13 octobre 2021

62.De la crise sanitaire à une nouvelle monnaie - Philippe Guillemant

 

De la « crise sanitaire » à une nouvelle monnaie pour les échanges au quotidien : la June

 Transcription d’une vidéo d’Interview de Philippe Guillemant[1]

https://www.youtube.com/watch?v=x5jGHLj_ojA

 

 

Nous avons maintenant suffisamment d’informations sur les arrière-plans de la situation de crise actuelle pour comprendre qu’elle n’est pas sanitaire, que le ‘pass sanitaire’ camoufle une vaccination obligatoire, ainsi sans responsabilité juridique de ses effets secondaires pour les états, et que cette vaccination n’a rien à voir avec la santé.

 

Elle est l’intermédiaire choisi pour accélérer la conduite vers un contrôle numérique indispensable à la haute-finance qui nous prépare une monnaie mondiale numérique. Un euro numérique est actuellement en cours d’étude par la BCE qui dément pour le moment qu’il sera relié au pass sanitaire.

 

Pour Guillemant le principe de base de la monnaie actuelle nous rend esclaves, mais une autre monnaie est possible pour refaire une société plus humaine. Dans cette vidéo il défend la monnaie libre « June », monnaie numérique basée sur la blockchain qui ne présente plus les défauts de la monnaie actuelle.

 

Il en existe peut-être d’autres. A nous de chercher avant la disparition programmée de l’argent liquide !

 

 

Invité de Kaïros,  Ph. Guillemant , ingénieur physicien français du CNRS, diplômé de l’école centrale de Paris, qui vient de faire paraître son dernier livre Le grand virage de l'humanité[2], est interviewé le 22 / 09/2021  (kaïros en grec veut dire : moment opportun pour un changement)

Guillemant est spécialiste du chaos, de l’IA et auteur d’un nouveau modèle d’évolution de l’espace-temps qui restaure un peu le libre-arbitre.

 

« Je ne m’attendais pas à ce qui arrive, c’est un processus d’accélération d’un mouvement vers ce que j’appelle un ancien futur. Mais je m’attendais  tout de même à une crise financière, suite de celle de 20008 et même à un effondrement financier, je l’avais écrit dans mon précédent livre  Le Pic de l’Esprit. La crise de 2008 n’ayant pas été résolue par des méthodes correctes, il fallait que ça pète. »

 

Le Coronavirus et la crise

 

La crise du coronavirus masque la crise financière et permet de justifier que des masses considérables d’argent soient versées pour empêcher la banque et la Bourse de s’effondrer.

En septembre 2019, juste avant le coronavirus, aux USA un début d’effondrement a été résolu par le déversement de centaines de milliards de dollars par semaine, donc par la planche à billets. Et comme par hasard on a vu juste après  l’émergence du virus.

 

On sait qu’il y a eu une simulation, fin 2019, de pandémie. Il y a beaucoup plus qu’un seul hasard étrange dans l’émergence de la crise sanitaires, 5 coïncidences étranges qui ont toutes favorisé la décision de confinement. On peut l’interpréter comme une influence d’un futur positif ou aussi l’interpréter  comme un complot mais cette théorie est négative dans ses répercussions car ça voudrait  dire que cette situation est crée uniquement par le passé et les décisions humaines, ce qui ne me convient pas. Je propose la théorie inverse,  que le futur a changé et que nous allons dans une autre direction. Mais on a probablement un mélange des 2 explications. On n’a pas besoin d’un complot puisqu’on a clairement une instrumentalisation de la crise du virus pour nous emmener vers une société de contrôle. Surtout en France, c’est clair avec l’instauration du pass sanitaire à partir d’Octobre 2021.

 

Quid de la théorie du complot

 

La théorie du  complot est à la fois  trop simpliste et trop déterministe alors que  les mesures paradoxales et absurdes de la gestion de crise sanitaire sont plutôt les signes d’un ancien futur, le foutur, amené à disparaître. Tout ce qui arrive dans l’espace-temps doit être reconsidéré par rapport au passé et au futur. Ce regard permet de bien comprendre et de se rassurer sur les événements en cours. Dans la crise du virus on a les 3 phases caractéristiques d’un grand changement.

