27 février 2023

151. Quand ARTE parle des effets secondaires des injections anti-covid

 

La chaîne européenne ARTE et les effets indésirables


 
Compte-rendu et commentaires sur une émission de télévision

 


ARTE Regards - Des histoires d’Européens

 

https://www.arte.tv/fr/videos/107194-057-A/arte-regards-vaccination-anti-covid/

 

 

Avant-lire


Que ARTE daigne consacrer une émission de 30 minutes aux effets indésirables des « vaccins » anti-covid est déjà en soi une (bonne ?) surprise. Tout le long de ces années covid que l’on vient de vivre, la chaîne européenne n’a cessé d’afficher une position complaisante et un regard bienveillant vis-à-vis des politiques officielles des deux pays financeurs de la chaîne – la France et l’Allemagne[1].

 

Or, dis-moi qui te finance… Je te dirai ce que tu penses

 

Les deux pays ont été loin d’offrir un regard critique sur la « pandémie » et, donc, ARTE, aussi.

 

Donc, cette émission avait de quoi, d’emblée, surprendre un peu.

 

De quoi s’agit-il ? D’une vraie reconnaissance du phénomène des « Effets secondaires » qui secoue les pays et beaucoup de rédactions ? Non, n’exagérons rien.

 

ARTE examine deux cas de jeunes frappés par  des graves problèmes de santé après les injections. Touchantes histoires.

 


Mais ARTE truffe la narration de commentaires on ne peut plus tendancieux et pro-vaccinalistes.

 

Ainsi, ARTE parle des deux victimes, non sans glisser au passage que les cas d’effets indésirable ne sont qu’une « infime » proportion.

 

Ainsi, ARTE, dans le cadre de son enquête interroge, en tout et pour tout, deux médecins : tous deux fervents défenseurs du vaccin anti-covid.

 

Ainsi ARTE minimise non seulement le nombre mais aussi la gravité des cas et va même jusqu’à mettre en doute ouvertement que les maux dont souffrent les jeunes malades puissent être attribués aux injections.

 

S o m m a i r e

 

Les victimes du « vaccin » C19

Le premier témoin : Pascal, 35 ans.

Après la première dose

Second témoin : Tamara, 28 ans

En dépit de son état, Tamara a décidé d’aider d’autres malades

Des hôpitaux, impuissants, se défaussent

Les pauvres commentaires d’ARTE

Les médecins interrogés persistent et signent

Ce qui est habituellement tu par les médecins pro-vaccinalistes.

Un aveu involontaire ?

Pourquoi il faut visionner cette vidéo

 

 

 

 


 

 

Deux victimes du « vaccin » C19

 

Arté présente deux témoins : deux personnes dont la vie a changé du tout au tout entre  leur situation avant l’injection dite de « vaccination » et après celle-ci.

 

Le premier témoin : Pascal, 35 ans.

 


Avant vaccination, adulte dynamique très sportif, autonome économiquement, vie indépendante et bien remplie, relationnel riche.

 

Après injection anti-covid (2 doses) : dégradation très rapide, devient infirme, dépendant de ses parents, ayant perdu travail et relations, une indemnité provisoire de 6 mois, insuffisante pour se payer les services dont il a besoin et sans perspective d’aide économique de l’Etat à plus long terme.

 

Il est diminué physiquement et psychologiquement par la détresse d’être devenu inutile et dépendant.

 

A maigri de 15 kg et partiellement paralysé,  il ne peut plus contrôler ses muscles. Les choses les plus simples ne lui sont plus possibles. Par exemple il montre devant la caméra qu’il est incapable d’ouvrir un beurrier, sa main ne lui obéit pas. Malgré un déambulateur indispensable, il peut tomber à cause de ses vertiges. Les escaliers sont une épreuve pour lui. Les médecins lui annonce un fauteuil roulant à vie.

 

Après la première dose

 

Suite à la première dose il a eu des convulsions et des troubles dans les jambes.

 

A la 2e dose, il s’est senti de plus en plus faible puis rapidement les troubles de plus en plus graves sont apparus : perte d’équilibre et chutes, paralysie partielle, etc.

 

Le traitement qui pourrait peut-être le soulager, une hémodialyse de sang,  coûte 15.000 Euros, non remboursé.

 

Second témoin : Tamara, 28 ans

 

Avant vaccination, adulte heureuse dans un travail créatif de gestion d’un centre ville. Sportive, surfeuse, jamais malade.

 

Après injections anti-covid, acceptée  pour garder son emploi,  des symptômes et surtout un très grand  épuisement l’empêchent de travailler. Après 5 mois d’arrêt de travail, elle est licenciée avec une indemnité provisoire et sans perspective d’aide de l’État.

 

Aucun traitement ne lui est proposé. Quand elle signale que son état est post-vaccinal, aucun médecin ne veut ni l’examiner ni la soigner, aucune institution médicale ne veut la prendre en charge.

 

En dépit de son état, Tamara a décidé d’aider d’autres malades et ce vu le manque de réaction des hôpitaux et des autorités allemandes

 

Malgré son état et devant l’impossibilité de trouver une aide auprès des services de santé, elle crée un groupe d’entraide quand elle s’aperçoit que son cas n’est pas isolé. Beaucoup d’autres victimes  des injections expérimentales présentées comme vaccins anti-covid, se retrouvent face à un mur d’incompréhension et d’inertie de la part des mêmes qui les ont poussé à subir ces injections. Certaines victimes moins résilientes que Tamara sont suicidaires.

