20 février 2023

150. Mais qu'y a-t-il donc dans les "vaccins" anti-covid ? - Corinne Lalo et la revue NEXUS

 

Mais qu’est-ce qu’il y a donc dans les vaccins à ARNm ?

 

Du graphène, bien sûr, on l’a vu dans un article récent publié ici même[1], mais hélas ! pas que…

 

D’après Corinne Lalo et  la revue NEXUS n° 144

 

Avant-lire

Paru dans la revue (libre !) Nexus[2] n°144, Janvier-Février 2023, de Corinne LALO[3], journaliste d’investigation et grand reporter, spécialisée en santé-environnement, l’article  « Enquête Covid-19. Vaccins à ARNm. Des substances préoccupantes » avance les résultats d’analyses réalisées par des organismes indépendants, résultats qui n’ont rien de réjouissant.

 

Corinne LALO a travaillé pour France 3, TV5 Monde et TF3. Elle est l’auteure de plusieurs livres dont Le Livre noir du médicament (Plon, 2011) et Le Grand Désordre hormonal (Le Cherche Midi, 2021).

 

Quels sont les composants officiels des injections à ARN, baptisés vaccins anti-Covid et les ingrédients non déclarés, dénoncés par des groupes de scientifiques ayant analysé ces injections expérimentales ?

 

S o m m a i r e

 

Les toxines, la clef des vaccins d’antan

Mais, dans les injections à ARN… bio-ingénierie et donc OGM

Le danger d’un effondrement immunitaire

Le triple risque des injections à ARN

1 - La présence de nanoparticules

2 - Un ARN synthétique qui n’existe pas dans la nature

3 – La protéine Spike

Le risque de modification du génome humain

Les autorités de régulation ne s’intéressent pas à la question de fond

Les toxines, la clef des vaccins d’antan

La toxicité de la protéine Spike

Hétérogénéité dans les lots de vaccin

Des malformations chromosomiques possibles ?

Effets systémiques de la protéine Spike ?

Des composants officiels aux composants clandestins

Des questions légitimes et des défaillances coupables des autorités

 

 


 

Les toxines, la clef des vaccins d’antan

 

Les vaccins classiques devaient rester à l’extérieur des cellules humaines, c’étaient en théorie des vaccins extracellulaires. Mais il arrivait malgré tout que des adjuvants pénètrent dans les cellules, en particulier l’aluminium, adjuvant dénoncé par certains médecins (comme le Pr. Joyeux[4]).

Dans ces vaccins extracellulaires c’étaient les toxines qui étaient injectées et qui restaient à l’extérieur des cellules, même si des codes génétiques microbiens génétiquement modifié  étaient utilisés dans les vaccins des dernières décennies.

 

Mais, dans les injections à ARN… bio-ingénierie et donc OGM

 


Avec les injections  à ARN, les gens-cobayes ont reçu un code génétique de virus modifié génétiquement et synthétisé par des techniques artificielles de bio-ingénierie c’est-à-dire un OGM (organisme génétiquement modifié). Cet OGM injecté a pour rôle de faire fabriquer par la cellule humaine elle-même le virus choisi ou une protéine du virus, ce qui est en réalité une toxine étrangère contre laquelle le corps va devoir lutter. Ce procédé qui vise à tromper l’organisme avec des substances synthétiques imitant les cellules humaines, est la source potentielle de dérèglements du système immunitaire avec apparition de maladies auto-immunes.

 

Le danger d’un effondrement immunitaire

 

Les vaccins classiques extracellulaires peuvent aussi provoquer des maladies auto-immunes, mais le risque est considérablement accru avec les vaccins intracellulaires puisque la cellule hôte qui fabrique la toxine virale sera elle aussi combattue et détruite par le système immunitaire.

Les cellules immunitaires elles-mêmes peuvent servir de cellules hôtes et se mettre à fabriquer ces toxines étrangères. Elles seront donc ciblées par d’autres cellules du système immunitaire et détruites. Cette destruction peut à terme provoquer un effondrement immunitaire, porte ouverte à toutes les maladies opportunistes, ce qui se passe avec le sida ou syndrome d’immunodéficience acquise.