 

La première phase est celle  des coïncidences étranges qui amènent à un événement ou une décision qui va inaugurer ce grand changement, en l’occurrence la décision de confinement mondial. La deuxième phase est ce confinement mondial et, pour peu que la détermination des peuples à changer de destinée soit fragile, il arrive une troisième phase.

 

Cette  troisième phase est une résistance de l’ancien  futur qui se caractérise par des défaillances répétées. Que ce soient des pannes physiques ou des défaillances de personnes, très difficiles à comprendre, irrationnelles ou issues de panique. L’ancien futur qui voudrait revenir c’est en l’occurrence la dictature. Totalitarisme ou dictature ? La dictature est sur le court terme, le totalitarisme s’installe sur le long terme. 

 

Quelles conséquences ?

 

Les conséquences dans le futur sont visibles dans le présent et peuvent être modifiées. Ma vision est simple, même simpliste et rassurante. On a déjà, depuis longtemps,  un modèle simple, celui de la synchronicité qui nous apprend sur le plan individuel que, lorsque le futur change brutalement, quand on est dans une situation de grand changement au niveau individuel, ce grand changement va induire dans le présent des «hasards», des coïncidences étranges qui vont nous amener à une décision  inaugurant  ce changement. Par exemple rencontrer par hasard la maison de ses rêves, la femme de sa vie, une rencontre ou une circonstance décisive pour son destin. Quelque chose qui change son futur.

 

J’applique ce modèle au collectif. Le futur a changé quand la décision de confinement mondial a été prise. Pour la première fois les politiques ont pris une décision favorable à la dépollution sauf qu’elle  n’a pas été prise dans ce sens-là. Et au lieu de supprimer le secteur de la restauration si on avait supprimé, par exemple, l’élevage industriel ou la malbouffe ça aurait été d’une autre efficacité. Le politique peut donc prendre des décisions d’ampleur qui pourraient résoudre le problème de la planète.

 

Mais ce n’a pas été dans cette direction et la dictature sanitaire a dévoilé son objectif d’aller vers un great reset au moyen du pass sanitaire instauré avec un dogme vaccinal non justifié. Il ne s’agit pas d’une politique sanitaire mais d’une politique de contrôle avec identification numérique des individus qui ouvre 2 très grands marchés : celui les objets connectés et celui de la monnaie nouvelle dont a besoin la finance mondiale.

 

Quid des espèces

 

On va vers la fin de l’argent liquide. Les monnaies occidentales ne valent plus grand-chose à cause des planches à billets, de la spéculation qui engendrent des taux négatifs, etc. La menace d’effondrement fait qu’il y ait un besoin urgent de supprimer la dette considérable et irremboursable et de passer à une autre monnaie, numérique, pour résoudre ce problème de la dette en laissant les anciennes monnaies subir l’inflation.

 

Pour que la haute finance parviennent à nous imposer cette monnaie numérique mondiale, cela implique de nous obliger à porter cette identité numérique par laquelle on paiera à l’avenir. Le moyen de nous l’imposer sera par exemple de ringardiser les anciens moyens de paiement et de multiplier les bornes devant lesquelles il suffira de passer pour payer ses courses. On va probablement introduire le nouveau moyen de paiement en introduisant une nouvelle monnaie mondiale forte en même temps qu’on conserve les anciennes pour éviter des émeutes puis l’inflation va écrouler les anciennes monnaies peu à peu. De nouvelles technologies seront associées à l’utilisation de cette nouvelle monnaie. Un quotidien mainstream belge annonce 2500 distributeurs de billets en moins d’ici 2024 en Belgique.

