liberté de croire ou de ne pas croire d’autrui.»

L’auteure exhorte ses coreligionnaires musulmans à ne pas se « laisser enfermer dans la case réductrice du fidèle dénué de sens critique à laquelle l’islam politique veut nous réduire.»

 

Elle exhorte ses compatriotes français à ne pas accepter que « notre identité culturelle, notre langue, notre mode de vie (soient) attaqués chaque jour. (Car) une société qui perd sa culture est une société qui se meurt, un pays qui renie son histoire est un pays qui se déracine, se retrouve sans âme, voué à disparaître...Aujourd’hui, en France, par clientélisme pur, certains élus ont toléré l’intolérable et sacrifié la laïcité

 

Elle précise : « Ce n’est pas un apartheid social dont souffrent les banlieues mais d’un apartheid républicain où elles se sont enfoncées elles-mêmes, souvent poussées par les islamistes et les élus faibles moralement et électoralement corrompusSi rien ne change l’unité républicaine implosera...et la division se répandra...sur le territoire jusqu’à l’avènement d’une société communautarisée violente et obscurantiste. Un séparatisme religieux qui mènera sans doute à l’émergence d’un État dans l’État

 

« L’islam et l’assimilation des populations issues de pays musulmans sont un enjeu majeur des pays européens. La montée en puissance des partis populistes dans différents états...est un signal envoyé par les électeurs aux dirigeants pour exiger des réponses et des actes. Mais la peur des procès en racisme et en islamophobie paralyse une majorité des acteurs de la classe politique de ces pays, comme du nôtre. L’angélisme et la volonté de se valoriser en considérant les populations issues de l’immigration comme uniquement des laissées-pour-compte, des victimes ghettoïsées incapables de s’adapter à un mode culturel, sont une grave erreur d’appréciation qui a conduit à l’état inquiétant que nous connaissons actuellement. Combien de massacres terroristes faudra-t-il avant de voir nos élus ouvrir les yeux et entamer un combat identitaire, culturel et philosophique au nom de nos valeurs politiques héritées des Lumières ? »

 

« L’enjeu de l’assimilation de l’islam, de son adaptation aux valeurs et au mode de vie de l’Occident se jouera ...en Europe» car elle compte 44 millions de musulmans, soit 6 % de la population. (Aux USA seulement 0,6 % de musulmans).

 

Le mépris de l’Occident, caractéristique du repli identitaire des musulmans est un problème européen qui se retrouve aussi au Québec. Le problème n’est donc pas ni la laïcité française ni la discrimination de la République française : « Les pays communautaristes (Belgique, Pays-Bas, Suède, Royaume-Uni…) rencontrent les mêmes difficultés, la même violence.»

 

Il faut donc vraiment ouvrir les yeux sur le refus de s’adapter des intégristes comme si tous les pays devaient se plier à leurs us et coutumes sous peine d’être poursuivis pour discrimination ou racisme et subir la violence, et cesser de se laisser manipuler par eux.

 

L’auteure rappelle aux populations issues de l’immigration que les tracas qu’ils rencontrent, inadéquation des diplômes, chômage, problèmes de logement, fins de mois difficiles, insécurité, etc. sont endurés par tous les Français et leur demande de rester « des citoyens dignes qui agissent pour leur pays et non des collabos des islamistes » pour qui l’islam est devenu celui de la régression et de la violence et n’a plus rien à voir avec la religion qu’elle a connu, pratiquée par ses parents et grands-parents en Algérie.

 

L’auteure termine son livre par cette profession de foi :

« Je ne renoncerai jamais à la liberté d’être française. Je ne renoncerai jamais à l’égalité entre les hommes et les femmes qu’offrent les démocraties occidentales. Non, je ne renoncerai jamais face au joug de l’islamisme, car je ne céderai jamais devant l’ignoble. Ecrasons tous ensemble, enfin,  l’infâme.»

 

En annexe elle cite le genre d’injures et de menaces qu’elle reçoit en défendant la France, la laïcité, les droits des femmes.

 

 

 

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