L'Ivermectine - l'autre médicament qui peut guérir
Comme une suite
ou un écho au film Mal-traités
Les grands médias et les institutions sanitaires ne donnent aucune information permettant de se soigner.
La vaccination est présentée comme seule solution, comme si les traitements n’existaient pas, ce qui est faux. Les traitements sont occultés ou interdits de prescription.
Les médecins intègres qui tentent de les promouvoir sont même traités de complotistes.
Pour les vaccins aucune information scientifiques réelles ne sont données par les médias qui se contentent d’en faire la publicité par tous les moyens à leur disposition, quotidiennement.
C’est pourquoi je souhaite faire connaître un lien et la simple transcription un peu allégée, pour les pressés, d’un blog où des informations sanitaires issues de Suisse Romande, permettrons aux gens fragiles, exposés aux complications, de trouver des conseils de prévention et de soin. Des conseils autres que ceux déjà donnés dans le film «Mal traités».
MFT
Résumé libre d’un blog correspondant au lien suivant : https://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/2021/01/13/ivermectine-refus-de-soins-rebelotte-312078.html#more:
La crise sanitaire, un révélateur
La crise sanitaire a été un révélateur de l’accroissement de notre population âgée et de ses conséquences sur notre système de santé, tant au niveau des capacités que des coûts. Le risque d’une surcharge du système hospitalier est un problème récurrent, mentionné à plusieurs reprises par nos médias, en particuliers ces dernières années lors des saisons de grippe et de ski. Si un travail important n’est pas fourni pour éviter un risque permanent de surcharge du système hospitalier, un autre risque nous guette, celui de voir le régime d’exception dans lequel nous vivons se transformer en un régime permanent.
Mais contrairement à la propagande des autorités, les taux d’occupation des services de soins intensifs étaient normaux à l’automne.
En violation des droits des patients et des soignants, une autorité politique a décidé d'interdire ou de rendre impossible aux médecins de soigner leurs patients et d’occulter tous les traitements qui auraient pu éviter les complications respiratoires en 2020 puis 2021.
Désinformation et publicité accompagnent l’arrivée des vaccins
La désinformation s’accompagne d’une publicité éhontée et sans précédent pour de prétendus vaccins qui sont en fait copiés sur les thérapies géniques avec tout ce que ça comporte de risques nouveaux pour l’humanité.
(Voir sur ce même blog les avertissement des généticiens Chr. VELOT et A. HENRION-CAUDE)
Une vaccination n’a jamais été un traitement et il existe des traitements de la Covid-19. Parmi ceux, déjà énumérés dans le film Mal Traités, un traitement précoce avec une molécule déjà repérée au printemps et qui refait surface avec une traîne d'études convaincantes montrant son utilité : l'ivermectine.
Ce sont donc des médecins privés, des regroupements de soignants ou même de simples citoyens qui font le travail de porter le savoir en direction du public par la FLCCC.
(FLCCC :“Front Line covid-19 Critical Care Alliance”)
Un traitement anti-COVID efficace
L’OMS a récemment confié l’évaluation de l’efficacité de l’ivermectine sur la covid-19 à un chercheur anglais, le Dr Andrew Hill. Les résultats intermédiaires de sa méta-analyse d’essais contrôlés randomisés, sont impressionnants: l’ivermectine conduirait notamment à une baisse de la mortalité de 83% (le même chiffre de plus de 80% est obtenu de manière indépendante par la FLCCC et par la Doctoresse Tess Lawrie)!
Ce traitement anti-COVID efficace, selon un nombre croissant d’experts qui réduit la mortalité de plus de 80%, est aussi bon marché et sans danger.
Le témoignage du Dr Kory (voir le lien ci-dessus)
Du témoignage du Dr. Kory (voir le lien), médecin pneumologue et urgentiste, devant le Sénat américain, on peut extraire ces mots : «Je vois les patients... tous les jours à l’hôpital... Un traitement précoce est la clé... Et le médicament qui les traitera et empêchera leur hospitalisation est l’ivermectine.»
Ses co-découvreurs, au début des années 1970, ont reçu en 2015 le prix Nobel de médecine et physiologie. Des milliards de doses de ce médicament générique ont été prescrites en plus de 40 ans: les interactions médicamenteuses sont faibles, les effets secondaires généralement légers et peu fréquents.
L’invermectine, une vraie tueuse …de coronavirus !!!
Le Dr Thomas Borody, inventeur de la tri-thérapie contre le H. Pylori, l’affirmait également cet été à tous les médias qui voulaient bien l’écouter (c'est-à-dire quelques-uns seulement): l’ivermectine est une “vraie tueuse de coronavirus”.
Une médecin et chercheuse britannique, Dr.Tessa Lawrie, qui dirige une entreprise spécialisée dans l’évaluation indépendante de données médicales et qui est régulièrement mandatée par l’OMS, a repris et vérifié consciencieusement toutes les études présentées dans le rapport de la FLCCC pour publier sa propre méta-analyse.
Elle arrive exactement aux mêmes conclusions: “Nous avons maintenant des preuves solides de l’existence d’un traitement efficace anti covid-19”.
Quel traitement pour quelles priorités
La question fondamentale qui se pose actuellement est celle des priorités qui déterminent les décisions de traitement.
Imaginons que vous êtes un patient d’un certain âge, sur qui pèsent des facteurs de risque. On vous donne le choix entre deux traitements:
Le premier est très sûr, très bon marché, et très efficace sur le risque de mortalité qu'il réduit de 83%. Presque toutes les études publiées jusqu’ici le confirment, la plupart sans soutien financier de l’industrie pharmaceutique.