 

La vaccination et la Santé : le « pass sanitaire »

 

L’injonction à se faire vacciner est en lien avec l’identité numérique dont la haute finance a besoin pour sa future monnaie. Le pass sanitaire n’est pas viable. Il est même étonnant qu’autant de gens aient pu accepter ce pass. Il va être remplacé par des identifiants qu’on portera sur soi via un bracelet, une bague, un objet dans sa poche ou une puce dans le corps. Les objets connectés vont diversifier le moyen de s’identifier auprès des bornes qui donneront le droit d’être là.

Le justificatif sanitaire n’est qu’un prétexte, le seul qui permettait d’en arriver là. Il fallait une raison forte pour que les gens acceptent de porter un identifiant pour aller dans un restaurant, un musée, etc.

 

La vaccination n’a rien à voir avec la santé. C’est un moyen de contrôle numérique par l’intermédiaire d’un pass sanitaire provisoire. Seulement 10 à 20 % des gens refusent le pass. Le résultat par contrainte n’est pas viable. Du fait de la proportion qui va refuser ce pass et du fait de l’efficacité douteuse du vaccin, le transhumanisme ne va pas arriver automatiquement.

Les faux pass ne servent  à rien,  au contraire et c’est marcher dans la combine. Le pass  ne va pas durer, de toute façon.

 

Et la CNIL ?

 

La  CNIL est là pour préserver notre liberté mais comme elle a commis l’erreur d’autoriser le pass, elle va être contrainte d’autoriser le passage  de notre identité sur un cloud. Elle va sûrement dire que c’est uniquement pour le contrôle sanitaire ce qui est faux car il n’y aura pas de garde-fou éthique, ce sera un garde-fou  technique seulement qui ne pourra pas empêcher d’utiliser cette identification à d’autres fins.

 

Les sociétés intéressées par le marché des objets connectés, tous les grands groupes, les GAFAM et  plein d’entreprises vont proposer aux gens, qui porteront des identifiants, un super service en utilisant cet identifiant,  déjà sur le cloud,  pour divers avantages, comme  trouver ce que vous chercher dans une ville, consciemment ou inconsciemment, etc. Les propositions seront ciblées comme les pubs en fonctions de vos attirances. Plus besoin de Smartphones coûteux. Avec la 5G l’identifiant sera lu à distance en même temps que d’autres informations. Cet usage qui va attirer beaucoup de  gens deviendra inévitable. La moitié de la population va entrer dans ce grand marché[3]. Ce marché naissant aurait plus longtemps à se généraliser sans le contrôle numérique qui sera permis grâce à la « crise sanitaire ».

 

Quel nouveau système financier ? Quelles monnaies ?

 

La question c’est comment passer à un autre système avant l’effondrement financier prévu pour 2020 puis retardé par la planche à billets. Mais système toujours menaçant puisqu’il crée toujours plus de dette et des taux négatifs insupportables. C’est pourquoi ils sont pressés de nous faire passer au nouveau système financier qui a besoin  de cet identifiant numérique à porter sur soi en permanence.

 

Sans le virus on  serait allé plus doucement vers ce nouveau système et il n’y aurait pas eu de contestation car on n’aurait pas flairé le danger s’il n’y avait pas eu dictature et guerre contre les peuples. C’est pour cela que je parle d’un nouveau futur le futé lumineux. L’impatience et la contrainte exercée fait commettre des erreurs à l’oligarchie. Sortir de ce système monétaire et de la surconsommation, du productivisme sera bon pour la planète.

 

Le contrôle, les normes sont incompatibles avec la créativité. Les créatifs culturels vont fuir. Les autres, ceux qui ont peur de perdre leur emploi, etc. seront des esclaves. On peut refaire société avec des rapports plus humains en utilisant une monnaie adaptée, la monnaie libre, monnaie numérique car le numérique peut être exploité pour le pire mais aussi pour le meilleur. L’usage des monnaies alternatives ne va pas faire long feu si on va massivement vers une nouvelle monnaie.

 

La June

 

La June est une monnaie libre numérique basée sur la blockchain et qui permet de se passer des banques. Elle n’a pas les 3 défauts de la monnaie actuelle :

 

►1 - monnaie-dette : le banquier choisit qui a droit d’avoir un prêt.

