23 novembre 2022

136. Ces notions qui posent question - Yves Rasir - Denis Rancourt (Canada) - NéoSanté (Belgique)

 

Ces notions qui posent question

Encore des théories du complot ?

Il n’y a pas de fumée sans feu

 

 

Yves Rasir de NéoSanté (Belgique) dévoile

 

 

 

 

 

Extraits 

tirés de sa lettre

 hebdomadaire[1]


 

 

Avant lire

Yves Rasir de NéoSanté a repéré un éclairage venu d’un scientifique canadien et de statisticiens confirmant l’absence de « pandémie » en 2020 et le rôle de la peur et des mesures gouvernementales sur la mortalité

 

Yves Rasir relaie l’éclairage apporté par un scientifique canadien sur le récit pandémiste. Voici un large extrait concernant la ré-information de Denis Rancourt, ancien professeur de physique à l’université d’Ottawa.

 

D’abord Rancourt dénonce l’inutilité et la dangerosité des masques, ensuite il fustige les autres mesures sanitaires délétères et liberticides.

 

Ses articles scientifiques publiés sur Researchgate ont été  rapidement censurés et ses interventions vidéo prestement bannies des réseaux sociaux. C’est contraint et forcé que ce chercheur indépendant et pluridisciplinaire a dû créer son propre site internet pour y loger ses travaux et les mettre à l’abri de la censure.

 

Denis Rancourt ne parle pas sans preuves

 

Sur cette page, vous pouvez retrouver la trentaine d’analyses et de rapports qu’il a produits depuis le mois d’avril 2020.

 

Et sur cette autre page, vous pouvez visionner toutes ses prestations  audiovisuelles, en anglais ou en français.

 

Participation au Conseil Scientifique Intépendant

 

Regardez la toute dernière – sa participation au Conseil Scientifique Indépendant du 10 novembre – car ce  passionnant 78ème numéro du CSI l’oppose courtoisement  aux autres participants (Éric Ménat, Louis Fouché, Hélène Banoun, Olivier Soulier, Emmanuelle Darles). Alors que ceux-ci s’accrochent à la narration d’un fléau infectieux et d’un nouveau virus relativement dangereux, Denis Rancourt[2] objecte tranquillement que cette vision n’est pas la sienne et que tout peut parfaitement s’expliquer autrement.

 

En parlant d’épidémie…

 

La gravité d’une épidémie ne peut s’évaluer que par la surmortalité toutes causes confondues. C’est la seule donnée qui ne peut pas être biaisée et dont la fiabilité est très élevée. Or il n’y a pas eu d’excès de décès en 2020 dans certains pays ou dans certaines régions d’un même pays durement touché, ce qui indique déjà que le narratif dominant est mensonger.

 

Certes, il y a eu une vraie hécatombe aux États-Unis –  1,2 millions de morts en plus que la normale – mais ce pays partage une très longue frontière et entretient des échanges intenses avec le Canada, où la mortalité excédentaire (+ 3%) a pourtant été dérisoire : cherchez l’erreur !

 

Pour parler de surmortalité encore

 

Selon Denis Rancourt, la surmortalité et son hétérogénéité ne peuvent s’expliquer que par les mesures adoptées durant les premiers mois de la pseudo-pandémie. Ce sont les solutions choisies (masques, confinements, distanciation sociale, …) qui ont créé le problème.

Si les mêmes recettes sanitaires n’ont pas rempli les cimetières partout de la même manière, c’est parce que la vulnérabilité des populations diffère fortement d’un pays à l’autre et d’une région à l’autre. Qu’est-ce qu’une personne vulnérable ? Contrairement à ce qu’on pourrait croire, ce n’est pas  tant une question d’âge. Il n’y a pas de corrélation évidente entre l’importance de la surmortalité et le nombre d’habitants âgés.

En revanche, Denis Rancourt a trouvé de très fortes corrélations avec le taux de pauvreté et la fréquence du handicap mental. Pour lui, ces deux critères de fragilité ont pesé tellement lourd qu’ils suffisent à expliquer l’ampleur des pics enregistrés aux USA. Certes, les pauvres et les malades mentaux sont également plus sujets aux comorbidités telles que diabète ou obésité. Mais avec les seules variables du revenu et du trouble psychique, on obtient déjà la preuve statistique que les stratégies « non pharmaceutiques » sont les vraies responsables du désastre humain survenu à certains endroits en 2020

 

Le poids des décisions gouvernementales

 

Le stress a pesé très lourd. Denis Rancourt d’insister : chez les individus fragiles, les décisions gouvernementales et l’attitude du corps médical ont eu un impact terriblement violent.

Chez les personnes vulnérables, très dépendantes,  séjournant en institution et déjà isolées socialement, la politique de lockdown n’a pu que  nuire directement à l’équilibre psychologique et indirectement au système immunitaire, le second étant intimement lié au premier.

Selon le chercheur, en définitive, toute la mortalité excédentaire américaine peut être attribuée au stress infligé par les autorités et à ses effets nuisibles pour la santé.

