20 janvier 2021

29.Chroniques du mondialisme. I. Vidéo de Pierre Hillard

 

Covid-19 : L'étincelle avant le Grand Reset ? 


 

Pierre Hillard[1] 

Politique & Eco n°271 – TVL

Comme une introduction à l’étude du mondialisme[2]

 

"Le Covid-19 est l'élément déclencheur et voulu pour procéder à la bascule aboutissant à un nouveau monde mondial d'essence totalitaire". Voilà comment le spécialiste de l'idéologie mondialiste, Pierre Hillard, voit les choses. Pour appuyer sa théorie, l'invité de "Politique & Eco" s'appuie sur des faits : la leçon de numérologie de Christine Lagarde, l'étrange Une du magazine The Economist de janvier 2019, les nanoparticules dans le vaccin de la fondation Bill Gates ou encore la prochaine réunion du Forum de Davos intitulée "Le temps de la grande remise à zéro". Pour Pierre Hillard, l'objectif final des mondialistes est l'avènement d'une gouvernance et d'une monnaie mondiale encadrant une humanité réduite, surveillée, tyrannisée et asservie au bon fonctionnement de la machine économique…

 

Résumé de la Vidéo Politique et Économie


 

Le Covid-19 commence en Chine en Novembre 2019…

 

Dans un rapport de 2010 de la Fondation Rockfeller est imaginé une pandémie partie de Chine qui fait beaucoup de morts et après plusieurs  mois un vaccin permet de régler la situation à l’échelle planétaire. Les mesures dictatoriales prises pendant la crise sanitaire perdurent après la pandémie et même s’intensifient ensuite. Le rapport est illustré de caméras de surveillance.à

 

Cette histoire est mise en bande dessinée, éditée par l’Union Européenne, sous le titre:«INFECTED» de Jean-David MORVAN.

 

La BD se termine par la réunion de tous les grands manitous de l’UE et  du monde anglo-saxon qui se félicitent de pouvoir gérer par une mesure  unique les problèmes sanitaire à l’échelle planétaire.

 

Le Covid-19, un outil de destruction

 

P. Hillard explique que le Covid-19 est un outil au service d’une cause supérieure ayant un arrière-plan spirituel particulier.

 

Quand il a entendu en Août 2019 Mark Carney[3] annoncer la fin du dollar, non sans heurt, à une grande réunion de banquiers aux USA, il s’est douté que cette officialisation annonçait aussi l’approche d’un événement décisif. L’événement déclencheur du basculement annoncé par les banquiers est la Covid-19, instrument au service de la destruction de l’ancien monde en justifiant toutes les mesures liberticides et de surveillance que nous subissons depuis Mars, au nom d’une fausse pandémie meurtrière.

 

La destruction des économies locales, nationales et européenne pour détruire le monde issu de l’après guerre de 1945.

 

Orwel (1984) et les divers confinements

 

Dans les mesures de confinement et de limitations de déplacements soumis à autorisation, nous retrouvons  le récit du livre «1984» d’Orwell. Le programme d’un monde unifié, technocratique et anticatholique est annoncé depuis longtemps dans divers ouvrages qu’il cite.

 

Un de ces ouvrages, paru en 1912, du colonel Ph. DRU, conseiller de Wilson, annonçait la préparation d’une gouvernance mondiale avec coup d’état et abolition de la Constitution aux USA. La déclaration de Balfour, rédigé par Milner, pour les Accords de Breton Wood, en 1917, était aussi une préparation aux événements actuels.

 

Parmi les porte-paroles de l’oligarchie qui pilote la préparation de la gouvernance mondiale dictatoriale, Christine Lagarde, ancienne directrice du FMI, avait présenté ses vœux de janvier 2014 en mettant en valeur la signification numérologique du chiffre 7 dans l’esprit de la Kabbale. Ce qui était surprenant de la part d’une avocate française peu encline à un langage ésotérique.

 

 

 

En 2019, «The Economist» et les symboles de la destruction

 

La couverture de la revue : «The Economist» de 2019, sous le titre «The World in 2019», montre toutes sortes de symboles en rapport avec la destruction du monde ancien et de ses traditions et piliers (famille patriarcale, etc.). On y annonce par l’inscription de l’hélice de l’ADN sur le bras droit de l’homme représenté, la volonté de modifier l’ADN humain.  On y voit un pangolin (une des hypothèses de l’origine du virus). On y devine, par des représentations imagées, la célèbre: «Du pain et des jeux» pour le peuple. Toutes ces images sont censées annoncer l’avenir.