 

►2 - monnaie qui permet la spéculation et fait remonter la valeur vers le haut, vers les riches, vers  les élites qui paient des traders. (La taxe financière sur les transactions par la TVA touche le peuple tandis que  les transactions des traders ne sont pas taxées.). La confusion entre spéculation et investissement permet une monnaie qui facilite l’escroquerie. Le capitalisme au départ était basé sur l’investissement, ce qui est très positif de parier sur l’avenir. Mais le même processus à très court terme, vendre et acheter à très court terme, à la seconde, devient un processus pervers qui fabrique de l’argent indûment et qui ne profite qu’aux très riches.

 

►3 - la planche à billets, car la légalisation de l’escroquerie ne suffit pas pour empêcher l’effondrement du système monétaire.

 

Trois grands fléaux qui expliquent les autres problèmes de la planète.

 

La monnaie de la June est crée par  chaque individu à part égale, ne permet pas la spéculation car sa valeur reste la même (s’exprime en dividendes universels) et elle permet de créer du lien entre les gens,  construit un nouveau monde en se débarrassant de ce qui nous aliène, de retrouver peu à peu notre autonomie localement en particulier, car les biens seront achetés localement en priorité.

 

C’est une monnaie numérique block chaîne qui peut à terme produire des billets, l’équivalent de tout ce qu’on connaît. Elle n’est pas énergétivore comme le Bitcoin avec lequel celui qui a la machine a plus puissante gagne le plus d’argent. La June au contraire va économiser l’énergie.

Un ordinateur peu puissant dans le réseau de la June aura la même valeur qu’un ordinateur super puissant pour participer à la block chaîne. Ce n’est pas théorique, on est des milliers à l’utiliser déjà en France. Je l’utilise. Je fais des ateliers June pour la faire connaître.

 

On peut la rejoindre

 

►d’abord taper ‘monnaie libre’ sur internet pour comprendre, site web : monnaie-libre.fr

Il existe des sites pour acheter et vendre en ligne : jéchange.fr (le plus performant). Il y a le logiciel césium qui permet d’ouvrir un compte ; c’est une application qu’on peut installer sur les tablettes, les mobiles, tout type d’ordinateurs. Je conseille de télécharger l’option césium qui fonctionne mieux dans le logiciel libre Firefox. Il ne peut y avoir de tricheurs ou de mainmise d’un pouvoir sur cette monnaie car tout est visible.

 

Et si 90 % des ordinateurs qui portent la June sont détruits il reste 10 % pour maintenir l’intégralité du système. C’est le principe de la block chaîne où toutes les transactions de la planète peuvent être stockées et recopiées sur chaque ordinateur. Je ne pense pas qu’on va remplacer la monnaie actuelle par la June même si elle est très bien fondée car il va y avoir une résistance  de la haute finance qui a un  atout  considérable qu’elle va vouloir conserver.

 

Quels avantages, quels inconvénients ?

 

A mon avis la June va faire son chemin et dès qu’elle va menacer le système elle sera combattue mais  entre temps elle aura réussi avoir une vertu pédagogique essentielle, celle que les peuples arrivent à comprendre que c’est la monnaie qui les rend esclaves, que c’est le principe à la base de la monnaie actuelle qui est à la base de leur aliénation, ce sera suffisant, il y aura des débats ; les anciens médias vont disparaître, du coup il y aura des négociations, des rapports de force, etc. qui évolueront de façon plus bénéfique.

 

Il n’y a pas un modèle qui va arriver en sauveteur, mais des éléments vont arriver pour permettre une conscientisation des sujets progressivement afin de reprendre en mains leur vie et peut-être enfin pour arriver à une démocratie. Il n’y aura pas de nouveau futur sans une conscientisation et même un éveil spirituel. La spiritualité c’est ce qui nous permet de ressentir notre souveraineté intérieure.

 

Ce problème est en relation avec le choix à faire devant le pass et le risque d’être identifié partout numériquement. Est ce que les gens vont être suffisamment éveillés pour comprendre que là on est en train de les piéger et pour  sortir d’un système qui nous prive de notre souveraineté ?

