19 décembre 2020

14.COVID-19 - Résumé d'un entretien de A. Henrion-Caude

 

Résumé de l’interview d’Alexandra Henrion-Caube à propos de la pandémie et ses masques

(octobre 2020)


 

 La Dr Alexandra Caude a été directrice de recherche à l’Inserm à l’Hôpital Necker. Généticienne, elle explore les nouveaux mécanismes de  maladie, en y intégrant l’environnement. Elle enseigne, donne des conférences, est membre de conseils scientifiques. Créatrice du site internet science-en-conscience.fr, elle est aussi l'auteur de plus de 50 publications scientifiques internationales. Elle préside l’Association des Eisenhower Fellowships en France, et est secrétaire générale adjointe de Familles de France.

 

 

 

Présentations

 

Le journaliste lui fait préciser sa formation et sa fonction puis lui fait confirmer qu’être directrice de recherche, et donc diriger une équipe de scientifique, est le plus haut grade qu’un scientifique, en France, puisse obtenir, modulé ensuite par quelques échelons.

Il lui demande ensuite pourquoi elle accepte cet interview.

 

Pour elle la situation actuelle est inédite. Elle souhaite donner un autre éclairage, fonction de ses connaissances, différent de celui des médias et du gouvernement. Par le passé, elle avait des relations uniquement avec la communauté scientifique et elle sort actuellement de sa réserve pour partager ses connaissances, poussée par son sentiment de la justice. Elle estime, en effet, qu’il y a une injustice de traitement et d’état de compréhension vis-à-vis de la population. Elle considère que les autorités diffusent un «récit» , comme s’il s’agissait de certitudes issues d’un consensus scientifique, ce qui est faux: il n’y a pas de consensus scientifique actuellement.

 

La séquence du STRAS-COV-2 présente une originalité hors du commun. Un virus contient des infos: la protéine S composée de deux éléments S1 et S2, normalement juxtaposés dans les autres virus CORONA. Or, dans, dans celui-ci, S1 et S2 sont écartés par une séquence dont l’originalité est d’augmenter les possibilités d’infection des cellules, d’apporter un «gain de fonction». En observant cela, il est impossible d’écarter d’emblée l’hypothèse d’une création humaine de ce virus. Plusieurs de ses collègues de formation différente en biochimie trouvent curieux la présence de cette séquence et admettent aussi que l’hypothèse d’une création humaine est plausible et que la certitude de l’origine animale du virus n’est pas scientifique.

 

Apparition et diffusion du virus

 

A la question concernant la diffusion accidentelle de ce virus, elle pense que si un labo P4 laissait échapper un virus ayant de telles conséquences massives, ce qu’il ferait en premier à son avis, c’est en détruire les preuves en détruisant les cahiers de laboratoire.

 

Dans l’absolu théorique, il serait important de connaître l’origine car il faudrait une différence de traitement de la maladie selon que le virus soit naturel ou créé par l’homme. Dans la réalité, il est davantage difficile d’apporter une réponse catégorique, car la séquence insérée entre S1 et S2, d’après les scientifiques l’ayant observée, auraient due être «plus méchante» et sa létalité aurais dû monter jusqu’à 30, ou même 40, pour cent  comme pour le SRAS ou le MERS . Or la létalité du Coronavirus actuel n’est que de 0,5 %.

 

Létalité du virus

 

Les variabilités de létalité d’un pays à l’autre dépendent de la prise en charge. Par exemple, la surmortalité du premier semestre 2020 en Allemagne est de zéro.  Cela montre qu’on a rien à craindre de ce virus si la prise en charge est correcte.

(L’Allemagne a commandé en Février 700 milles doses puis plus tard 1 million de doses d’hydroxychloroquine)

 

Les tests

 


A la question sur la pertinence de la politique des tests massifs PCR, elle signale d’abord qu’elle connaît bien ce type de test car, par le passé, elle a été en charge d’un service de commande de tests PCR et a participé à la mise au point de leur utilisation .

Avec ce test on cherche à vérifier la présence ou l’absence de séquence du virus.

Le virus est une sorte de disque dur sans possibilité d’effet lorsqu’il est isolé. Il a besoin d’être hébergé par une cellule vivante pour agir et se répliquer.

 

Avec ce test on ne peut voir qu’une présence sans effet particulier, on ne voit ni infection,  ni réplication. Après des mois de circulation du virus, il est logique de retrouver sa présence chez de nombreuses personnes, ce qui ne prouve nullement son activité. Elle précise qu’avec le test il y a de 64% à 90% de chances de n’avoir aucun symptôme. Le test PCR positif ne permet pas un contrôle de la charge virale d’un patient, il contrôle seulement des cellules en laboratoire.