 

La couverture de «The Economist» de Janvier 1988 avec la représentation d’un phœnix sur des dollars enflammés annonçait déjà la fin du dollar et l’avènement d’une monnaie mondiale.

 

Microsoft et le projet d’un vaccin avec nanoparticules (Le Monde, 2019)

 

Le journal Le Monde de Décembre 2019 révélait le projet  financé par Microsoft  avec Gavi, les fondations de Bill Gates et Rockefeller, d’un vaccin avec nanoparticules, en cours d’expérimentation en Afrique, au Kenya et au Malawi, où des carnets de vaccination sont injectés sous la peau des cobayes africain. L’ONG IDD2020, crée en 2016,  promeut l’identification numérique des sans papiers et des SDF d’abord, avec projet ensuite de l’étendre à la population entière.

 

Klaus Schwab[4], le patron du forum de Davos, a écrit un document où la pandémie est présentée comme «une fenêtre d’opportunité» et annonçant la fin des investissements publics et privés dans l’économe du carbone, ce qui signifie le fin de la production de masse et la fin de la consommation de masse. Le Davos de 2021 prévoit la fin du monde issu de l’après guerre et un nouveau monde technocratique où s’affiche le transhumanisme, une gouvernance sanitaire mondiale et le remplacement des idées et institution du monde par un gouvernement «plus fort, plus efficace» qui s’apparente à une dictature considérée comme nécessaire.

 

Instrumentalisation du Covid-19

 

L’instrumentalisation du Covid-19, en créant un désordre complet, pour passer à la vitesse supérieure, justifie les mesures liberticides qu’il aurait été difficile d’imposer sans cette pandémie. Le basculement actuel, le changement de référence s’est fait comme Talleyrand l’avait compris pour 1789 : «Agitez le peuple avant de s’en servir»

Cette fois c’est surtout la peur qui a été utilisée pour agiter les âmes.

 

L’oligarchie dénoncée par P. Hllard a une «vision utilitaire du genre humain». Elle ne gardera que ceux qui lui sont utiles et se débarrassera des inutiles à son système d’exploitation. C’est une élite messianique avec un arrière-plan de spiritualité satanique de rédemption par le mal, par perversions, inversions et transgressions.

 

Pour le moment nous sommes dans une entreprise de démolition contrôlée.

Espérons le réveil de l’instinct de survie des peuples face à cet ennemi du genre humain.

 

 

 

 

 


[1] Pierre Hillard (né le 21.01.1966) a fait des études d'histoire et de sciences politiques. IL est docteur en sciences politiques (thèse sous la direction d’Edmond Jouve en 2005),  essayiste et professeur de relations internationales à l’École supérieure du commerce extérieur (ESCE).

[2] La "mondialisation" est un processus naturel d’évolution tandis que le terme "mondialisme" (ou «nouvel ordre mondial»), associé à l'impérialisme anglo-américain, est un concept politique «qui renvoie à la volonté du capitalisme international d'en finir avec l'État-nation comme cadre d'administration politique et référence identitaire. Sous l'effet de la globalisation des échanges économiques, les différents peuples perdraient leur identité forgée au cours des siècles, et se fondraient dans l' État mondial dominé par un groupe anonyme super puissant.»  «Les attaques contre le projet mondialiste se focalisent sur des personnalités ou des organisations, publiques ou privées, comme Richard Coudenhove-Kalergi, Clarence Streit, David Rockefeller, la Fabian Society, l' European Round table, le Council on Foreign Relations (CFR), le groupe Bilderberg ou encore la Commission trilatérale.» Ses théoriciens sont Alexandre Douguine, Yann Moncomble, Pierre de Villemarest et Pierre Hillard.

[3] Mark Joseph Carney, né le 16 mars 1965 à Fort Smith, est un économiste et banquier britannique et canadien. Il est gouverneur de la Banque du Canada de 2008 à 2013, puis de celle d'Angleterre de 2013 à 2020.

[4] Klaus Schwab, né le 30 mars1938 à Ravensbourg en Allemagne, est un ingénieur et économiste allemand. Il fonde en 1971 le Symposium européen du management, organisé à Davos, en Suisse, qui deviendra en 1987 le Forum économique mondial

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