La June est un moyen de conquérir une souveraineté physique pour une autonomie, une résilience, une solidarité, mais il y a d’autres moyens. Mais le chemin vers un futur lumineux est un chemin vers l’éveil spirituel et sa souveraineté intérieure. Et on comprend aussi que souveraineté intérieure et souveraineté extérieure sont liées.

 

Pourquoi la France semble le laboratoire pour le Nouvel Ordre mondial ?

 

La France pays des Lumières autrefois (les vraies lumières sont apparues à la Renaissance avec Pascal, Descartes, etc. et le Siècle des Lumières fut plutôt celui de l’extinction des lumières) a bien  fait la distinction entre religion et spiritualité, elle a inventé la spiritualité laïque. La spiritualité c’est avoir une âme  reliée à plus grand que soi. La France est en avance là-dessus. Et par ses productions philosophiques et son histoire  la France est respectée dans le monde. Et si on rappelle que Descartes n’était pas cartésien c’est de la France que doit venir cette rectification. Aujourd’hui ça tombe à point nommé car la physique, la science en général et les investigations sur les phénomènes inexpliqués montrent clairement qu’il faut introduire la conscience et aller vers plus de spiritualité. En France ces idées philosophiques sont là.

 

D’autre part, la France est géographiquement bien placée par rapport aux menaces climatiques, pas trop au nord, pas trop au sud. Le sud de la France permet de reconstruire plus facilement un nouveau monde ; c’est le pays qui a le plus grand nombre de villages au moment où il vaut mieux fuir certaines villes et aller vers plus de ruralité. La ruralité revient actuellement, aspect positif du covid.

 

**

 

En fin de vidéo, Ph. Guillemant raconte comment il s’est  remis en question lui-même en 2005. Il a vécu alors un effondrement, la première mort de son égo qui lui a permis de découvrir la spiritualité. Il dément donc la version de certains médias qui attribuent  certains de ses livres ou publications à la dépression puis au « complotisme », puis il poursuit en conseillant….

 

« Il faut d’abord sortir du Covid et en 2024 ou 2025 il ne sera plus possible de revenir en arrière et le reste du système sera suiveur peut-être. Il faut profiter de la situation pour changer.

Des pénuries diverses  menacent et quelques réserves seront les bienvenues.

 

La survivalisme ne marchera pas. L’autonomie ne se conçoit qu’en partage dans un lieu qui ne laisse personne en rade. Le survivalisme peut être justifié pour une période courte de chaos mais n’est pas viable à long terme.

 

Je conseille aux ingénieurs de ne plus travailler pour les grands groupes.

 

Face book aurait pu  mette en lien au lieu d’exploiter les gens.

 

Les logiciels libres sont les seuls à privilégier.

 

Je suis pour la technologie mais utilisées à bon escient. Avec la June les développeurs de logiciels libres vont enfin être rémunérés.

 

Nous sommes reliés à la nature qui ne demande qu’à collaborer avec les humains. Nous allons redécouvrir une collaboration par la permaculture, etc. Mais je ne crois pas au retour à la nature : naïf. »

 

Kaïros invite Ph. Guillemant à écrire dans son journal.



[1] Ph. Guillemant est quelqu’un qui dès le 24 novembre 2020 a dit : « Le principal but de la vaccination n’est pas d’ordre sanitaire. Le principal but de la vaccination est de parvenir à une normalisation du port d’identité numérique par chaque citoyen.»


Et il avait déjà dit dès le 23 juillet 2020 : « Ceux qui sont pour l’obligation du port du masque sous-estiment grandement le fait que le masquage est un prélude à la vaccination

Voir aussi dans ce même blob l'article n° 59.Philippe Guillemant, une lecture pour le  temps présent 

[2] On trouvera un article sur cet ouvrage dans mon blog (article n° 59)

[3] Il sera intéressant de lire dans mon blog ‘article n° 60 « Le Divin Marché - La révolution culturelle libérale » - Dany-Robert DUFOUR

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