01 juillet 2022

101. Parents, protégez vos enfants, ne les faites pas vacciner contre le COVID-19... - CIS

 

Vacciner les enfants contre le COVID-19 c’est à la fois inutile et dangereux : les effets secondaires sont nombreux et peuvent être graves

 


Étude des dossiers de la FDA et du rapport du Sénat sur les effets secondaires

 

https://crowdbunker.com/v/t3KATQx5

CSI[1] n°60 du 23/06/2022

 


Une vidéo avec Louis Fouché[2] qui reçoit :

*Vincent PAVAN[3]

*Emmanuelle Darles[4]

*Dr Philippe De Chazournes[5]

*Dr Eric Menat[6]

*Hélène Banoun[7]

*Jean-Dominique Michel[8]

 


Présentation 


Cette vidéo du CSI* qui traite globalement des vaccins à ARMm, leur inefficacité, leurs dangerosité, l’inutilité de leur usage, notamment pour les enfants, comprend deux parties, certes complémentaires, mais distinctes. Dans la première partie il est question, à partir des rapports publiées par la FDA, des vaccins Pfizer et Moderna (Efficacité, Mesure de leur prétendue protection, Sécurité). La deuxième partie est, quant à elle, consacrée à l’analyse du rapport (en fait, le ‘pré-rapport’) du Sénat après l’enquête de celui-ci, suite à une pétition citoyenne, à propos des effets secondaires des vaccins. Dans la première partie, c’est Hélène Banoun qui est chargée de l’analyse des dossiers Pfizer et Moderna, rôle qui incombe, dans la deuxième partie, à Vincent Pavan.

 

Ces Scientifiques indépendants sans conflit d’intérêt, il faut le répéter et le souligner, ont étudié pour nous les rapports d’essais des laboratoires Moderna et Pfizer sur les vaccins anti- Covid qui seront peut-être bientôt obligatoires pour les enfants de 6 mois à 6 ans. Parents, pédiatres, médecins, directeurs d’école, vous devez en prendre connaissance avant la rentrée.

 

Ils ont également épluché le rapport de l’OPECTS (Office Parlementaire d’Evaluation des Choix Technologiques et Scientifiques). Suite à une pétition demandant une enquête sur la campagne de vaccination anti-covid, le Sénat, après auditions et entretiens avec divers participants, entre fin Mars et fin Mai 2022, a rendu un pré-rapport, contesté par certains, car il y avait peu d’avis contradictoires et peu de médecins. Malgré tout, il en ressort des indications précieuses sur lesquelles des politiques de bonne foi pourraient s’appuyer pour contrer la dictature sanitaire. Le Conseil Scientifique Indépendant en donne un résumé dans cette vidéo et prépare une analyse conséquente de ce rapport qui sera publiée prochainement.

 

L’affaire Covid n’est pas terminée, la dictature sanitaire mise en sourdine par les élections, n’est pas terminée, nous devons nous préparer à une période difficile pour nous et une rentrée menaçante pour nos enfants.



 

*Les synthèses du CSI sont disponibles ici pour les pressés : https://reinfocovid.fr/articles_video/syntheses-des-live-du-csi/

 


 


I

Première partie : étude des dossiers FDA de Moderna et Pfizer : Ni efficacité ni sécurité, balance bénéfice / risque nulle, mais « imposture méthodologique » totale

 

Des personnalités, sénateurs, parlementaires, etc. sont en train de changer d’avis.

Mais la plupart des gens en sont au niveau de conscience de BFM TV (E. Darles)

 

Hélène Banoun : La FDA[9] approuve les vaccins pour les enfants de 6 mois à 5 ans : 15 Juin 2022. Bien que reconnaissant qu’ils n’immunisent pas contre le virus ciblé.