 


Le triple risque des injections à ARN

 

1 – Danger dû aux nanoparticules qui jouent le rôle de contenant transporteur du principe actif des injections.  2 – Danger dû à l’ARN synthétique, dont le code est génétiquement modifié, qui représente le contenu actif des injections.  Et 3 – Danger dû à la protéine Spike, toxine fabriquée par la cellule hôte, le produit toxique que le corps humain du « vacciné » va fabriquer lui-même après injection.

 

1 - La présence de nanoparticules


La présence de nanoparticules  n’est pas mentionnée dans les notices d’information à l’usage du public, mais figure dans les notices à destination des professionnels.  Les injections à ARN modifié sont intentionnellement intracellulaires grâce à des nanoparticules, 100 fois plus petites que les cellules, qui ont la capacité d’entrer dans la cellule et deviennent ainsi une source potentielle de risques et de danger pour l’organisme humain. Les nanoparticules lipidiques, qui imitent la membrane des cellules humaines, encapsulent le code génétique ARN modifié et le transportent à l’intérieur de la cellule. En plus des risques liés à leur taille infime, elles présentent aussi des risques dus à leur composition chimique de 4 lipides, dont trois jamais injectés au public par des vaccins préventifs : le polyéthylène glycol (PEG), un lipide ionisable contenant de l’azote, un pseudo-phospho-lipide imitant les phospho­lipides naturels de l’organisme et un cholestérol d’origine non précisée.

 

L’INRS, l’Institut national de recherche et de sécurité, alerte sur les risques liés à la taille nanoparticulaire en général : « Un certain nombre d’études démontrent déjà clairement que les nanomatériaux présentent une toxicité plus grande et sont à l’origine d’effets inflammatoires plus importants que les objets micrométriques de même nature chimique. » (https://www.inrs.fr/risques/nanomateriaux/effets-sante.htm)

 

2 - Un ARN synthétique qui n’existe pas dans la nature

 

Les notices des injections  Pfizer et Moderna indiquent un ARN synthétique qui n’existe pas dans la nature. Cet ARN est une construction génétique issue de la bio-ingénierie. C’est pour cela que l’Union européenne a dû faire voter, pour ces « vaccins Covid-19 », une dérogation à la directive sur les OGM. Sans cette dérogation, certains États auraient pu demander l’application des règles encadrant l’emploi des OGM car les toxines fabriquées par les organismes humains des « vaccinés » se retrouveront en partie dans l’environnement, excrétées dans les urines et les fèces et se retrouveront dans les eaux usées.  Mais les autorités sanitaires ne cherchent pas à savoir ce que deviendront les OGM injectés dans les corps humains depuis 2021 puisque la demande d’études de pharmacocinétique requise pour les médicaments, par l’Agence européenne des médicaments (EMA), ne s’applique pas aux produits désignés comme vaccins.

 

Des chercheurs américains et chinois travaillent depuis des décennies à fabriquer des virus chimériques capables de se fixer aux cellules humaines. Le génome du coronavirus « pandémique » est déposé dans une banque de gènes depuis le 12 janvier 2020 par les chercheurs chinois et ce « coronavirus originel déposé » est mis à disposition du monde.

 

3 – La protéine Spike

 

Le coronavirus entre dans la cellule grâce à sa protéine de pointe, la Spike. Enveloppée dans les nanoparticules c’est la portion d’ARN synthétique modifié qui correspond à cette Spike qui a été choisie comme matière active à reproduire. 

 

Mais, de plus, le code génétique des Spikes des vaccins à ARN synthétique modifié n’est pas la copie exacte « bioéquivalente » de l’original, d’après le généticien Kevin Mac Kernan et le cardiologue Peter Mac Cullough. Ils considèrent potentiellement dangereux de modifier un virus déjà adapté à son hôte. Des séquences de base ont été rajoutées et certaines remplacées par d’autres impossibles dans la nature. Ces modifications génétiques inexpliquées par les fabricants servent certainement à leurrer le système immunitaire afin qu’il ne reconnaisse pas trop vite l’ARN et ne le détruise pas immédiatement.

