09 mars 2023

153. Comment le mondialisme s’est organisé en église - Mgr Carlo Maria Viganò

 

Une religion d’États : quelques observations sur le culte mondialiste

 


par Mgr Carlo Maria Viganò

 

 

 

Transcription d’une vidéo CrowdBunker

 

https://crowdbunker.com/v/Awu4rRYPcX

 

Avant-lire

« Nous sommes dans une guerre de religion », disait Pierre Hillard (article n°30 de ce même blog). Cette fois c’est Mgr Carlo Maria Viganò qui affirme et démontre que le mondialisme est une religion, et il sait de quoi il parle, et il est bien placé pour en parler, étant lui-même un religieux « haut gradé », de l’Église catholique, puisque nonce du pape[1]. Il s’était auparavant fait connaître en dénonçant les crimes pédophiles de son propre camp religieux (voir la note de bas de page ou l’article que WIKIpédia lui a consacré). Maintenant il dénonce aussi la dérive mondialiste au Vatican, en particulier celle de son chef religieux : le pape. Viganò attaque, et non sans arguments, mais avec humour, ce qu’il appelle la « religion d’état », le mondialisme, qui n'est donc pas qu'un concept politique, il est aussi est surtout une église alliant le sacrifice et la liturgie.

 

S o m m a i r e

 

Au nom de la religion mondialiste

Les gestes de soumission : les masques, la vaccination d’état = baptême mondialiste

L’adhésion à la religion mondialisme n’est pas facultative

Qui a dit liberté des religions ?

Une religion répandue dans toutes les nations

La liste des prélats du mondialisme, dont Emmanuel Macron

Et Jorge Mario Bergogli aussi en est !

Le culte à Pacha Mama

Une vengeance de la barbarie et du paganisme

Une déclination moderne du culte du diable

Haine de la vie

Les préceptes de la religion mondialiste sont une version contrefaite des Dix Commandements

Exit le Dieu des chrétiens !

Lobby infernal et néo-paganisme

 

Pour bien tout comprendre

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans une intéressante intervention sur la chaîne américaine Fox News, le journaliste Carlson a souligné une contradiction qui a peut-être échappé à beaucoup mais que je trouve très révélatrice. Carlson rappelle que la Constitution américaine interdit la religion d’État. Mais depuis un certain temps les gouvernements démocrates ont imposé au peuple américain le culte mondialiste avec son agenda green, ses dogmes woke, avec la cancel culture, ses prêtres de l’OMS, les prophètes du WEF. Une religion à tout égard totalitaire non seulement pour la vie des individus qui la pratiquent mais aussi pour la vie de la nation qui la confesse publiquement, en adopte les lois, s’en inspire pour l’éducation et dans toute action gouvernementale. Au nom de la religion mondialiste les adeptes exigent que tous les citoyens se comportent conformément à la morale du Nouvel Ordre Mondial, acceptant sans critique, avec une attitude de soumission pieuse à l’autorité religieuse, la doctrine définie, ex-cathedra, par les saints de Davos.

 

Au nom de la religion mondialiste

 

Aux citoyens il n’est pas demandé de justifier les politiques sanitaires imposées par les gouvernements mais un assentiment aveugle et irrationnel qui va bien au-delà de la foi. Pour cette raison, il n’est pas permis de contester la psycho-pandémie, de critiquer la gestion de la campagne de vaccination, l’absence de fondement de tout cela, d’opposer l’évidence aux provocations de l’OTAN vis-à-vis de la Russie dans la crise ukrainienne, de demander des enquêtes sur les ordinateurs portables de Biden ou sur la fraude électorale... ou de refuser de voir des enfants corrompus par des obscénités...

 

Après 3 ans de folie incompréhensible pour un esprit rationnel mais amplement justifiable dans une perspective de fidélisme aveugle, la proposition formulée par une clinique américaine de demander aux patients de renoncer à une partie de l’anesthésie pour réduire leur empreinte de dioxyde de carbone et sauver la planète, ne doit donc pas être vue comme un prétexte grotesque de réduire les dépenses des hôpitaux au détriment des patients mais comme un acte religieux, comme une pénitence acceptée volontairement, comme un acte éthiquement méritoire. Le caractère pénitentiel est indispensable pour cette opération de conversion forcée des masses car elles contrebalancent l’absurdité des actions par la récompense d’un bien promis.