Le second n’est pas vraiment sûr, est très cher, et ne produit aucun effet démontré sur la mortalité: il pourrait seulement améliorer “certaines variables cliniques” selon des études subventionnées par son fabricant dont la qualité méthodologique est d’une perfection absolue.
Ivermectibe contre remdesevir
On aura reconnu l'ivermectine, puis le remdesivir. Tout être humain sensé et doué d’un instinct de survie choisirait l’ivermectine.
Or les autorités de santé recommandent le remdesivir, qu'ils portent au rang d' “option thérapeutique”, mais refusent de prescrire l’ivermectine. C’est le choix de la pureté méthodologique, au détriment de l’efficacité thérapeutique. C’est un choix difficile à comprendre si la priorité est la survie du patient dans une situation de crise pandémique. Le rapport bénéfice / risque devrait, évidemment, primer sur la perfection méthodologique comme critère de décision.
Le remdesivir et le plasma de convalescence ont été adoptés alors que l'effet clinique mesuré était faible, et les effets secondaires importants. Ces deux traitements, ainsi que les anticorps monoclonaux, ont été utilisés avant que les études ne soient révisées par des pairs. Et les campagnes vaccinales ont été organisées sans données d'études, même en prépublication!
D’après l’analyste de données Juan J. Chamie, l'ivermectine n’agit pas seulement sur la mortalité, mais aussi sur la transmission du virus. C’est pourquoi certains pays et régions qui l'ont compris ont commencé à utiliser l'ivermectine : la Macédoine, la Grèce, Belize, L’Uttar Pradesh dans le nord de l’Inde, l'Alto Parana au Paraguay, l'État du Chiapas, au Mexique, 8 régions du Pérou, plusieurs régions en Argentine, etc.
Des blocages institutionnels…
A cause des blocages institutionnels et des lenteurs politiques, ce sont des initiatives privées, en l’absence de soutien des institutions publiques ou des entreprises, qui ont permis le développement de l’ivermectine en tant que traitement: une recherche accomplie sans soutien financier, une distribution qui s’appuie, en Amérique latine, sur des groupes citoyens bénévoles plutôt que sur les institutions de santé publique, et des médecins qui prennent la parole sans être soutenus par leurs hôpitaux. Par exemple, à cause de ses opinions, Pierre Kory a dû changer d'employeur à deux reprises en quelques mois.
…A la censure
La FLCCC est censurée sur Facebook et Youtube. Même les liens vers des articles hébergés sur les sites des journaux académiques se voient parfois bloqués s’ils évoquent l’ivermectine. La vidéo originale de la Dr. Tessa Lawri a été retirée de Youtube pour violation des "terms of service"…?
Le patient doit prendre sa santé en main…
Dans un contexte qui semble donc exagérément hostile à tout traitement générique, c’est au patient de prendre sa santé en main.
L’information ne circule pas bien, il faut parler à son médecin traitant en lui signalant que les protocoles avec les dosages sont proposés par la FLCCC. Peut-être sera-t-il d’accord d’en faire une prescription. Peut-être le pharmacien sera-t-il ensuite d’accord pour vous dispenser le médicament. Pour faire bouger les choses, difficile de faire autrement.
Est-ce une nouvelle affaire hydroxychloroquine ?
Le point commun entre hydroxychloroquine et ivermectine, c’est leur faible prix.
La situation de l’ivermectine est ou devrait être différente, pour plusieurs raisons.
Il existe une quinzaine (et leur nombre augmente rapidement) d’essais contrôlés randomisés (ECR), conduits sur près de 3000 patients si l'on inclut les études de prophylaxie et les essais en cours feront monter à plus de 7000 les études sur le traitement.
Mais l’ivermectine a des atouts majeurs
Sur le plan méthodologique, il existe donc pour l’ivermectine ce qui manquait à l’hydroxychloroquine, ces fameux ECR qui fournissent un meilleur niveau de preuve scientifique. Ensuite, contrairement à ce qui s’était produit pour l’hydroxychloroquine, les conclusions des ECR ne sont pas contredites par celles des essais observationnels: l’ivermectine est très efficace, selon la quasi-totalité des articles publiés ou pré-publiés qu’il s’agisse d’ECR, d’essais observationnels ou de séries de cas. Plus étonnant encore, et autre différence avec le protocole Raoult, l’efficacité s’applique à presque toutes les étapes de la maladie: en prophylaxie, au stade précoce de la maladie, en traitement ambulatoire, et chez les patients hospitalisés pour des formes plus graves.
Les analyses de J.J.Chamie révèlent un impact marqué de la distribution d’ivermectine sur la courbe épidémiques des pays d’Amérique Latine, comme dans une province du Paraguay, dont le gouverneur, après avoir été soigné lui-même avec de l’ivermectine, en a initié la distribution dans son État, en prétextant une campagne de “vermifugation” pour ne pas s’attirer les foudres des autorités sanitaires nationales, alors hostiles au traitement.
Pour conclure, très provisoirement
Nous pouvons constater encore, après l’affaire de la chloroquine, que les gouvernements sont majoritairement hostiles aux traitements curatifs et préventifs pour leur population.
Comment expliquer cette entente sans envisager une concertation des élites au niveau mondiale ?
Comment croire encore à la bonne volonté de nos élites pour nous protéger ?
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