 

Des hôpitaux, impuissants, se défaussent

 

Des hôpitaux et des médecins de la région de Marbourg renvoient les malades victimes des injections à ARN vers Tamara et son réseau d’entraide, cela confirmant l’absence d’accueil et d’aide pour les victimes des injections anti-covid.

 

Des milliers de jeunes adultes sont victimes d’effets secondaires graves, aucun  traitement n’est proposé et ni l’État, ni la Médecine ne reconnaissent le préjudice. Avec une reconnaissance des effets post-vaccinaux, l’État devrait alors indemniser les victimes. Leur quotidien serait au moins un peu plus confortable à défaut de retrouver une vie normale.

 

Les pauvres commentaires d’ARTE sur une réalité poignante

 

Le commentateur d’ARTE insiste sur le pourcentage des victimes qui, selon lui, serait faible. Même si ce pourcentage était aussi faible qu’il l’annonce, 0,02 %, en contradiction avec d’autres sources de renseignements statistiques, cela représente tout de même des milliers de victimes pour l’Allemagne (37.200) qui a fourni 180 millions de doses, sans chercher à connaître leur composition et leur réelle utilité. 

 

Actuellement les médecins et autorités de santé d’Allemagne qui ont ordonné ces injections expérimentales à ARN génétiquement modifié,  refusent d’en reconnaître les séquelles nombreuses et graves, sans parler des surmortalités apparues en 2021 et 2022 dans les statistiques officielles.

 


Les médecins interrogés persistent et signent

 

Une interview d’un professeur de médecine, le Pr. Schiffer, partisan de la vaccination, considère négligeables les dégâts collatéraux de ce qu’il continue de nommer campagne de vaccination, pour les injections expérimentales d’OGM et trouve justifiée l’absence de reconnaissance des séquelles car cela « ferait du tort à la campagne de vaccination » énonce-t-il sans rougir.

 

Les deux médecins qui interviennent dans cette émissions sont pro-vaccinalistes, la parole n’est donnée à aucun des médecins ayant remis en cause la propagande « vaccinaliste » qui a conduits des millions de gens à se faire injecter des substances OGM inconnues.

 

Par contre par la voix du professeur de médecine interrogé, on apprend que le pourcentage d’effets secondaires graves ne le surprend car il lui semble dans la moyenne des effets secondaires graves des vaccinations classiques habituelles.

 

Ce qui est habituellement tu par les médecins pro-vaccinalistes.

 

Le nombre de victimes des vaccins classiques ne serait donc inférieur que du fait d’une couverture vaccinale moindre par rapport aux millions de doses distribués pour les injections anti-covid.

 


Un aveu involontaire ?

 

Il faut donc cette catastrophe sanitaire de 2021/2022 pour que soit diffusé sur des ondes TV que tous les vaccins ont un pourcentage important de victimes dont la vie ne sera plus jamais celle qu’ils auraient pu avoir sans vaccination.

 

Et que cet état de fait, connu par les médecins et les autorités sanitaire, est accepté sans débat démocratique, y compris pour des maladies insignifiantes ou en voie de disparition.

 

Pourquoi il faut visionner cette vidéo

 

Cette vidéo doit être vue avec l’esprit critique qui convient, car, même si elle est partiale et partisane, les intentions propagandistes de la chaîne « culturelle » franco-allemande n’échapperont pas à la sagacité du spectateur attentif.

 

Et puis, il y a les deux témoins, deux victimes : ils nous touchent ; leur cas qui, nous le savons, est le cas d’un nombre incalculable de personnes, même si ARTE fait tout pour le dissimuler, est dramatique. Et le fait que des hôpitaux d’un des plus riches pays du monde envoient leurs patients à Tamara, une victime, pour qu’elle les aide là, où l’hôpital ne peut pas les aider, est exemplaire : il montre dans quelle situation se trouve la Santé dans les pays civilisés : à la dérive !.



[1] Un financement public à 95 %. Offre publique, ARTE est financée à 95 % par la France et l’Allemagne selon les modalités de financement de l’audiovisuel public propres à chaque pays. En France, l’audiovisuel public est actuellement financé par une fraction de la TVA. En Allemagne, une contribution à l’audiovisuel public est la principale source de financement des chaînes publiques. La Chaîne ne diffuse pas de publicité, sauf campagnes d’intérêt général et a la possibilité de développer ses recettes propres, en particulier par du parrainage. Basée à Strasbourg et composée à parité de deux pôles d’édition et de fourniture de contenus — ARTE France et ARTE Deutschland TV GmbH — la Chaîne est un groupement européen d’intérêt économique (GEIE). Les pôles financent ensemble et à parts égales le siège à Strasbourg et fournissent chacun 40 % des programmes qu’ils produisent ou achètent selon l’organisation de l’audiovisuel public et les modes de production spécifiques à la France et à l’Allemagne. Les 20 % restants proviennent de la Centrale strasbourgeoise et des chaînes européennes partenaires. Les trois entités sont juridiquement indépendantes et présentent chacune un bilan, un compte de résultat et un rapport de gestion. (source : https://www.arte.tv/sites/fr/corporate/financement/#:~:text=Offre%20publique%2C%20ARTE%20est%20financ%C3%A9e,une%20fraction%20de%20la%20TVA.)

 

 

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