 

 

Les gestes de soumission : les masques, la vaccination d’état = baptême mondialiste

 


En portant le masque, qui ne sert à rien, le fidèle-citoyen a fait son propre geste de soumission, offert à la divinité : l’État, la communauté. Une soumission confirmée par l’acte tout aussi public de la vaccination qui a représenté une sorte de baptême mondialiste, l’initiation au culte.

Les grands prêtres de cette religion en viennent à théoriser le sacrifice humain de l’avortement et de l’euthanasie, un sacrifice requis par le bien commun pour ne pas sur-peupler la planète, ne pas alourdir la santé publique, ne pas être un fardeau pour la sécurité sociale. Même les mutilations auxquelles sont soumis ceux qui professent la doctrine du genre et la privation des facultés de reproduction induite par l’homosexualisme ne sont rien de plus qu’une forme d’immolation de soi, de son corps, de sa santé. Sacrifice et immolation jusqu’à la vie elle-même, en assumant par exemple une thérapie génique expérimentale manifestement dangereuse et souvent mortelle.

 

L’adhésion à la religion mondialisme n’est pas facultative

 

Le mondialisme est la religion d’État et l’État tolère les non-pratiquants dans la mesure où leur présence n’empêche pas la société d’exercer le culte. Dans sa présomption d’être légitimé par des principes « éthiques» pour imposer aux citoyens ce qui représente un bien supérieur incontestable, l’État oblige également les dissidents à accomplir les actes fondamentaux de la morale mondialiste, en les punissant s’ils ne se conforment pas à ses préceptes :  manger des insectes, s’injecter des drogues au lieu de mener une vie saine, utiliser l’électricité au lieu du gasoil, renoncer à la propriété privée, à la liberté de circulation, subir contrôles et limitations des droits fondamentaux, accepter les pires déviations morales et sexuelles au nom de la liberté, renoncer à la famille pour vivre isolé sans rien hériter du passé, sans rien transmettre à la postérité, effacer son identité au nom du politiquement correct, renier la foi chrétienne pour embrasser la superstition woke, conditionner son travail et sa subsistance au respect de règles absurdes. Tant d’éléments destinés à faire partie de la vie quotidienne de l’individu. Une vie basée sur un modèle idéologique que personne ne veut et que personne n’a demandé et qui ne justifie son existence qu’avec l’épouvantail de l’apocalypse écologique non prouvé et indémontrable.

 

Qui a dit liberté des religions ? Qui a parlé de laïcité ?

 

Cela viole non seulement la tant vantée liberté des religions sur laquelle cette société s’est fondée, mais, pas à pas inexorablement cela nous conduit à rendre ce culte comme exclusif, comme le seul admis.

 

L’église de l’environnementalisme se définit comme inclusive mais ne tolère pas la dissidence et n’accepte pas d’affronter dialectiquement ceux qui remettent en question ses diktats.  Ceux qui n’acceptent pas l’évangile de Davos sont ipso facto hérétiques et doivent donc être punis, excommuniés, séparés du corps social, considérés comme ennemis publics. Il faut donc les rééduquer par la force, par un martellement incessant des médias et par l’imposition d’une stigmatisation sociale ou des formes réelles d’extorsion du consentement, par exemple pour se soumettre à l’obligation vaccinale, puis en continuant avec la folie des soi-disant villes des 15 minutes.

 

Ces points sont anticipés dans les programmes de l’Agenda de 2030[2] qui sont finalement des canons dogmatiques.

 

Une religion répandue dans toutes les nations

 

Le problème avec ce phénomène inquiétant de superstition de masse est que cette religion d’État n’a pas été imposée de facto seulement aux USA mais s’est répandue dans toutes les nations du monde occidental dont les dirigeants ont été convertis au verbe mondialiste par le grand apôtre du « great reset » Klaus Schwab, autoproclamé pape, investi d’une autorité infaillible et incontestable.

