« Chronique d’une dictature mondiale:
Où en sommes-nous ? »
Par la journaliste Senta Depuydt dans la revue
NEXUS de Novembre 2022
Cet article vient d'être mis à jour (décembre 2022). La mise à jour se trouve dans le blog de la journaliste "La lettre de Senta" et est ainsi présentée : "Pendant que le monde a les yeux tournés vers la facture énergétique et
la guerre en Ukraine, les organisations internationales poursuivent
‘coûte que coûte’ leur tentative de mise en place d’un gouvernement
mondial par le biais de l’agenda de ‘la santé globale’." A lire absolument : https://sentadepuydt.substack.com/p/maj-dec-2022-chronique-dune-dictature
Résumé de l’article
Dès 2019
Ce dossier prémonitoire a été confirmé après 2020. Il est maintenant incontestable qu’un plan mondial de la vaccination obligatoire existe, lui-même étant un élément du « grand reset » ou de l’ Agenda 2030 du Forum économique mondial (FEM).
Les acteurs de ce Forum de Davos en accord avec l’ONU, sous prétexte de mieux résoudre les crises sanitaires, visent une gouvernance mondiale selon une idéologie autoritaire et transhumaniste, telle celle prônée par Yuval Harari, le principal conseiller de Klaus Schwab, le fondateur et directeur du FEM.
Davos à la manœuvre
A l’origine de ce coup d’état silencieux et apatride, des néoconservateurs et des démocrates américains, le complexe militaro-industriel, les grandes banques, Big Pharma, les GAFA et la CIA.
Les politiques de l’UE étant dirigées sur tous les plans, monétaire, économique, militaire, sanitaire, par les USA et le secteur privé ainsi que par l’ONU et l’OTAN eux-mêmes sous contrôle des USA, l’UE suit les ordres émanant des USA et des milliardaires du FEM de Davos.
Vers un gouvernement mondial : le plan
Les milliardaires qui veulent contrôler et gouverner le monde, qui « espèrent épurer la planète de ses créatures imparfaites et mater la population restante...à l’aide d’hommes augmentés et de robots » peuvent-ils vraiment accomplir leurs fantasmes ? Se demande la journaliste.
Rôle prépondérant de l’OMS
Depuis 2020 nous assistons à une tentative de création d’un gouvernement mondial « de nécessité » sous la direction de l’OMS comme structure supranationale dirigeante. Les USA et l’UE viennent de créer deux instruments : le Traité International sur les pandémies qui supplante la souveraineté nationale en cas d’urgence sanitaire et le Règlement sanitaire international contraignant pour tous les États membres.
« Dans la pratique, l’OMS entend s’arroger le droit de déclarer des pandémies où et quand cela lui semble bon et de prendre le contrôle des opérations dans n’importe quel État...y imposer des mesures médicales et non médicales.» En cas de refus de son intervention des sanctions seraient prises contre le pays récalcitrant. Cela malgré le fait que l’OMS n’a aucune légitimité démocratique.
Pas de possibilité d’action des états européens sur l'OMS
La journaliste rappelle que ni l’OMS ni aucun de ses dirigeants ne sont élus et aucun des délégués des Etats membres qui participent aux négociations ne sont habilités à compromettre la souveraineté de leurs Etats. Donc que tout transfert de compétence d’un Etat membre vers l’OMS est antidémocratique.
Silence radio de la presse soumise
Actuellement l’OMS aide 194 pays dans la mise en place de certificats de vaccination numériques et met en œuvre les moyens de les rendre vérifiables et infalsifiables. Elle promeut également le développement et l’utilisation des techniques à ARNm pour de nouveaux vaccins et aussi pour renouveler la gamme des anciens vaccins (grippe pour les anciens, ROR pour les enfants, etc.). Egalement ARN pour les traitements de maladie, en particulier le cancer.
De l’OMS sur chaque chose
La fuite en avant de l’UE se manifeste dans le prolongement du pass sanitaire jusqu’en 2023 et la prévision d’un retour du coronavirus pour l’hiver prochain. L’UE travaille à l’introduction des cartes d’identité numériques et à l’euro numérique afin de mettre en place le contrôle et la surveillance de l ‘Agenda 2030 du Forum de Davos.