Le vaccin ne protège pas les bébés et il est toxique d’après les résultats officiels. Il favorise même l’infection dans les semaines qui suivent l’injection. « Pour Pfizer et Moderna l’ « efficacité revendiquée l’est exclusivement sur l’ « immunobriding », c’est-à-dire sur le taux d’anticorps (comme si la présence d’anticorps suffisait à rendre un vaccin efficace) observé après les injections et aucunement sur la capacité du ‘vaccin’ à empêcher une infection par le virus ciblé

 

Normalement un vaccin dont l’efficacité est inférieure à 50 % n’est pas autorisé mais la FDA fait une exception pour les vaccins pédiatriques. « Pourquoi, on ne sait pas ».

 

Analyse du dossier officiel publié par la FDA américaine

 

Moderna[10], 6 mois / 6 ans, testé pendant la période Omicron, 2 doses de 25 microgrammes :

 

► Éfficacité, mesurée sur le taux anticorps sur seulement 10 % des participants, qui donne 43,7 % d’efficacité chez les 6 mois/ 2ans et 37,5 % chez les 2ans/6ans

 

► Protection contre la maladie mesurée 14 jours après la 2è injection. (Pas d’indication sur la période entre les 2 doses où il y a souvent des infections).  Pas de covid sévère ni de décès mais l’essai est non conclusif. Et malgré cela, un rappel est décidé nécessaire, avec un vaccin reformulé (Mixte Omicro-Wuhan) ou avec le même vaccin

 

► Sécurité (effets toxiques) : suivi sur seulement 2 mois1/2 Déjà avec si peu de temps de suivi : 1 enfant sur 200 a eu des effets indésirables graves 28 jours après les doses. Beaucoup d’enfants ont été exclus avant la fin de l’essai et dont on ne sait rien.( Certains notés avec effets graves mais probablement d’autres non notés)

 

Pour les 2 à 5 ans : 9 effets indésirables graves pour les vaccinés ( contre 2 placebo) . Convulsions, problèmes respiratoires, douleurs thoraciques, etc. Disparitions de certains effets dans les tableaux… ? Et 1 Kawasaki (inflammation multi-systémique), 79 jours après,  non attribuée au vaccin.

 

Pour les 6 mois/ 2ans : 15 effets indésirables graves (contre 1 placebo). Convulsions, choc anaphylactique, fièvre, infections respiratoires, diabète de type I et un effet non classé 2 jours après la dose 2 pour un bébé de 9 mois: phénomène hépatique altéré. Deux enfants retiré de l’essai dont un pour un urticaire le jour de la dose 1. Est précisé : pas de décès , pas de myocardite, ni de Kawasaki  alors que le cas de Kawasaki du groupe précédent n’a pas été attribué au vaccin.

 

La pharmacienne commente : « ils n’ont plus peur de rien ou s’imaginent que personne ne lit leurs essais avec leurs tableaux d’effets toxiques. Les chiffres ne sont pas conclusifs. Et ne devraient pas permettre une autorisation de ces vaccins. »

 

Pfizer[11] : 3 injections à ARN pour les 6 mois à 4 ans. Essai en période Omicron

Suivi sur 6 mois mais les participants du groupe placebo recevront un vaccin ce qui aboutit à la suppression du groupe placebo et invalide les essais pour les bébés et les enfants qui atteignent 5 ans au cours de l’essai. Impossible de comparer vaccinés et non vaccinés.

 

 Protection : en gros, inefficace, ce pourquoi 3 doses. Les quantités non augmentées à cause de la toxicité du produit injecté. 6 cas de covid-19 sévère dans la période Omicron chez des 2 à 4 ans vaccinés (virus Omicron moins virulent et tranche d’âge non touchée naturellement par le covid-19), 12 cas de covid multiple chez les vaccinés: plusieurs fois la maladie dans les 3 mois d’essai.

Donc le vaccin facilite et aggrave la maladie

 


 Efficacité : Pour le calcul d’efficacité seulement 5 % des participants retenus, sur 3 cas et 5 semaines et mesuré sur le taux d’anticorps 1 mois après l’injection (non sur l’absence de maladie)

Par contre l’essai montre l’efficacité à 100 % de l’immunité naturelle

 

 Effets toxiques : convulsions fièvre,  choc anaphylactique, appendicite, épilepsie, hyper-sensibilités diverses. Des enfants retirés de l’essai pour des effets indésirables non classés

Effets indésirables anormalement élevés selon le rapport.