 

La liste des prélats du mondialisme, dont Emmanuel Macron

 


Sur le site du Forum Economique Mondial  nous trouvons la liste des prélats du mondialisme : de Justin Trudeau à Emmanuel Macron. Et nous y apprenons que de nombreux gouvernants de divers Etats appartiennent à cette église et aussi de nombreux fonctionnaires, des chefs d’organismes internationaux, de grandes multinationales, des médias. Il faut y ajouter les prédicateurs et les missionnaires qui œuvrent pour la diffusion de la foi mondialiste, acteurs, chanteurs, sportifs, intellectuels, médecins, enseignants, etc., un réseau très puissant, très organisé, répandu au sommet des institutions, dans les universités, les tribunaux, les entreprises, les hôpitaux, les organismes périphériques, les municipalités locales, les associations culturelles et sportives, de sorte qu’il est impossible d’échapper à l’endoctrinement même dans une école primaire provinciale ou dans une petite communauté rurale.

 

Et Jorge Mario Bergogli aussi en est !

 

Il est déconcertant que dans le nombre de convertis à la religion universelle nous puissions aussi compter des représentants des religions du monde et parmi eux Jorge Mario Bergogli,  celui que les catholiques considèrent comme le chef de l’église d’Europe avec tout le train des ecclésiastiques qui lui sont fidèles.

 

Le culte à Pacha Mama

 

Par apostasie la hiérarchie catholique en est venue à vénérer l’idole de la Pacha Mama, la mère Terre, personnification démoniaque du mondialisme « amazonien », œcuménique, inclusif et durable.

 

Jorge Mario Bergogli avait préconisé « le printemps de l’Église » qui remplacerait la doctrine par  un vague sentimentalisme écologiste. Il a trouvé promptement la réalisation de ses espoirs grâce à l’action coordonnée qui a conduit à la démission de son prédécesseur Benoît XVI et à sa propre  élection. Le jésuite Bergogli est ainsi devenu le Pape François.

 


Une vengeance de la barbarie et du paganisme

 

Nous assistons à l’envers du processus qui a conduit à la propagation du christianisme dans  l’empire romain, puis dans le monde entier. Une sorte de vengeance de la barbarie et du paganisme sur la foi du Christ.

 

Ce que Julien l’Apostat, au IVème siècle, a essayé de faire, restaurer le culte des dieux païens, est aujourd’hui poursuivi avec zèle par de nouveaux apostats, tous unis par une fureur sacrée qui les rend aussi dangereux que persuadés de pouvoir réussir leurs intentions en raison des moyens inouïs dont ils disposent.

 

Une déclination moderne du culte du diable

 

En réalité cette religion n’est rien d’autre qu’une déclination moderne du culte de Satan.

La récente performance satanique sponsorisée par Pfizer n’est que la dernière confirmation d’une adhésion à un monde infernal qui, jusqu’à présent, avait été écarté sous silence parce que considéré comme inavouable.

 

Ce n’est pas un mystère que les idéologues de la pensée mondialiste sont tous antichrétiens, anticléricaux, significativement hostiles à la morale chrétienne, sensiblement opposés à la civilisation et à la culture façonnée par l’Evangile en 2000 ans d’histoire.

 

Haine de la vie

La haine envers la vie et tout ce qui est l’œuvre du créateur, de l’homme à la nature, révèle la tentative presque réussie de modifier l’ordre de la création, de modifier les plantes et les animaux et maintenant  de changer l’ADN humain par des interventions de bio-ingénierie, de priver l’homme de son individualité et de son libre-arbitre, le rendant contrôlable et même manœuvrable par le transhumanisme. Au fond de tout cela il y a la haine de Dieu et de la vie surnaturelle qu’il a réservée aux hommes et qu’il a rachetée du péché par le sacrifice de son Fils sur la Croix. Cette haine satanique s’exprime dans la détermination de rendre impossible aux chrétiens la pratique de leur religion, impossible de voir leurs principes respectés, impossible de pouvoir apporter leur contribution à la société et finalement de les amener à faire le mal ou du moins de les empêcher de faire le bien et encore moins de le répandre. Et s’ils parviennent à faire le bien, déformer leurs motivations originelles, l’amour de Dieu et du prochain, en les pervertissant à des fins philanthropiques ou écologistes pitoyables.