 

Ce que montrent les statistiques

 

D’ailleurs, on en a statistiquement la preuve : aux States, les sept ou huit  états qui n’ont pas confiné sont aussi ceux où la pandémie a été la plus clémente. Et inversement, les mesures de confinement et d’isolement sont associées à une surmortalité importante dans les états qui les ont prises. Ce qui est valable outre-Atlantique est évidemment valable en Europe : inutile de vous rappeler que certains pays ont fait mieux que d’autres et que la Suède n’a pas fait pire malgré le « laxisme » de sa gestion de la crise.

 

Ses analyses rejoignent totalement celles de Néosanté quant au rôle prépondérant de la peur panique suscitée par les gouvernements et les médias.

 


Que se serait-il passé si la télé n’existait pas ?

 

Si les médias n’avaient pas propagé la légende d’un terrifiant virus se répandant sur terre, il ne se serait probablement rien passé de spécial : tel est le message central de Denis Rancourt.  Il fait en effet observer que « l’hypothèse virale » est superflue pour expliquer la surmortalité et qu’il n’y a donc pas nécessité à postuler l’existence d’un « pathogène particulièrement virulent ».

 

Selon Rancourt, les toubibs de terrain auraient probablement « vu la même chose » il y a 5 ans si le contexte de paranoïa virophobique avait été identique. 

 

Le virus à l’honneur

 

Et tout ce qui est mis sur le dos d’un hypothétique virus peut être attribué, comme en 1918, aux infections bactériennes non soignées.

 

Le chercheur canadien est tellement persuadé que l’explication virale est fausse qu’il réagit promptement à une phrase déplorant l’inefficacité des vaccins : « Si on dit ça, ça veut dire qu’il y avait un pathogène justifiant un vaccin qui aurait pu être efficace.  Or il n’y a aucune raison de croire ça ». 

 

En se positionnant ainsi radicalement, Rancourt manifeste qu’il est sur la même longueur d’ondes que Pierre Chaillot[3], avec lequel il a d’ailleurs collaboré pour certaines vidéos et pour l’écriture de son livre.

 

Science en conscience

 


Dans une autre production de RéinfoCovid-France[4],
un jeune statisticien français a été interviewé par Jérémie Mercier[5] pour son émission « Science en conscience[6],  dans la vidéo  « LHYPERLINK "https://neosante.us9.list-manage.com/track/click?u=aa4975a4b61ecd86429de3ef3&id=d0209e4b27&e=e5bfad9cbe"es maladies contagieuses existent-elles vraimentHYPERLINK "https://neosante.us9.list-manage.com/track/click?u=aa4975a4b61ecd86429de3ef3&id=d0209e4b27&e=e5bfad9cbe" ?[7] », Jérémie Mercier invite Pierre Lécot[8], statisticien et chercheur indépendant, de la chaîne Décoder l'éco. Celui-ci explique que la contamination des malades, diagnostiqués covid, n’a jamais été prouvée.

 

 

 

 

La théorie du germe

 

D’autre part la théorie du germe largement utilisée par la "médecine moderne" pour justifier de nombreuses maladies présentées comme infectieuses reste une théorie et non une réalité. Une analyse critique de ce concept permet de se rendre compte que la contagion est un mythe et que la santé (ou son absence) dépend en réalité d'autres facteurs tels la nutrition, le stress ou l'exposition à des substances toxiques et que la contagion n'existe pas. Pour en savoir plus, voir les livres "Qu'est-ce qui nous rend réellement malades" (Tome 1 et 2) de Dawn Lester et David Parker[9] aux éditions Nouvelle Terre.

 

Les experts en statistiques sont en train de virer « virosceptiques » à la faveur du covid. Devant les incohérences du paradigme pasteurien en général et les absurdités de la causalité virale en particulier, ils sont bien obligés de raisonner et de remettre en question le dogme de la contagiosité. La thèse toxique est incomparablement plus crédible que la théorie du germe.

 


 

Pour conclure

 

Le narratif de la « pandémie » de 2020 repose sur une théorie non vérifiée et non sur des faits réels. La terreur et propagande pharmaceutique diffusées par les médias ont été facilitées ou amplifiée, par l’ignorance et le manque de culture scientifique du public.

 

 



[2] Denis Rancourt : https://denisrancourt.ca

[3] Pierre Chaillot : Directeur de projet Data Intelligence

[4] RéinfoCovid-France, un collectif de soignants, médecins et scientifiques universitaires, réunis autour d’une idée : le besoin d’une politique sanitaire juste et proportionnée pour la France. https://reinfocovid.fr/

[5] Jeremy Mercier : http://bit.ly/NSLJeremie et sur sa chaîne : bit.ly/YTJeremie

[6] Science en conscience : émisson du Collectif ReinfoCovid, animée par Jeremy Mercier

[8] Pierre Lécot : chaîne "Décoder l'éco" : https://www.youtube.com/user/azyx1986

[9] Dawn Lester et David Parker.

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