Nouveaux vaccins
Mais des résistances se manifestent en Grande-Bretagne, aux USA et en Europe à travers des réfractaires au vaccin Covid : 3 personnes sur 5 aux USA et G-B et 20 % de la population en Europe. La confiance dans les autorités de santé et dans la vaccination a chuté. Chez les enfants le risque est considéré comme démesuré et inacceptable.
Des voix s’élèvent…
De nombreuses voix s’élèvent contre les fabricants et les régulateurs. Des experts et des lanceurs d’alerte dénoncent les fraudes dans les essais cliniques. Face au nombre impressionnant d’effets secondaires, de nombreux responsables des autorités de santé démissionnent par crainte d’être mis en cause.
Anthony Fauci, monsieur réponse Covid, fait l’objet de critiques de plus en plus soutenues de la part des Républicains qui réclament une commission d’enquête au Congrès pour son implication dans la fabrication et la gestion de la pandémie. L’opinion publique et politique commence à se modifier grâce au best-seller de Robert F.KennedyJr[2].
La surprise vient de l’Inde, du Brésil, de l’Afrique qui se sont écartés des politiques de l’OMS.
En Inde hydroxychloroquine et ivermectine ont été utilisés pour soigner la population et l’obligation vaccinale a été jugée, par la Cour Suprême indienne, contraire à la Constitution le 2 mai 2022.
Au Brésil Bolsonaro dénonce le détournement des urgences sanitaires au profit des intérêts de l’élite globale autoproclamée.
Et l’Afrique, entraînée par le Botswana se dresse contre les diktats de l’agenda mondialiste.
Grâce à une alliance entre ces pays, et en particulier des pays africains, le Règlement sanitaire international a été rejeté lors de la 75è Assemblée mondiale de la santé à Genève.
Aux USA aussi, petit coupe de frein…
Pour la journaliste il faut s’attendre à ce que les psychopathes qui nous gouvernent aillent jusqu’au bout de leurs fantasmes et la crise financière imminente risque de plonger notre société dans le chaos. Elle craint que la misère qui s’ensuivra crée un contexte favorable au grand reset par l’intermédiaire d’avantages matériels accordés à ceux qui accepteront les pertes des libertés.
Mais elle reconnaît que tout n’est pas joué. Il est possible que la logistique ne suive pas les décrets surtout si la masse ne collabore pas et n’adhère plus au narratif. Contraindre 100 millions d’européens à se faire vacciner risque d’être laborieux.
Un éveil des consciences peut changer la donne
Et surtout elle compte sur l’éveil des consciences qui peut changer la donne. De plus en plus de gens sortent du carcan de la pensée unique et de la dépendance. On observe, dit-elle, une volonté d’évoluer vers l’autonomie.
« La créativité et le libre-échange n’ont jamais été aussi présents. Et que dire de l’éveil des cœurs, de l’éveil spirituel au milieu de toute cette déshumanisation ? Cela, c’est le grand pari, le reset invisible dont on est encore loin d’imaginer la puissance.» conclut-elle !
Une enquête très sérieuse
Cet article de Senta Depuydt est suivi de 42 notes indiquant toutes les sources de son travail : livres, articles et beaucoup de liens numériques.
[1] L’auteure de cet article, Senta Depuydt, est diplômée en communication de l’université de Louvain et a travaillé plusieurs années dans des multinationales. Dans ce même blog, on peut lire l’article n° 04.Un point de vue sur les vaccins, déjà un résumé de son article, résumé qui se terminait ainsi : « Le programme de surveillance accrue (5G, Linky, villes connectées?) sous couvert de santé, d’écologie et d’optimisation énergétique est en cours d’application. Les stratégies de l’agenda global, qui se prépare depuis des décennies, seront-t-elles contrées par le réveil de la conscience collective de l’humanité...? »
[2] Cf. dans ce blog : article n° 104. Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma and the Global War - Robert F. Kennedy Jr.
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