 

Ce sont des rapports officiels

 

Ces rapports Moderna et Pfizer sont ceux fournis à la FDA pour approbation

Autorisation exceptionnelle pour ces vaccins pédiatriques à efficacité inférieure à 50 % et toxiques malgré des « incertitudes » avouées par la FDA.

 

Commentaire de la pharmacienne : Deux adolescents de 14 ans ont fait un Kawasaki et ont gardé des séquelles cardiaques avec ces mêmes vaccins. Alors on peut imaginer les dégâts sur des bébés.

 

Dr Louis Fouché : Le niveau d’imposture méthodologique et le niveau de risque encouru est très élevé et traduit la grande violence exercée à l’encontre des populations. Il précise que ce fut la même chose pour l’AMM qui a autorisé les premiers vaccins en France et ailleurs.

On est déjà « tombé des nues » à la lecture des premiers rapports des divers labos pour les premiers vaccins et ça continue, ils continuent sans vergogne, et en pire car ils s’attaquent maintenant aux petits enfants et aux bébés. J’en reste bouche bée !

 

Dr Éric Menat : on accorde l’autorisation à ces vaccins uniquement sur la présence d’anticorps alors que ce n’est qu’une efficacité théorique et non une efficacité clinique. De plus, 50 % c’est  1 cas sur 2 donc du hasard et totalement non fiable. Or l’efficacité est à moins de 50 %. Et à aucun moment la balance bénéfice/ risque n’est prise en compte. Pour tout médicament lorsque les risques sont supérieurs aux bénéfices les autorisations ne devraient pas être accordées. Là, les bénéfices sont nuls et les risques sont importants. Dans les tableaux on voit également que des effets toxiques graves ne sont pas attribués aux vaccins sans raison. Comment des scientifiques peuvent accepter ça ?

 

 

Commentaires d’autres participants

 

Aucun bébé n’a fait de forme grave de covid, ni n’a pu risquer de contaminer quiconque.

Quels parents peuvent mettre leur bébé dans des essais ?

 

Est-ce que ce sont des bébés abandonnés comme ça déjà été fait pour le Gardasil ? Les autorités se dégagent de toute responsabilité. Il faut cesser d’être gentil et être vrais. Si nous sommes forts sur le vrai et ne lâchons rien, nous pourrons résister à cette malveillance, cette violence.

 

Suggestion d’action : Montrer les infos, se faire écouter en commençant par les services de pédiatrie. Quitte parfois à payer une consultation pour se faire écouter

 

 


 

II

Deuxième partie : Pré-rapport d’enquête du Senat sur les effets secondaires.

Vincent Pavan : "Intervention à propos du rapport préliminaire sénatorial sur les effets indésirables. "

 

Étude du rapport de l’OPECTS (Office Parlementaire d’Evaluation des Choix Technologiques et Scientifiques) sur Les effets indésirables des vaccins contre la covid-19 et le système de pharmacovigilance français.

 

Une pétition de Janvier 2022 a demandé une enquête. En février 2022 le Sénat diligente une enquête d’où ce rapport de 80 pages et quelques annexes.

 

Les rapporteurs ont conduit 23 auditions et entendu plus de 50 intervenants du 28 Mars au 30 Mai 2022.

 

Dans ce rapport, on remarque peu d’avis contradictoires et peu de médecins sont entendus.