 

Normalement il y a épidémie lorsque le nombre de décès indique un certain seuil de dangerosité. Or, actuellement la létalité (0,5%) de ce virus ne justifie pas l’état d’urgence sanitaire.

 

Les courbes

 

La courbe médiatique que l’on montre actuellement est la courbe exponentielle de cas dits positifs. Auparavant on appelait «cas» un «patient malade». Actuellement on appelle «cas» des personnes qui ne sont pas malades. Majoritairement les gens qui viennent se faire tester ne son pas malades, il ne s’agit plus de médecine mais de consommation. Il y a une rupture de la compréhension de ce qu’est la médecine.

Cette courbe médiatique qui grimpe donne une impression de non-contrôle du virus et elle est extrêmement stressante pour la population, mais ne correspond pas à la réalité.

L’info incessante et stressante ne correspond pas à la réalité des décès.

La courbe des décès depuis février jusqu’à aujourd’hui n’est pas exponentielle.

Depuis le pic épidémique de mars-avril, qui a été vécu dans le confinement en famille et qui en démontre l’inefficacité, la courbe est redescendue et se maintient depuis des mois en courbe asymptomatique 01, courbe en plateau qui ne correspond pas à une épidémie.

 

Les 50 à 80 morts par jour ne justifient aucune mesure sanitaire. Parler de «crise sanitaire» est un mensonge. La certitude de la deuxième vague comme la certitude de l’origine animale sont fausses. La bonne nouvelle actuellement, c’est qu’il n’y a pas de deuxième vague, qu’il n’y a pas d’épidémie et la courbe asymptomatique 01 de létalité est légèrement en train de décroître.

 

Quid des masques

 


A la question sur les conflits d’intérêt majeur de certains scientifiques, elle refuse de répondre.

 

Quant à l’attaque qui la visait, du fait de 2 scientifiques, elle explique en quoi c’était mensonger.

 

A la question sur les masques elle répond que le port de masque en extérieur est un scandale, que le masque est une bombe bactériologique et que le porter est très fatigant. Le stress entretenu par les médias plus le port du masque affaiblissent le système immunitaire de la population et peuvent induire des maladies sérieuses.

Ce qui met à plat les gens ce n’est pas le virus mais les mesures d’une gestion de crise disproportionnée et à contretemps. Par exemple le confinement s’est fait à contretemps en mars au moment de la flambée du virus et des gens malades se sont retrouvés confinés ensemble.

 

Elle donne lecture d’une circulaire de l’OMS qui avoue l’incapacité à prouver l’efficacité du port du masque. L’OMS conseille de réserver le port du masque  aux soignants et personnes en contact avec des malades avérés.

 

 

Le PCR en questions

 


A la demande de précision sur les fameux tests PCR, elle répond que plusieurs scandales les concernent. Le premier, c’est la façon de les réaliser. La Haute-autorité de Santé admet deux techniques équivalentes, mais la France n’en pratique qu’une seule: la plus invasive et la plus dangereuse. La technique la plus facile et qui ne présente pas de danger particulier se pratique en prenant des cellules au fond de la gorge. En revanche, la technique pratiquée aujourd’hui en France appelée nasaux-pharyngée consiste à astiquer avec un écouvillon au fond du nez une zone habituellement non touchée, la plaque cribriforme,  une zone neuronale très sensible impliquée dans l’odorat, qu’il est dangereux d’enflammer. (C’est par cette zone délicate que sont introduites parfois des nanoparticules pour le traitement de certaines maladies du cerveau.) Aux USA, une femme  est morte récemment après un test de ce type qui a trop excité cette zone très fragile et a provoqué une fuite du liquide céphalo-rachidien de son cerveau.

 

Elle conseille d’exiger, en cas de besoin, le test en fond de gorge, comme cela est fait en Espagne. Selon, les zones où les cellules sont prises, selon les kits de PCR et selon le nombre de cycle adopté pour amplifier et rendre détectable l’information recherchée, les résultats son différents et exigent des grilles d’interprétation différentes. Or, actuellement, tous les résultats sont mélangés. «C’est comme si on additionnait des carottes, des choux et de navets». Il n’est absolument pas scientifique d’additionner  des valeurs différentes.  

 

Et lorsqu’il y a amplification excessive ça n’a plus de sens: on ne sait plus ce que l’on teste. Dans tous les cas, il ne s’agit pas de charges virales observées sur des patients, mais seulement sur des cellules de labo. On assiste à un néo-jargon d’une néo-science covidique sur la contagiosité actuelle.