 

Donc si l’organisme vacciné est infecté par le coronavirus pandémique, il se retrouve en présence de Spikes artificielles et des Spikes originelles. « S’il a été trompé par les premières, comment fait-il pour lutter contre les secondes ? » se demandent les chercheurs.

 

Le risque de modification du génome humain

 

Les autorités sanitaires et les laboratoires pharmaceutiques affirment impossible la rétrotranscription qui permettrait que l’ARN des injections Covid-19  soit transcrit en ADN, modifiant ainsi le génome humain, par l’enzyme appelée transcriptase inverse. Mais des études montrent le contraire.

 

Une étude suédoise a exposée in vitro des cellules humaines du foie au vaccin Pfizer. En moins de 6 heures, l’ARN codant pour la Spike a été rétrotranscrit en ADN et s’est retrouvé à l’intérieur du noyau. Reste maintenant à savoir s’il s’intègre au génome. Une étude chinoise l’affirme, mais elle a été rétractée.

 

« De façon assez savoureuse, on peut tout de même remarquer que les milliards de tests RT-PCR qui sont effectués sur la planète détectent l’infection au coronavirus en transformant l’ARN viral du sang en ADN pour pouvoir le quantifier et utilisent pour cela… la transcriptase inverse. »

 


Les autorités de régulation ne s’intéressent pas à la question de fond

 

Aucune étude de génotoxicité ou de carcinogénicité n’a été demandée par l’Agence européenne des médicaments.

 

Les données sur la toxicité de la Spike ne cessent de s’accumuler. L’un des pionniers des nanoparticules d’ARN, le biologiste moléculaire et chercheur étasunien Robert Malone, a alerté l’opinion publique sur le détournement de sa découverte. « Notre invention était destinée à délivrer des médicaments à des gens malades, pas à rendre malades des gens en bonne santé », répète-t-il.

 

 

La toxicité de la protéine Spike

 

Selon lui la protéine Spike est toxique en elle-même, dans le virus ou dans le vaccin. Avec « un effet encore plus délétère dans le vaccin du fait de la dose massive de nanoparticules délivrées en une injection et en violation de la barrière naturelle cutanée. »

 

« Le directeur scientifique Kevin J. McKernan, spécialiste des technologies de séquençage, le chercheur en chef en applications biomédicales Anthony Kyriakopoulos et le professeur Peter A. McCullough, cardiologue, ont calculé qu’en moyenne 40 trillions de molécules étaient injectées en quelques secondes alors que le virus, lui, met quelques jours à se multiplier. »

 

Hétérogénéité dans les lots de vaccin[5]

 

Mais une fuite de l’EMA a permis de savoir aussi « qu’il pouvait y avoir de grandes variations entre les lots, certains contenant seulement 55 % d’ARN intact, d’autres 78 %, mais aucun lot n’affichait 100 % d’ARN intact. Quelle est la toxicité de cet ARN tronqué ? Ni les laboratoires pharmaceutiques ni les autorités sanitaires n’ont fourni d’explications. » 

 

Les documents internes de Pfizer et Moderna, obtenus par l’action en justice d’une ONG américaine, révèlent la diffusion, en moins de 48h, des nanoparticules, avec leur ARN modifié, dans tous les  tissus de l’organisme, aucun organe n’étant épargné.

 

Des malformations chromosomiques possibles ?

 

Il a été démontré en laboratoire que les protéines Spike sont directement toxiques pour les cellules cardiaques en fusionnant les cellules du cœur. Ce mécanisme pourrait expliquer les morts subites de l’adulte multipliées  après la campagne massive de « vaccination ». 

 

Non seulement les cellules des mêmes tissus fusionnent sous l’effet de la Spike mais elles peuvent aussi fusionner avec des cellules de tissus éloignés, aboutissant à la production de cellules complètement anormales, de cellules chimériques pouvant aussi entraîner des malformations chromosomiques générant des cancers. 

 

Effets systémiques de la protéine Spike ?