 

Souvent des phrases importantes noyées dans des avis contraires,  mais on peut en dégager, comme points forts et dénonciation par les rapporteurs de l’OPECST :

 

 la reconnaissance des effets indésirables et des victimes de ces effets.

 la reconnaissance  des cas de décès par thrombose liée au vaccin (AstraZeneca au moins)

 la reconnaissance d’une communication vaccinale biaisée, communication disproportionnée en faveur de la vaccination, absence de communication allant dans le sens de la prudence, communication qui ne permettait pas une décision libre et éclairée dans le chapitre  « Reconnaissance d’une communication et de moyens employés contre-productifs pour la santé publique »

 la reconnaissance d’une vaccination sous contrainte

 crainte pour l’avenir de la vaccination due à une perte de confiance

  la reconnaissance d’une sous-déclaration des effets indésirables

 la reconnaissance d’un manque de transparence

 la reconnaissance d’un faible recul sur les vaccins

 la reconnaissance du caractère partiel de l’info fournie par les labos (qui maintenant ne se cachent même plus que ça ne marche pas du tout)

 la reconnaissance d’une efficacité modeste des vaccins anti-covid (la maladie entre 0 et 14jours n’étant  pas mesurée et sortie des statistiques,  l’efficacité en réalité est nulle)

 la reconnaissance du désengagement vis-à-vis de l’étude des effets indésirables.

 la reconnaissance de la défaillance de la pharmacovigilance

 la reconnaissance de l’utilité des scientifiques indépendants ( comme le CSI et d’autres) dans le travail de pharmacovigilance (non officielle mais efficace)

 la reconnaissance d’une balance bénéfice/ risque insuffisamment basée sur la science (persuasion et corruption en ont pris le contrôle)

 


Commentaire de Vincent Pavan

 

Les hommes politiques pourront s’appuyer sur ces points forts mais il y a encore beaucoup de lacunes et d’affirmations, parfois gratuites, dans ce rapport qui sont des amalgames, des contre-vérités qui vont à l’encontre de tout ce qu’on connaît depuis longtemps ou qui relève de l’idéologie et beaucoup de contradictions y sont relevées par les scientifiques qui ont épluché ce rapport.

 

Il n’y a pas de tentative de quantifier la balance bénéfice / risque certainement parce que tous savent qu’elle a été défavorable, comme l’a montré l’observation clinique. On y parle d’une certaine efficacité affirmée péremptoirement sans preuve et sans chiffre. Et on y répète le bien-fondé de la vaccination. Des mensonges par omission dans ce rapport ne sont pas loin de valoir des plaintes pénales pour moi, dit V. Pavan, il va falloir réfléchir à cela avec les associations.

 

Le « remède » plus létal que la maladie

 

Globalement la létalité des vaccins (environ 1,5%) a été supérieure à celle de la Covid-19 en contradiction avec la communication publicitaire faite en faveur des vaccins. En réalité ces vaccins sont inefficace à protéger, inefficace contre la transmission et sont toxiques, maintenant cela est constaté, l’observation clinique et les chiffres le prouvent. Le gouvernement,

 Macron a dit que l’on pouvait discuter de tout mais pas des chiffres. Maintenant on ne nous présente pas de chiffres en rapport avec la vaccination car ils sont défavorables à la propagande.

 

Quand on compare les effets indésirables des vaccins contre la grippe avec les vaccins contre la Covid, sorte de grippe, les différences d’effets toxiques sont incommensurables. Les vaccins covid sont largement plus risqués que tout ce qu’on connaît.

 

Des vaccins impuissants à protéger, improductifs contre la transmission, mais toxiques et dangereux, est-ce cela que nous voulons pour notre santé et celle de nos enfants ?

 

L’ANSM[12] fait une brochure pour les médecins qui doivent donner une information permettant au patient un consentement lire et éclairé. Elle indique des « fréquences » en divisant le nombre des effets indésirables par le nombre de gens vaccinés et ensuite classe en marges différentes selon le pourcentage obtenu, par exemple fréquence entre 1 et 10 %, fréquence rare, très rare, etc.

 

Mais en fait c’est le nombre de cas noté dans la pharmacovigilance qui a été divisé par le nombre de vaccinés. Or les remontée de cas indésirables se font avec un taux de 5 à 10 %. Donc ce ne sont pas des chiffres réels mais divisés par un chiffre entre 10 et 20, pour les cas d’effets indésirables. Donc les fréquences sont faussées : les myocardites sont beaucoup plus fréquentes que celles annoncées et on sait qu’elles sont concentrées sur les plus jeunes; même chose pour les péricardites; les effets indésirables graves remontent aussi à 1,8 %.