 

De plus, quand on trouve un résultat positif avec des malades qui ont des symptômes aucun traitement n’est préconisé. Il n’existe pas de protocole de soin pour les malades du SRAS-COV-2  en France. En Allemagne, le protocole prévoit des doses d’hydroxy-chloroquine avec des injections de vitamine C. (Ce traitement simple et peu coûteux est banni en France)

 

L’attitude du gouvernement et les revues scientifiques

 


Elle constate que le gouvernement prend les gens pour des irresponsables, les considère incapable de comprendre et de gérer leur santé. Parfois de grands mots sont utilisés pour gêner la compréhension. Pour elle et ses collègues scientifiques, le coronavirus actuel est un objet de travail qui ne leur fait plus du tout peur.

 

A la question sur la crédibilité des revues scientifiques elle explique comment des revues prestigieuses en sont venues à accepter des articles sans la  relecture habituelle d’un comité de lecture et à publier du tout venant. A la question sur les moyens de stimuler l’immunité, elle donne quelques conseils pratiques d’hygiène et de supplémentations (Vit. D, etc.)

 

Elle rappelle l’utilité de se laver les mains, en rentrant chez soi, après les toilettes et avant de passer à table. Le savon est plus ou moins efficace selon sa composition mais reste de toute façon plus utile que le gel hydro-alcoolique, agressif pour la peau. C’est la mousse du savon qui, en obligeant à  se rincer les mains abondamment, devient importante.

 

Quid du vaccin

 


A la question sur le vaccin elle répond que la courbe de décès actuelle ne justifie pas une campagne de vaccination et qu’aucun vaccin n’est neutre. Un traitement médical ponctuel se dissout dans le temps tandis qu’un vaccin reste et ses effet à long terme sont imprévisibles.

 

Elle rappelle que la première vertu de la médecine est la prudence, mise en exergue déjà par Platon et Aristote et représentée par le miroir en haut du caducée.

Pour elle la vaccination dans les conditions actuelles n’est pas prudente.

Elle cite un rapport tout récent sur la vaccination contre la grippe: -une étude récente, effectuée sur 6000 personnes (3000 vaccinés contre la grippe et 3000 non vaccinés comme témoins) montre que les infections respiratoires ont été plus fréquentes dans le groupe des vaccinés et en particulier il y a eu plus de contaminés par le coronavirus dans le groupe vacciné contre la grippe.

 

L’association de plusieurs pays permet de constater une létalité plus forte dans les pays où la vaccination contre la grippe a  eu une plus grande ampleur.

 

Au lieu de vacciner il serait plus prudent de conseiller hygiène et sobriété de vie, aération, lavage de mains, supplémentations en vitamines et olgo-éléments divers.

 

Le vaccin à ARN

 


A la question sur le vaccin à ARN, c’est-a-dire à OGM, dans un contexte d’urgence, en réalité de fausse urgence, elle répond que ce type de vaccin qui n’a encore jamais été commercialisé, c’est l’ouverture d’une boite de Pandore et elle explique pourquoi.

Elle  explique ce que représente l’ARN et l’ADN et leur rôle. A sa connaissance de scientifique les effets, théoriquement prévus pour ce vaccin à ARN, peuvent devenir incontrôlables.

 

Il lui semble impossible de maîtriser l’ARN car il peut inter-agir avec une multitude de molécules et déclencher des cascades inconnues et incontrôlables d’effets divers.

La fabrication elle-même en un temps écourté c’est également du jamais vu. Le développement d’un vaccin pour les virus précèdent demandait 10 à 15 ans. Des recherches de vaccin pour des virus précèdent dont la létalité était plus importante que celle du virus actuel ont été abandonnées faute d’utilité (le temps de les mettre au point, les virus avait muté ou disparu)

 

Cobayes humains

 


L’INSERM cherche 25000 cobayes humains pour tester ces vaccins expérimentaux jamais commercialisés.

 

Elle compare les 30 000 morts en France, en admettant que les chiffres soient réellement ceux des victimes de ce virus, au 30 000 morts par accidents domestiques. Elle fait remarquer que personne n’a invité les gens à fuir de chez eux à cause de ces accidents mortels. Elle cite également la recrudescence de suicides constaté par les psychiatres pendant le confinement de mars/avril.

 

Pour ce qui se passe actuellement elle parle d’hypnose suivie de paranoïas collectives.

Il n’y aucune réelle raison sanitaire de s’affoler. Elle invite à revenir à des fondamentaux de ce qu’est la santé et de prendre les précautions habituelles pour les temps hivernaux.

 

 

 

 

 

 

 


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