 

« C’est tout ce système qui est perturbé lorsque la Spike prend indûment la place de l’hormone naturelle sur son récepteur ACE2 », explique Jean-Marc Sabatier, chercheur du CNRS et immunologue de l’université d’Aix-Marseille. le premier à alerter la communauté scientifique sur les effets systémiques de la Spike sur le système rénine-angiotensine «  Il faut savoir, dit-il, que ce récepteur ACE2 est notamment exprimé par les cellules des vaisseaux sanguins, de l’intestin, des poumons, des reins et du cœur, du cerveau et d’autres organes et tissus. Cela explique la plupart des symptômes du Covid et des effets post-vaccinaux. » C’est pourquoi les effets post-vaccinaux sont aussi variés. Avec des symptômes qui touchent aussi les systèmes nerveux et immunitaire.

 

Des composants officiels aux composants clandestins

 


Aux composants officiels des « vaccins » anti-Covid, il faut encore y ajouter un ingrédient qui sert à maintenir le pH dans lequel baignent les nanoparticules, le trométamol, un produit chimique irritant et considéré comme allergisant au même titre que le polyéthylène glycol.

 

Les « composants mystères », ceux non déclarés dans les notices des « vaccins » ont été découverts par plusieurs équipes de scientifiques à travers le monde qui ont procédé à des analyses aléatoires. Les éléments qui ne devraient pas y être : des particules métalliques, du graphène, des bactéries et de l’ADN « possiblement synthétique ».

 

Une équipe allemande a trouvé de l’antimoine, un métal toxique, en quantités inexplicables dans les vaccins Moderna.

 

Au Japon, en septembre 2021, Moderna avait été contraint de retirer plus d’un million et demi de doses contaminées par de l’acier.

 

Une équipe britannique a mis en évidence la présence de graphène grâce à la spectroscopie Raman : « Nous pouvons affirmer que quatre exemples de vaccins (2 Moderna, 1 AstraZeneca et 1 Pfizer) contiennent tous une quantité significative de composés de carbone, de graphène et de fer. »

 

Ces conclusions ont confirmé les découvertes du chercheur espagnol Pablo Campra, qui avait dès 2021 attiré l’attention sur la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins anti-Covid.

Une équipe suisse confirme les observations précédentes et rajoute des interrogations avec la présence de parasites, comme le champignon Candira auris.

 


Des questions légitimes et des défaillances coupables des autorités

 

La liste des composants officiels et officieux suscitent des questions légitimes et montrent la défaillance des autorités sanitaires et leur incapacité à apporter des explications claires à la population sur les contenus des injections « vaccinales ». Explications d’autant plus légitimes que ces injections ont été imposées à certains directement, pour qu’ils conservent leur emploi, ou indirectement, pour qu’ils conservent une vie quotidienne « normale ». Et aussi parce que ces  injections ont été vantées à tous à l’exclusion de tout autre solution, puisque les autorités sanitaires et gouvernementales ont interdit aux médecins de soigner les malades du Covid-19 en 2020 et bannit les traitements potentiellement efficaces.

 




[1] Voir dans ce même blog, l’article n° 148. Graphène et champs magnétiques - Jean-Michel Jacquemin-Raffestin  et Quinta columna

[3] Corinne Lalo est journaliste d’investigation et grand reporter. Spécialiste en santé-environnement, elle a traité depuis plusieurs décennies les scandales provoqués par des problèmes de santé publique. Elle a principalement travaillé pour France 3, TV5 Monde et TF1. Elle est l’auteure de plusieurs ouvrages dont Le Livre noir du médicament (Plon, 2011) et Le Grand Désordre hormonal (Le Cherche Midi, 2021)

[4] A propos du Pr. Joyeux, on pourra lire dans ce même blog, l’article n° 143. La question de l'immunité et des virus - Pr Henri Joyeux

[5] Ce qui pourrait attester la thèse que tous les « vaccinés » ne l’ont pas été avec le la même injection.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

156. "Une théorie de la connaissance chez Goethe - Rudolf Steiner

  A propos de « Une Théorie de la Connaissance chez Goethe » de Rudolf Steiner   aux Editions Anthroposophiques Romandes, édit...