 

Des mensonges à la chaîne

 

Donc l’ANSM communique de façon insincère vis-à-vis des médecins qui ainsi trompent leurs patients s’ils se contentent des chiffres officiels. Et la communication selon laquelle les décisions sont prises en tenant compte des effets indésirables est fausse. D’ailleurs certains vaccins du marché ont été retirés du marché en catastrophe.

 

Un participant de ce rapport du Sénat dit que les vaccins covid font moins de dégât que les autres vaccins, c’est un pur mensonge. Un exemple de contradiction du rapport : il est dit que le système de pharmacovigilance passive est encensé malgré sa faillite complète. La pharmacovigilance active (avec participation des vaccinés victimes des effets indésirables) qui aurait pu être plus efficace n’a jamais été entreprise.

 

Vincent Pavan montre les courbes qui indiquent que les mortalités Covid sont corrélées au système de vaccination en 2021 et 2022 dans plusieurs pays. Donc l’affirmation que le vaccin réduit la mortalité est fausse.

 

Une analyse à venir

 

Nous allons publier notre analyse de ce rapport prochainement en même temps que le nouveau projet de loi qui devait être présenté au Sénat le 11 juillet et qui est retardé par les législatives qui n’ont pas donné la majorité au gouvernement. Notre analyse relève donc les points forts qui confirment la réalité et toutes les inexactitudes et tous les mensonges.

 

Louis Fouché et d’autres participants du CSI nous conseillent d’envoyer ce document aux parlementaires élus qui devraient être au service des citoyens, aux médecins chargés de vacciner les enfants, aux directeurs d’école, à tous ceux qui sont chargés de prendre des décisions nous concernant.

 

Le doute à qui profite-t-il ?

 

Le doute ne profite plus aux patients. De plus en plus de victimes se mobilisent mais c’est à chaque citoyen de participer à notre défense dont celle des enfants en priorité.

 

Dr Menat : rappelle qu’on discute d’un vaccin à risques contre une maladie qui ne présente plus aucun risque et n’en a jamais présenté pour les bébés et les enfants. Accepterions-nous un vaccin à risques contre le rhume même si ce vaccin ne présentait qu’un faible pourcentage d’effets secondaires graves ? Non évidemment !

 

Le problème vient de ce qu’on oublie que ce vaccin ne sert à rien ! Aucun bénéfice à cette vaccination !

 

C’est pourtant facile de voir autour de nous tous les vaccinés qui ont été contaminés, qui ont été malades autant sinon plus que des non vaccinés. On sait qu’il n’y a pas plus de formes graves avec les variants chez les non vaccinés et on sait que les vaccinés sont tout autant contagieux et même plus contaminants d’après mon expérience personnelle de médecin soignant.

 

Ce sont les agences de santé mercantiles et non les parlementaires qui décident de nouvelles doses complètement inutiles pour la santé publique et dangereuses.

 

Dr Ph. De Chazournes : mentionne le cas d’un pilote d’avion qui a eu comme  effet grave un AVC et qui ne fait pas remonter son cas vers la pharmacovigilance parce qu’il risquerait de perdre son travail même après guérison. Et il rappelle que d’autres sont dans ce cas et risquent leur carrière en cas de certains effets graves et cachent leurs problèmes de santé pour garder leur job.

 

Mais c’est dramatique pour des passagers d’avion bien qu’il y ait 3 pilotes (mais  les 3 peuvent être victimes de séquelles de la vaccination). Un rapport des navigants sur ce problème circule actuellement.

 

Hélène Banoun signale que l’on n’en a pas finis avec la Covid vu tous les projets de loi ou d’application diverses qui continuent en France et en Europe.