 

Les préceptes de la religion mondialiste sont une version contrefaite des Dix Commandements

 

Tous les préceptes de la religion mondiale sont une version contrefaite des Dix Commandements. Leur inversion grotesque, un renversement obscène, utilise les mêmes procédés que l’évangélisation mais non pas pour soumettre à la loi de Dieu mais pour soumettre à la tyrannie du Diable, sous le contrôle inquisitoire de Satan. Dans cette perspective le signalement des groupes de chrétiens de la part des services secrets américains, confirmant l’inimitié entre la ligne de la femme et celle du serpent, est une réalité théologique à laquelle les ennemis de Dieu croient avant tout

 

Un des signes de la fin des temps est l’abolition du Saint Sacrifice et la présence de l’abomination et de la désolation dans le temple. Les tentatives de supprimer ou délimiter la messe traditionnelle unissent l’Église profonde et l’État profond, révélant la matrice essentiellement satanique des deux. Les deux savent très bien quelles sont les grâces infinies déversées sur l’Église et le monde avec cette messe. C’est pourquoi ils veulent les empêcher afin qu’elles n’entament pas leur plan…

 

Exit le Dieu des chrétiens !

 

La tromperie à laquelle nous sommes quotidiennement soumis par les dirigeants... a servi à éliminer la présence du vrai Dieu des institutions tandis que l’imposition pratique de la religion mondialiste sert à introduire Satan dans les institutions, dans le but d’établir ce nouvel ordre mondial dystopique dans lequel l’Antéchrist prétendra régner comme un dieu et, dans son délire fou, remplacer Notre Seigneur.

 

Tout homme sera soumis au contrôle …ou ne sera pas !

 


Les avertissements du livre de l’ ‘Apocalypse’ sont de plus en plus concrets, d’autant plus que le plan de soumettre tous les hommes à un contrôle qui empêche toute possibilité de désobéissance et de résistance se poursuit. Ce n’est que maintenant que nous comprenons ce que signifie de ne pas pouvoir acheter ou vendre sans son laissez-passer vert qui n’est rien d’autre que la version technologique de la marque du chiffre de la Bête. Mais si tout le monde n’est pas encore prêt

à reconnaître l’erreur d’avoir abandonné le Christ au nom d’une liberté corrompue et trompeuse qui cachait des intentions inavouables, je crois qu’aujourd’hui beaucoup sont prêts psychologiquement, plus que rationnellement, à prendre acte du coup d’état réalisé par un lobby de dangereux fanatiques qui veulent le pouvoir aux USA et dans le monde et déterminés à faire n’importe quel geste, même le plus téméraire, pour les maintenir au pouvoir.

 

Par une ironie du sort, la laïcité de l’État qui, en soi, offense Dieu, car elle refuse le culte public auquel Dieu a le droit souverain, pourrait être l’argument pour mettre fin au projet subversif du Great Reset.

 

Lobby infernal et néo-paganisme

 

Si les américains, et avec eux les peuples du monde entier, savent se rebeller contre cette conversion fausse en exigeant que les représentants des citoyens rendent des comptes aux détenteurs de la souveraineté nationale et non aux dirigeants mondialistes, il serait peut-être possible de mettre un terme à cette course vers l’abîme. Mais pour ce faire il faut prendre conscience qu’il ne s’agira que d’une première phase de ce processus de libération par rapport au  lobby infernal, qui doit être suivie par la réappropriation des principes moraux propres au christianisme qui constituent les fondements de la civilisation occidentale et la défense la plus efficace contre la barbarie du néo-paganisme.

 

Pendant trop longtemps les citoyens et les fidèles ont subis passivement les décisions de leurs dirigeants politiques et religieux face à l’évidence de leur trahison. Le respect de l’autorité est fondé sur la reconnaissance d’un fait théologique c’est-à-dire de la seigneurie de Jésus-Christ sur les personnes, les nations et l’Église. Si ceux qui détiennent l’autorité dans l’État et l’Église agissent contre les citoyens, contre les fidèles, leur pouvoir est usurpé et leur autorité nulle et non avenue.