 

 









[1] CSI. Conseil Scientifique Indépendant. Le Conseil Scientifique Indépendant a été créé (le 12 juin 2021) pour offrir une vision objective et rigoureuse de la situation sanitaire actuelle, sans aucun conflit d’intérêts, dans le but d’informer loyalement la population sur les meilleurs choix à faire.

Réunir et coordonner des penseurs et des pédagogues transdisciplinaires pour offrir un regard “complexe” sur le réel que nous vivons et que nous pouvons désirer.

Raconter différemment le monde..

Donner à voir la diversité des possibles et des regards.

Le CSI étudie avec rigueur et objectivité toutes les études publiées autour de la Covid-19, dans tous les domaines, afin de pouvoir mieux comprendre la pathologie appelée « Covid-19 » et la situation sanitaire quelle entraine pour pouvoir faire des propositions afin de mieux prendre en charge la population et l’informer sur la réalité des faits afin de faire disparaitre la peut panique instillée depuis le début de l’épidémie.

[2]


Louis Fouché, cet infatigable lanceur d’alerte Covid de la première heure est désormais bien connu. Médecin anesthésiste-réanimateur, fondateur du collectif Reinfocovid.

[3] Vincent Pavan, enseignant chercheur à l’université d’Aix-Marseille. Dans ce même blog, il a été question de son ouvrage « Le débat interdit », cosigné avec Ariane Bilheran et publié chez Guy Trédaniel en 2022 (article n° 97)

[4] Emmanuelle Darles, Depuis 2011, Maîtresse de Conférences dans l'axe ASALI (Analyse et Synthèses d'Images) à l'institut de recherche XLIM - UMR CNRS 7252.

[5] Dr Philippe De Chazournes Docteur en Médecine générale

[6] Dr Eric Menat, docteur en médecine

[7] Pharmacien biologiste, PhD, Chercheur indépendante et bénévole sans lien d’intérêts, membre du CSI et de l’AIMSIB 

[8] Jean-Dominique Michel, spécialiste en anthropologie de la Santé. Auteur de : « Covid : Anatomie d’une crise sanitaire.

[9] FDA, Food and Drug Administration. « Agence fédérale américaine des produits alimentaires et médicamenteux ») est l'administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments. Cet organisme a, entre autres, le mandat d'autoriser la commercialisation des médicaments sur le territoire des ֤États-Unis. La FDA a son siège social à White Oak dans le Maryland. L’agence dispose également de 223 bureaux extérieurs et de 13 laboratoires situés dans les 50 États, les îles Vierges américaines et Porto Rico, et plus récemment, sur des sites internationaux, notamment en Chine, en Inde, en Europe, au Moyen-Orient et en Amérique latine. Elle salarie environ 9 300 personnes et gère un budget annuel de 2,3 milliards de dollars (chiffres 2008). La demande de budget fédéral de la FDA pour l’exercice 2014 a totalisé 4,7 milliards de dollars. (source : Wikipedia)

[10] Il est intéressant de rappeler ici l’article de Charles-Maxence Layet (Ethnologue, journaliste, explore depuis 20 ans les nouvelles technologies de l’énergie) dans NEXUS n° 37 de novembre-décembre 2021 à propos de Moderna, sous le titre de « Evasion fiscale : les us et abus de Moderna avec son vaccin à ARNm. Selon l’auteur, « les brevets du vaccin à ARN messager de Moderna sont issus de la recherche publique (…) Le choix de la Suisse permet à Moderna une première optimisation fiscale (…) L’avidité de Moderna est sans limites. Une étude parue en 2020 constate que, de 2000 à 2018, la marge bénéficiaire de l’industrie pharmaceutique était en moyenne de 13,8 %, contre 7,7 % pour les autres industries, mais dans le cas du vaccin Moderna, on approche les 44 % »

[11] Su Pfizer et ses manigances, on peut consulter dans ce même blog, l’article n°  75 : Pfizer, ce héros, d'après le groupe de médecins canadiens CCCA

[12] ANSM, c’est-à-dire l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé, en quelque sorte l’équivalent français de la FDA américaine.


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