 

Les dirigeants ne sont pas les propriétaires de l’État et les maîtres des citoyens, tout comme le Pape et les évêques ne sont pas les  propriétaires de l’Église et les maîtres des fidèles. S’ils ne veulent pas être comme des pères pour nous, s’ils ne veulent pas notre bien et s’ils font tout pour nous corrompre le corps et l’esprit, il est temps de les chasser de leur position et de les appeler à rendre des comptes pour leur trahison, leurs crimes et leurs mensonges scandaleux.

 

 


 

 

 

Notes : Pour bien tout comprendre

 


La ville des 15 minutes
est un concept qui prône une organisation de la ville faisant en sorte que les habitants ont accès à la plupart de leurs destinations de travail, de magasinage, de soins, d’éducation et de loisir en moins d’un quart d’heure de marche ou de vélo. Il combine les concepts de milieux de vie complets et de ville polycentrique, tout en adoptant la perspective individuelle plutôt que la perspective collective.

 

L’idée a été théorisée par le chercheur Carlos Moreno en 2016. Portland (Oregon) a lancé les 20 minutes neighborhoods dans les années 2000.

 

Popularisé en 2020 par la campagne municipale d’Anne Hidalgo à la mairie de Paris, le concept a connu un succès rapide.

 

L’application du concept rencontre des limites. La première prend racine dans sa concrétisation, qui implique une planification municipale. Or il est plus facile de planifier à partir des activités (en les regroupant) qu’à partir des habitations, si cela signifie d’assurer aux habitants de toutes ces dernières un accès à l’ensemble des activités considérées. 

 

L’absence de l’échelle régionale

Sur le plan théorique, le concept passe sous silence le rayonnement régional de certaines activités et aplanit les échelles, puisqu’il suppose : une densité suffisante des milieux de vie, le caractère interchangeable des services et une préférence des habitants pour la proximité,  le renforcement des quartiers juxtaposés et conçus comme des villages…

Extrait de collectivitésviables.org

 




[1]
Carlo Maria Viganò, prélat catholique, né en 1941, il a été nonce apostolique pour le Saint-Siège et a aussi empli des missions au sein du Gouvernement de l’État de la Cité du Vatican. Le 3 avril 1992, il est élevé au rang d'archevêque titulaire d’Ulpiana et nonce apostolique au Nigéria par le pape Jean-Paul II. Il est consacré évêque par ce dernier. À la fin de sa mission au Nigeria, il est affecté à des fonctions au sein du Secrétariat d'État du Vatican en qualité de délégué des représentations pontificales, faisant de lui le chef du personnel de la curie romaine. Il occupe cette fonction jusqu'à ce qu'il devienne secrétaire général pour le Gouvernement de l’État de la Cité du Vatican, le 16 juillet 2009. En 2009, Carlo Maria Viganò est nommé secrétaire général pour le gouvernorat du Vatican. Au Vatican, il lutte contre la corruption et le népotisme. En janvier 2016, à 75 ans, atteint par la limite d'âge, il présente sa démission au pape François qui l'accepte le 12 avril 2016. Il fait alors l'objet d'une enquête sur l'éventuelle couverture d'abus sexuels dans l'archidiocèse de Minneapolis et se rapproche alors des courants ultraconservateurs hostiles au pape François. En juin 2018, il est publiquement révélé que le cardinal Theodore McCarrick a abusé sexuellement de mineurs ainsi que de plusieurs séminaristes adultes. En conséquence, ce dernier démissionne de ses fonctions de cardinal en juillet. Le 25 août, Viganò publie une lettre de 11 pages qui affirme que l'affaire est plus grave que l'on s'imagine et que les autorités vaticanes et plusieurs évêques étaient au courant, voire complices. La publication appelle à la démission des plus hautes instances du Vatican et du pape lui-même. (d’après Wikipédia)

[2] Le Programme officiel de cet « agenda 2030 est fort alléchant : « L'agenda 2030 est un programme universel pour le développement durable. Il porte l'ambition de transformer notre monde en éradiquant la pauvreté et les inégalités en assurant sa transition écologique et solidaire à l'horizon 2030. » Donc : éradiquer la pauvreté : on voit que ça en prend bien le chemin…

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

156. "Une théorie de la connaissance chez Goethe - Rudolf Steiner

  A propos de « Une Théorie de la Connaissance chez Goethe » de Rudolf Steiner   aux Editions Anthroposophiques Romandes, édit...